Nous sommes tous des moutons

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Les étranges pandémies qui guérissent des malades

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Normalement, une pandémie mondiale, c’est censé tuer un grand pourcentage de la population d’une maladie mortelle. Mais étrangement, non seulement la dernière que nous avons subie a fait moins de victimes que la grippe ordinaire, mais elle a en outre guéri des millions de gens d’une autre très grave maladie. Convenons que, comme miracle, Jésus n’aurait pas fait mieux.

 

par Greta Thunder

le 4 juillet 2023

 

Avant le prétendu génocide de la pandémie de la covid 19, j’étais moi-même aux prises avec la même terrible maladie que des millions d’autres êtres humains sur la planète : celle de l’ignorance. Cette maladie de l’ignorance me grugeait d’ailleurs tellement l’intérieur que j’ignorais que j’en souffrais. C’est dire à quel point j’étais atteinte !

 

Alors, imaginez ce qui s’est passé en mars 2020 lorsque les médias ont commencé à nous saturer l’esprit avec une nouvelle maladie-qui-tuait-tous-les-hommes-les-femmes-et-les-enfants-de-la-Terre.

 

 

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Non seulement j’étais déjà aux prises avec la maladie de l’ignorance, mais en plus, s’ajoutait désormais celle de la peur de crever d’un virus qui assassinait vraisemblablement quiconque l’attrapait. J’étais mal de chez mal. J’en étais même presque venue à l’idée de m’enlever tout de suite la vie plutôt que de vivre dans cet état permanent de terreur de périr dans d’atroces douleurs.

 

Et puis, au bout d’une couple de semaines, étant donné que je ne mourais pas, et étant donné également que personne ne mourrait pas non plus autour de moi, j’ai fini par me calmer, et je me suis mise – enfin ! – à réfléchir. J’ai commencé par consulter le site de l’OMS pour connaitre les symptômes de cette bizarre de maladie de covid 19 qui semblait m’épargner ainsi que tout le monde que je connaissais, alors que tout le reste de la planète, apparemment, trépassait. Il était temps, remarqueront d’aucuns. Mieux vaut tard que jamais, dit le proverbe.

 

Bref, j’ai été stupéfaite d’apprendre tout d’abord que cette maladie n’était en fait qu’une variété de grippe classique – c’était l’OMS elle-même, je le rappelle, et étrangement, qui l’affirmait – et que, comme toutes les grippes banales, elle n’était dangereuse que pour les personnes âgées déjà affaiblies par d’autres maladies, ainsi que pour les individus de tous les âges, mais aux prises avec des comorbidités. Ce que corroboraient d’ailleurs les statistiques officielles de l’INSPQ (Institut National de la Santé publique du Québec) disponibles gratuitement pour tous les citoyens sur simple clic de leur part.

 

Et mes propres observations autour de moi confirmaient également ces mêmes données : en dépit de tout ce que hurlaient les médias, et comme je viens de le mentionner, personne de mon entourage ne souffrait de cette maladie, et ni – encore moins – n’en mourrait. Il y avait bien sûr un tas de « testés positifs », mais l’intégralité d’entre eux n’avaient rien du tout, ou bien ils n’étaient incommodés que par une toux agaçante et un nez qui coulait. Au pire quelques-uns avaient une « grippe d’homme ».

 

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Exactement comme pour la grippe que nous étions habitués de subir toutes les années. Ni plus ni moins… Et moins que plus, d’ailleurs car, toujours d’après les statistiques officielles, les enfants ne l’attrapaient pas.

 

Mais dans ce cas, que signifiaient donc toutes ces simagrées hystériques que les médias caquetaient comme des poules pas de tête vingt-quatre heures par jour, sept jours par semaine, non-stop ??

 

Mon cerveau se trouvait alors en face de deux réalités contradictoires :

 

1ère réalité : le gouvernement, les médias et tout le monde autour de moi m’assuraient en hurlant d’épouvante qu’une maladie était en train de décimer la planète entière ;

 

2e réalité : cette maladie n’assassinait pas plus de personnes que la grippe ordinaire qui survenait à toutes les années depuis des temps immémoriaux ; elle en avait d’ailleurs exactement les mêmes symptômes et les mêmes conséquences pratiquement sans importance.

 

Face à ce dilemme, j’étais confrontée à deux choix :

 

1) ou bien, je faisais comme la majorité de mes concitoyens : ne comprenant rien de rien à ce qui se passait, et lasse de réfléchir, je baissais les bras et j’abandonnais totalement ma capacité de penser ; c’est-à-dire que je cessais de cogiter en m’en remettant aux autorités qui demandaient justement aux gens de leur faire aveuglément confiance et qui menaient la vie dure à ceux qui leur résistaient ;

 

2) ou bien, je conservais ma propre faculté de jugement, et j’admettais une fois pour toutes qu’il ne sévissait absolument aucune pandémie mortelle ; ce qui, dans ce cas, impliquait que le gouvernement et les médias nous mentaient à tour de bras en forçant la population à prendre des vessies pour des lanternes.

 

Me fiant à mes sens et au bon fonctionnement de mon cerveau, j’ai choisi la deuxième option envers et contre tous. Et c’est alors que j’ai commencé à me guérir de mes deux maladies : celle de la peur – que je venais tout juste d’attraper –, et celle de l’ignorance – avec laquelle j’étais aux prises depuis des lustres. Et une couple de semaines supplémentaires ont été requises avant que j’en sois définitivement débarrassée : la maladie de la peur a tout d’abord disparu très rapidement ; tandis que celle de l’ignorance a quant à elle nécessité un peu plus de temps. Mais elle a fini par se volatiliser elle aussi.

 

Le traitement qui a été le plus efficace pour mon rétablissement a été celui de ne plus lire ni écouter les médias de masse. Je dois toutefois avouer que j’avais une longueur d’avance sur beaucoup de monde dans cette nouvelle volonté étant donné que je n’étais déjà plus abonnée au câble depuis belle lurette. Mais je lisais néanmoins encore les nouvelles traditionnelles sur Internet à cette époque. Ce que j’ai cessé de faire du jour au lendemain.

 

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Bref, le fait de ne plus accorder d’importance aux médias a fait drastiquement disparaitre ma maladie de la peur.

 

Ma deuxième thérapie a été de découvrir que je n’étais pas  seule dans mon cas. Des millions d’autres personnes sur la planète se questionnaient eux aussi sur ce qui était réellement en train de se passer à propos de cette prétendue pandémie. Des personnes qui n’étaient pas dupes, eux non plus, des vociférations sans queue ni tête de leurs gouvernements et des médias à leur solde. La plupart de ces gens étaient des citoyens lambda comme moi. Mais parmi eux, il se trouvait également une pléthore de personnalités extrêmement articulées : des journalistes (indépendants), des scientifiques et des universitaires de renom dans tous les domaines inimaginables. Ceux-là étaient tous extrêmement compétents et crédibles, mais ils allaient carrément à contrecourant des discours officiels de leurs collègues – comme aujourd’hui, d’ailleurs. On les appelle les « lanceurs d’alerte ».

 

Ces lanceurs d’alerte étaient pourtant là depuis longtemps, mais personne – ou à peu près – ne les écoutait. Et nous ne les écoutions pas parce que nous ne les entendions pas. Sans cesse écartés, étaient-ils, de la sphère médiatique, et méprisés par les médias traditionnels qui ne leur accordaient aucun micro sur leurs plateaux ni aucune colonne dans leurs journaux, ils passaient complètement inaperçus. C’était donc normal – à cette époque, du moins –, de ne pas avoir entendu parler d’eux. Car pour ce qui était des médias traditionnels en ce temps-là, eh bien, tout ce qui n’était pas rapporté par ces derniers n’existait pas. Point barre.

 

Bref, cette pseudo pandémie m’a permis de me guérir de l’ignorance, oui. Grâce à elle, j’ai effectivement appris – et ça a été tout un choc – que des journalistes indépendants, des intellectuels brillants et des scientifiques chevronnés tentaient depuis longtemps d’alerter la population sur la corruption endémique qui gangrène nos nations occidentales décadentes, et sur leurs mensonges éhontés rapportés par les médias, propriété des corrompus eux-mêmes.

 

Je savais pourtant déjà que les gouvernements étaient des nids infestés de corruption, mais j’ignorais à quel point j’étais en deçà de la réalité. Celle-ci – la réalité – dépassait tout ce que j’aurais pu imaginer. Mais force m’a fallu de me rendre à l’évidence. Ce canular de pandémie – car ça en était un, à n’en plus douter une seconde –, ce formidable canular révélait non seulement à quel point la classe politique était corrompue jusqu’à l’os, mais également la société en général ; du moins dans ses niveaux les plus élevés du pouvoir : les médias, les juges, les mégacorporations, les Ordres professionnels, les syndicats, les grands réseaux sociaux…

 

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— Impossible ! m’étais-je néanmoins exclamée dans un premier – et ultime – réflexe de survie devant la démesure de cette conclusion. C’est trop gros ! Une corruption à si grande échelle est impossible à concevoir !

 

Mais je n’ai pas été longue à me raisonner. Au fond, ce n’est pas si « gigantesque » que ça.

 

Pour contrôler tout un pays, me suis-je rendu compte, il ne suffit que de cibler quelques personnes-clés qui détiennent les vrais pouvoirs : en graissant la patte à certains, en faisant chanter certains autres et en menaçant le reste de représailles quelconques. Cela ne représente à vue de nez que quelques centaines de personnes, tout au plus, dans un état. Ce qui n’est rien, en fin de compte, pour des gens disposant de moyens financiers illimités.

 

Une fois tout cela intégré – et accepté – dans mon esprit, la suite s’est rapidement enchainée. À l’instar de toutes les affections que nous attrapons et dont nous guérissons à la suite d’un traitement-choc, ma maladie de l’ignorance a promptement guéri elle aussi.

 

Et à partir de ce moment-là :

 

— Ayant constaté que les médias traditionnels étaient subventionnés à tour de bras par les gouvernements (eux-mêmes totalement corrompus), j’ai enfin compris qu’ils n’étaient plus finalement que les porte-paroles de ceux-ci ; autrement dit, de vulgaires organes de propagande, comme l’était la Pravda de l’ex-URSS.

 

— J’ai compris à quel point nous étions contrôlés socialement, et ce, depuis longtemps, par toutes sortes de moyens relevant de l’ingénierie de la manipulation des masses (et au sein desquels les médias jouent un rôle majeur) ; autrement dit, que nous étions modelés à notre insu comme des marionnettes grâce à notre ignorance et à notre désespérante naïveté.

 

— J’ai compris et intégré une bonne fois pour toutes à quel point nous vivions dans un simulacre de démocratie, le bien-être du peuple n’ayant absolument rien à voir avec les intérêts des instances politiques ; le seul souci de ces gens de pouvoir étant, non pas de représenter nos intérêts, mais bien de nous contrôler, de nous presser le citron jusqu’à la moelle, et de nous asservir.

 

— J’ai compris que si cette « pandémie » de covid-19 n’était qu’un gigantesque bobard amplifié par les médias, dans ce cas, conséquemment, tout le reste des nouvelles rapportées par ceux-ci pouvait également et potentiellement être des mensonges éhontés ; et c’était effectivement le cas par rapport aux affaires les plus importantes nous concernant (et c’était facilement vérifiable une fois que j’ai su comment m’y prendre pour obtenir les vraies informations et les valider).

 

— J’ai compris la réalité sur une foule d’autres sujets : le canular de la « démence » de Donald Trump, par exemple, le canular du « réchauffement climatique », le canular des « bonnes intentions » de l’agenda 2030 du FÉM ; le canular de « l’intégrité des élections » et plus récemment, le canular de la « guerre patriotique en Ukraine » et de la « folie » de Poutine… Tous ces paradigmes s’effondraient un à un sous le bulldozer de la connaissance.

 

— J’ai constaté – sur simples clics sur Internet – la provenance (souvent toujours la même) des subventions sales qui inondent pratiquement toutes les grandes institutions entre les mains desquelles nous avons remis de grands pans de notre autonomie nationale : l’ONU, l’OMS, l’UNESCO, les universités, les centres de recherches médicales…

 

— J’ai appris à m’intéresser à ces grosses instances qui chapeautent secrètement nos gouvernements et qui leur dictent leurs propres politiques de domination (le groupe Bildenberg, le Council for Foreign Relations, la Commission trilatérale et le Forum Économique Mondial, notamment).

 

Bref, j’ai appris à décoder la réalité. Du moins, à me rapprocher de celle-ci : à faire le tri entre la vérité et le mensonge (la propagande), à écouter les voix qui se battent pour éradiquer le Mal sur la planète (ils sont légions, mais censurés par les dictatures occidentales au pouvoir), et à décrypter les paroles enjôleuses de ceux qui souhaitent nous asservir.

 

Et comme je le mentionnais précédemment : je ne suis pas la seule dans mon cas. Loin de là.

 

Le grand canular de la pandémie a donc eu ceci de bien en ce qu’il a réveillé des millions de personnes de par le monde : des personnes comme moi, qui étaient aux prises avec la maladie de l’ignorance, et qui en ont pris conscience, et qui décodent maintenant assez facilement la réalité derrière le voile de la manipulation des masses. Nous sommes évidemment traités de « complotistes » par tous les corrompus qui avaient l’habitude de faire ce qu’ils voulaient en levant dédaigneusement le nez sur les lanceurs d’alerte qui parlaient à peu près dans le vide en ce temps-là.

 

Et le plus merveilleux de l’histoire, c’est que plus ces instances corrompues en mettent et en remettent dans leurs mensonges, et plus la population encore endormie se pose des questions et s’étonne. À tout le moins, celle-ci se guérit-elle ainsi graduellement de la peur – prélude à la guérison de l’ignorance. La preuve en est que depuis la covid, l’OMS et les médias ont essayé tant qu’ils ont pu de remettre ça avec de supposées pandémies supplémentaires – les vagues sans fin de covid-19, la variole du singe, la grippe de la tomate, la grippe de la poule, et bien d’autres conneries de la sorte – à l’aide des médias à leur solde, et que la population n’a a pas embarqué, cette fois, dans aucune de leurs nouvelles tentatives de campagnes de terreur.

 

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Il est vrai que les gens continuent malheureusement de parler du canular de la covid comme d’une « réelle » pandémie qui a bel et bien eu lieu (comment peuvent-ils admettre publiquement qu’ils se sont fait avoir à ce point ?), mais du moins, ils n’ont plus été effrayés par toutes les subséquentes que l’on a tenté de leur imposer. C’est déjà ça (on prend ce qui passe).

 

Mais le combat est loin d’être terminé dans la bataille pour vaincre définitivement le fléau de la maladie de l’ignorance. Même au sein des « réveillés » (comme nous nous appelons entre nous), il s’en trouve encore, par exemple, qui croient étonnamment au canular des « changements climatiques ». Eh oui… Et parmi ceux qui n’en sont plus dupes, la plupart sont toujours malgré tout des consommateurs effrénés qui contribuent de ce fait au pillage à grande échelle des ressources naturelles de notre planète – ce qui fait justement le jeu de ceux qui nous manipulent et qui se moquent de nous.

 

Peut-être un jour verra-t-on la totale éradication de cette maladie. Mais ce sera long. Pour faire avancer le processus, il faudrait que les mondialistes accumulent les actions exagérées, comme ils l’ont fait avec la prétendue pandémie et avec leur campagne sauvage du « transgenrisme ». Plus ils exagèrent, et plus les gens prennent – lentement – conscience de ce qui se déroule réellement autour d’eux.

 

C’est ce qui s’est passé avec la plandémie : des millions de personnes se sont extirpées de leur léthargie cérébrale grâce à elle. Si ce n’avait pas été de cet événement, je frissonne à la pensée que nous nous serions dirigés lentement, mais sûrement (et aussi béatement) vers la réalisation de l’Agenda 2030, comme des moutons que l’on mène à l’abattoir.

 

Alors, pour accélérer le mouvement, j’en viens presque à espérer qu’ils sortent d’autres catastrophes inexistantes de la sorte à grand renfort de propagande médiatique.

 

Sur le coup, ça fait mal (on en a bavé en crisse pendant plus de deux ans) ; car il s’agit en somme d’un « remède de cheval », pourrait-on dire.

 

Mais c’est un mal pour un bien.

 

On va dire ça comme ça pour le moment.

 



04/07/2023
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