Nous sommes tous des moutons

Nous sommes tous des moutons

Le plus dingue de cette histoire, c'est que beaucoup y croient encore

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Étant donné qu’il ne s’est rien passé de particulier, médicalement parlant, pendant les deux années qu’a duré la prétendue « catastrophe sanitaire la plus meurtrière de tous les siècles », comment se fait-il que des gens croient encore aujourd’hui à cette légende ?

 

Un billet spécial de GRETA THUNDER, jeune blogueuse polémiste invitée

Mis en ligne le 18 mars 2023

 

Rappelons qu’en mars 2020, pour contrer la fameuse pandémie de la covid-19 (une maladie prétendument mortelle et génocidaire), les gouvernements de presque tous les pays du monde (mais surtout occidentaux) ont imposé à leurs citoyens des mesures équivalentes, sinon pires, à celles décrétées en temps de guerres. Du jamais vu dans toute l’histoire de l’Humanité.

 

Ici, au Québec, l’un des peuples les plus obéissants et les plus dociles de la planète, papa Legault et son gnome de jardin nous ont fait vivre sans aucune difficulté :

 

— un confinement intégral dans nos maisons pendant plusieurs semaines ;

— la fermeture forcée de commerces « non-essentiels » (ce qui a causé de nombreuses faillites) ;

— une obligation de ne plus nous toucher et de ne plus nous approcher les uns des autres  à moins de deux mètres de distance ;

— l’interdiction d’accompagner nos proches en phase terminale de fin de vie (autrement dit, en les laissant crever tout seuls dans leurs trous) ;

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— l’obligation de porter un masque en tissu de rideau aussi ridicule qu’inutile ;

— des couvre-feux (parce que le virus mortel était un oiseau de nuit – comme Dracula) ;

— des zones géographiques de couleurs (c’était plus facile de visualiser pour les enfants que nous étions) ;

— des alertes AMBER complètement inopportunes ;

— des interdictions de nous rassembler (à Noël, notamment) ;

— l’obligation (à toutes fins pratiques) de nous faire injecter un produit chimique expérimental dans le corps ;

— une discrimination sociale plus radicale que l’Apartheid de l’Afrique du Sud ou que celle qui prévalait au sud des États-Unis au siècle dernier ;

— et j’en passe…

 

Ce pur délire a duré plus de deux ans.

 

Et tout ça pour quoi ?

 

Pour absolument rien de spécial.

 

Trois ans après le début de cet événement, l’on sait maintenant que cette maladie de covid-19 n’était rien d’autre qu’une simple variété de grippe. C’est-à-dire ni plus ni moins que la maladie qui nous tombe dessus à chaque saison froide depuis des centaines d’années, et avec laquelle nous avons appris à vivre sans jamais en faire un plat. La routine, quoi.

 

Pendant les deux années de mesures abracadabrantes que nous avons subies, il n’y a eu aucune surmortalité dans notre province (ni nulle part ailleurs), si ce n’est celle survenue dans les CHSLD au cours des mois d’avril et de mai 2020. Et cette unique surmortalité s’explique du fait que le personnel de la santé a eu tellement peur de mourir de cette covid que plus de la moitié d’entre eux ont déserté en bloc leurs postes de travail, laissant ainsi leurs patients sans aucun soin, et en les abandonnant dans leurs déjections.

 

Pour le reste de la population, médicalement parlant, il ne s’est rien passé de différent des années précédentes. Parmi les individus « ordinaires » (tous ceux dont la santé se portait plutôt bien en général) qui ont censément attrapé cette maladie (et je précise « censément », car on sait également que ces gens ont été diagnostiqués par un test frauduleux), parmi ceux-ci, donc :

 

— quelques-uns ont souffert plus fortement que d’autres en endurant une grippe sévère (une « grippe d’homme », comme on l’appelle) ;

 

— plusieurs n’ont été incommodés que par des maux de gorge et des reniflements (comme un vulgaire rhume) ;

 

— la majorité des testés « positifs » n’étaient simplement que des « cas » qui n’ont eu aucun symptôme de rien.

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Autrement dit : il n’y avait AUCUN MOTIF pour s’alarmer plus que d’habitude.

 

Dans ces conditions, comment se fait-il qu’une importante proportion de la population affirme toujours aujourd’hui que nous avons vécu la plus grande pandémie meurtrière de tous les temps ? Ce qui est un véritable non-sens.

 

Et pourquoi cette même proportion de la population ne cesse-t-elle pas de stigmatiser les gens comme moi qui raisonnent froidement face à ce phénomène ? Et pourquoi les traite-t-elle encore de « complotistes » ? Un mot qui ne signifie d’ailleurs plus rien tellement il a été galvaudé par tout un chacun.

 

On dirait que ce délire psychotique n’est toujours pas terminé.

 

Comment cela est-il possible ?

 

En analysant consciencieusement la situation, l’on peut maintenant catégoriser les causes de cette pensée collective irrationnelle en fonction de trois groupes de personnes…

 

1er groupe : tous ceux qui ont alimenté ce canular en se servant de la terreur et de la coercition

 

Les personnes de cette catégorie ne croient évidemment pas qu’il y a eu une catastrophique pandémie, mais elles continuent d’entretenir cette idée parce qu’elles n’ont aucun autre choix que de procéder comme elles l’ont toujours fait – pour la galerie.

 

Ce groupe est en fait un joyeux ramassis de salopards : des politiciens crapuleux ; des journalistes véreux ; des détenteurs vénaux de postes-clés en santé (le Collège des médecins, notamment) ; une flopée de personnages publics (artistes, médecins de plateau, « philosophes », « sociologues », etc.) qui ont profité de cette situation comme d’une opportunité pour accroitre leur popularité, ou qui ont été carrément corrompus ; et tous les autres (comme les syndicats, par exemple) qui ont eux aussi vendu leur âme au diable pour du fric ou pour davantage de pouvoir…

 

Ces individus sans scrupules s’expriment (et s’exprimeront évidemment toujours) comme s’il y avait eu réellement une pandémie, c’est-à-dire comme si cette connerie de maladie de covid-19 avait vraiment décimé les populations du globe, alors même qu’ils savent pertinemment bien (comme tous les réveillés) qu’il ne s’agissait que d’une sordide fumisterie à grande échelle.

 

Bien obligé : ils se sont tellement compromis pendant cette période qu’ils ne peuvent plus faire marche arrière. Admettre leurs méfaits, ce serait ouvrir toute grande la porte à une panoplie d’inculpations criminelles telles que mensonges d’État, abus de pouvoir, incitation à la haine, corruption (et j’en passe et j’en passe) et même homicides ; car leurs décisions et leurs partis-pris ont généré des décès de masse (dans les CHSLD, notamment) et des suicides.

 

La seule et unique issue dont ils disposent pour ne pas terminer leurs jours en prison est de continuer à entretenir l’idée de cette duperie. Et en espérant que ce non-événement tombera dans l’oubli avec le temps (et c’est bien parti pour ça, en passant).

 

Le plus bel exemple de ce cirque est le tweet que le premier sinistre Legault vient de faire circuler à l’occasion du 3e anniversaire de cette grotesque farce :

 

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N’est-ce pas assez effronté et ignoble ?

 

2e groupe : les traumatisés à vie

 

Les traumatisés à vie font pitié, pis pas à peu près. Les pires sont ceux qui portent encore des masques : dans les lieux publics, sur la rue, et dans leurs autos. Je vois même quelquefois passer des familles entières masquées dans les magasins. Cette vision cauchemardesque suscite deux sentiments en moi : de la pitié, oui, mais aussi de la colère. Car je ne peux pas m’empêcher de les insulter (dans ma tête) : « Quelle bande d’abrutis ! Non, mais quels crétins finis ! » https://static.blog4ever.com/2019/02/850968/Famille-masque.jpg

 

Les masqués ne représentent toutefois que l’iceberg visible des traumatisés. Car il y en a des milliers d’autres comme eux. Ceux-ci ne portent sans doute plus le masque de la honte, mais ils le renfileraient sans rouspéter aussitôt qu’on leur dirait de le faire, comme des soldats parfaitement disciplinés. Et pas rien que le masque : ils se reconformeraient également et docilement à toutes les mesures précédemment décrites comme quelque chose de tout à fait normal, et sans même réfléchir un seul instant à leur bien-fondé. Et ils s’en prendraient en plus férocement à ceux qui s’opposeraient aux directives publiques.

 

Exactement comme la dernière fois.

 

Ils seront par ailleurs les premiers à se faire injecter la puce sous-cutanée dans le poignet ou à arborer leur passeport carbone ou (encore mieux) leur passeport « bons citoyens » lorsque le temps sera venu d’en passer par là. Et ils seront également les premiers à hurler au complotisme et à l’extrême droite contre tous ceux qui se rebelleront contre ces mesures despotiques de contrôle.

 

Solidement brainwashés étaient-ils déjà avant mars 2020, la campagne de terreur des médias de masse n’a fait qu’enfoncer davantage le clou de l’endoctrinement dans leurs cerveaux lavés et récurés au Monsieur Net. Perfusés quotidiennement au Journal de Mourial et à TVA-nouvelles, je ne pense plus que quelqu’un puisse faire quoi que ce soit pour leur inculquer une once de raison. Personnellement, je les appelle les « endormis finis » ou les « hypnotisés mur à mur ». C’est condescendant, je sais. Mais c’est comme ça. Je n’y peux rien.

 

Pour eux, donc, c’est un fait entendu qui n’est pas discutable : nous avons bel et bien vécu une pandémie génocidaire à grande échelle. Ils n’ont pourtant rien eu de grave, ni eux ni aucun membre de leur entourage. Tout au plus ont-ils été testés positifs après avoir toussé deux ou trois fois. Mais cette catastrophe planétaire ne fait quand même aucun doute dans leur tête : l’Humanité a frôlé l’extinction. Et aux aussi, par le fait, même.

 

Tenter de leur faire voir les (pharaoniques) failles dans cette croyance serait comme de parler à un mur de pierres. C’est peine perdue. On ne tente pas de convaincre les Témoins de Jéhovah de cesser de croire en leur Dieu, n’est-ce pas ? L’on sait bien que ce serait parfaitement inutile. Alors, on les laisse tranquilles tant qu’ils n’essaient pas eux-mêmes de nous faire entrer dans leur secte.

 

3e groupe : les pseudo-crédules honteux

 

Ils sont également nombreux, ceux-là. Je les appelle les « pseudo-crédules », car ils font eux aussi référence au grand canular plandémique comme d’une pandémie qui a bel et bien eu lieu. Mais ils savent  très bien, au fond, pour leur part, qu’il n’y a jamais eu aucune catastrophe de la sorte. Ils font toutefois semblant d’y croire pour toutes sortes de motifs personnels qui ont un lien avec la psychologie comportementale. Et les deux principaux sont sûrement ceux-ci :

 

1) Certains sont honteux de s’être fait avoir comme des crétins. Car il n’est pas facile d’admettre que l’on a été le dindon d’une farce aussi grotesque et aussi évidente pendant si longtemps. Les victimes d’une arnaque ordinaire déploient habituellement beaucoup d’énergie pour que ça ne s’ébruite pas de crainte qu’on les ridiculise. Alors, imaginez-celle-ci.

 

En se convaincant qu’il y a bel et bien eu une dangereuse pandémie, ils se font du même coup accroire qu’ils n’ont pas été arnaqués par quoi que ce soit. Et leur honneur est sauf.

 

2) Certains autres sont plutôt honteux de s’être moqués des membres de leurs familles et de leurs amis qui n’avaient pas le même discours qu’eux, et qu’ils avaient traités de tous les noms possibles – de « complotistes », surtout (le mot à la mode). Certains les ont même carrément bannis de leurs entourages.

 

Pas facile ici non plus d’admettre que ces fameux complotistes, dont ils se sont si allègrement moqués, avaient finalement raison. L’ego en prend pour son rhume, et cela exige une sacrée dose d’humilité pour s’excuser auprès de ces personnes que l’on a si bien insultés et bafouées.

 

https://static.blog4ever.com/2019/02/850968/Hommes-trois-b.jpg Bref, quel que soit le motif de leur honte, ils font semblant, oui, de croire au discours officiel ; ce qui leur donne bonne conscience pour ne pas affronter leur gêne. Pour s’aider à se mentir de la sorte, certains ne s’intéressent tout simplement plus à ce sujet (plusieurs parmi ceux-ci ne s’intéressent jamais à rien de toute façon, à part leurs émissions de soirée), tandis que d’autres font exprès pour détourner la tête quand on parle de ce même sujet autour d’eux, en sachant très bien ce qu’ils entendraient s’ils prêtaient l’oreille. Au pire, si l’on insiste, ils répondent : « Complotistes ! ». Et la discussion est close.

 

Et c’est ainsi que la vie, pour eux, poursuit son petit bonhomme de chemin : dans le déni, certes, mais en continuant au moins de paitre paisiblement au milieu de leurs troupeaux de montons habituels, là où il fait si bon de vivre sans se soucier de rien, et en ne se faisant pas remarquer.

 

La meilleure façon que j’ai trouvée pour clore ce billet a été de copier-coller le court commentaire que Jérôme Blanchet-Gravel a récemment publié sur sa page Facebook. Tout y est exprimé en une seule phrase lapidaire…

 

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18/03/2023
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