Nous sommes tous des moutons

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Les pauvres 'tits choux que sont les médias mainstream

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Après trois années de faste financier, de fake news à tire-larigot et de propagande gouvernementale digne de la Pravda de l’ex-URSS, nos chers médias mainstream agonisent désormais pour vrai. Et ils pleurnichent comme des enfants en bas âge, en espérant sans doute attirer ainsi la pitié du public sur leur triste sort. Les pauvres ‘tits choux, en effet.

 

Par Ivanhoé

Mis en ligne le 16 juillet 2023

 

Une lettre pathétique

 

Le 7 juillet dernier, le journal La Presse faisait parvenir une infolettre à tous leurs abonnés. Une missive pathétique que j’ai moi-même personnellement reçue. Je m’étais pourtant désinscrit depuis des lustres à leur feuille de chou, mais ils ont apparemment sorti mon nom des boules à mites, et ce, sans ma permission. J’en ai conclu que la situation (catastrophique) avec laquelle ils sont aujourd’hui aux prises réclamait cette action d’urgence, et que je n’étais sûrement pas le seul à subir ce sort.

 

Le titre du message était ainsi libellé :

 

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Intrigué, j’ai ouvert ce courriel. Et les gros titres suivants me sont aussitôt apparus :

 

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Tout bien considéré, j’étais finalement content d’avoir reçu cette infolettre, dans un sens. En plus de me réjouir de leur désarroi, je me suis dit que je connaitrais enfin la teneur de cette Loi C-18 qui parvenait de temps en temps jusqu’à mes oreilles, mais dont je ne m’étais jamais donné la peine de m’informer très à fond. Je savais vaguement qu’il s’agissait d’une mesure pour aider – encore et toujours – les médias mainstream à rester financièrement à flot. Mais sans plus. Et voilà que ceux-ci allaient eux-mêmes m’expliquer ce qu’il en était. L’intitulé n’était-il pas : « Loi C-18 : qu’en est-il exactement » ?

 

Déception… Contrairement à ce que le titre laissait sous-entendre, il n’y avait aucun mot d’explication sur cette Loi, finalement, à part cette phrase insipide :

 

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À noter que tous les copiés-collés de textes d’ici à la fin de cet article

sont des extraits de cette infolettre envoyée par La Presse, le 7 juillet dernier.

 

C’était tout.

 

Quelle est la teneur de cette Loi ? Que veut-elle ? Pourquoi a-t-elle été adoptée ? Je n’étais pas plus avancé qu’au début puisque cette lettre ne correspondait pas à un message d’information, mais plutôt à une longue plainte pleurnicharde et à un appel au secours.

 

Pour être renseigné correctement sur le but de cette Loi, je devais donc chercher ailleurs. Sur le Net, notamment. Comme d’habitude. Ce que j’ai fait.

 

La Loi C-18 (en 4 épisodes)

 

Je vais tenter d’expliquer ce que j’en ai compris le plus simplement possible ; genre « la Loi C-18 pour les nuls ». Alors, voilà…

 

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1) L’opulence

 

Il faut préalablement avoir conscience qu’en plus des subventions gouvernementales qui les tiennent toujours plus ou moins à flot, les médias traditionnels vivent en outre de l’achat d’espaces publicitaires.

 

Le principe étant que plus les gens lisent les journaux et écoutent la télé et la radio, et plus les entreprises privées leur achètent des espaces publicitaires. Le contraire étant évidemment et également vrai.

 

Cette façon classique de procéder a cependant été artificiellement trafiquée de 2020 à 2022, grosso modo, pendant le grand canular de la covid. Durant cette période, les médias n’ont pas eu besoin des entreprises privées pour remplir leurs coffres du fric provenant de la publicité, cette source de revenus leur ayant été assurée par les deux paliers de gouvernement qui leur ont versé  plus de 250 millions de dollars à même nos impôts pour qu’ils diffusent leur merde de propagande. Ça a été la manne, et ils ne se sont pas gênés pour en profiter sans vergogne.

 

Ce temps d’abondance étant quasi révolu depuis plus d’un an maintenant, les médias ont dû toutefois abandonner cette voie de la facilité et reprendre leur chiante obligation d’antan, c’est-à-dire celle d’attirer les entreprises privées afin que celles-ci redeviennent leurs principaux bailleurs de fonds publicitaires.

 

Malheureusement pour eux, bien des choses avaient changé pendant le grand canular covidien…

 

2) La dégringolade

 

Les médias mainstream produisent du contenu « d’information » par l’entremise d’articles dans les journaux et de manchettes à la télé et à la radio. Mais pas n’importe quel contenu, on s’entend. Non m’sieurs-dames : du très bon contenu, évidemment. Et il faut croire cette affirmation sur parole puisque que ce sont eux-mêmes qui l’affirment…

 

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« Rigoureuse et complète » ! Ha !

 

Tant et tellement « rigoureuse » et « complète » que de plus en plus de citoyens, se rendant compte de ce qu’étaient devenus les médias traditionnels pendant le grand canular (c’est-à-dire de vulgaires producteurs de fakes news et d’agents de propagande pour les gouvernements en place), les ont abandonnés et se sont rabattus sur le Net afin d’obtenir de vraies informations. De sorte qu’ils ont aujourd’hui perdu une large part de leur clientèle.

 

La Presse l’avoue d'ailleurs elle-même dans sa lettre – en étant sans doute même en deçà de la réalité :

 

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Conséquemment, les entreprises privées font maintenant de plus en plus affaire avec les grands réseaux sociaux (là où sont les gens) en ce qui a trait à l’achat de leurs espaces publicitaires, et en délaissant ainsi les médias par le fait même. Et ceux-ci perdent évidemment une importante source de revenus. Et ça parait : depuis un an, QuébécorRadio-Canada et d’autres médias ont coupé dans le gras de leur personnel pour rester en vie, et ce n’est pas près de se terminer.

 

Bref, sans publicité, ils sont cuits. Seules les subventions gouvernementales les empêchent d’ailleurs encore aujourd’hui de couler à pic.

 

Mais l’histoire ne s’arrête pas ici.

 

3) Le plan de sauvetage

 

La Loi C-18, maintenant...

 

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Les manchettes d’actualité qui se propagent au sein des grands réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter (pour ne nommer que ceux-là) sont apparemment souvent, à l’origine, celles qui sont produites par les médias de masse et qui sont donc « volées », en quelque sorte, par les géants du Net.

 

— C’est pas juste ! hurlent les médias. Les réseaux sociaux piquent le fruit de notre propre labeur (nos nouvelles de qualité supérieure), et les font circuler sans nous rétribuer en retour ! C’est de l’extorsion pure et simple ! Nous nous indignons et nous exigeons réparation !

 

Ils ont été écoutés. Le gouvernement fédéral, dans son immense sagesse et dans sa légendaire générosité, a en effet pondu une Loi – la C-18 – pour remédier à cette flagrante injustice. À compter de décembre 2023, stipule en substance la Loi, les grands réseaux sociaux devront verser une redevance de leurs revenus publicitaires à nos pauvres ‘tits choux pour les aider à survivre plus longtemps.

 

4) La riposte

 

Ce à quoi Google et Meta (propriétaire de Facebook et d’Instagram) ont immédiatement riposté en menaçant de bloquer toutes les nouvelles en provenance des médias canadiens :

 

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Les deux parties en sont là aujourd’hui : les réseaux sociaux menacent, et les médias se lamentent et pleurnichent. Et de là, cette infolettre de La Presse envoyée à tous ses abonnés et à tous ses ex-abonnés pour obtenir leur soutien moral – et surtout financier !

 

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Quant aux lanceurs d’alerte, depuis longtemps dénigrés et censurés par ces mêmes médias mainstream, qui se battent comme des malades depuis trois ans pour nous informer correctement – contrairement aux médias qui ont collaboré avec les tyrans pour quelques sous –, et qui tirent le diable par la queue en ne vivant que du soutier financier de leurs followers, quant à ces lanceurs d’alerte, dis-je, ils rient maintenant dans leur barbe en constatant à quel degré d’humiliation s’abaissent leurs détracteurs pour grappiller quelques sous et quelques onces de crédibilité.

 

On ne peut leur en tenir rigueur, car ce n’est qu’un juste retour des choses.

 

Un monde parallèle

 

Mais dans quel monde déambulent exactement les médias mainstream (les « merdias », comme les appelle maintenant une importante partie de la population) ? Plus le temps passe, plus ils perdent des points, et moins ils semblent se remettre eux-mêmes en question.

 

Depuis le début du grand canular de la covid, je me demande d’ailleurs sans cesse s’ils sont de bonne ou de mauvaise foi dans leurs laïus. En d’autres mots : ou bien, ils croient réellement ce qu’ils racontent à propos de leur soi-disant « rigueur », de leur « honnêteté intellectuelle » et de leur certitude d’être les « seuls défenseurs de la démocratie », et dans ce cas, ils vivent réellement dans leurs nuages, complètement décrochés de l’univers réel ; ou bien ils savent très bien ce qu’ils font en se vautrant dans l’avilissement, et dans ce cas, ils sont de ce fait les pires arrivistes, hypocrites et menteurs qu’une société puisse produire en frais de parasites.

 

Personnellement, j’ai tendance à opter pour la seconde explication, car ces gens, peu importe ce que certains en pensent, ne sont pas naïfs à ce niveau de simplicité infantile. Du moins, je l’espère. Cela signifierait alors qu’ils manqueraient autant de jugement que les moutons qui les écoutent béatement sans réfléchir plus avant. Ce qui en ferait de véritables incompétents, et ce qui semble un peu tiré par les cheveux rendu à point-là.

 

Ne reste plus alors que la deuxième hypothèse : ils savent très bien ce qu’ils font. Et dans ce cas, ce ne sont qu’une bande de roublards et d’arrivistes. Et maintenant qu’ils sont en train de péricliter, ils sont prêts à tout pour ne pas crever, quitte à échafauder des plans dégradants pour tenter de sauver leur peau. Conséquemment, inspirer faussement la pitié correspondrait à l’une de ces tactiques.

 

Dans cette optique, la fameuse infolettre du journal La Presse (pour qui travaille le collabo Lagacé) contient tous les éléments du genre. Et elle est d’autant plus scandaleuse lorsqu’on a le courage de la lire jusqu'au bout.

 

Voyons un peu rapidement…

 

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Bullshit ! Ils n’ont fait le choix de rien du tout. Abandonnés par l’empire Desmarais en 2018, ils n’ont eu aucun autre choix, au contraire, que de se plier à cette condition pour survivre avec les miettes que leur laissait leur ancien maitre. Tout d’abord, continuer à demander aux lecteurs de payer des abonnements à leur canard moribond les aurait menés tout droit dans un cul-de-sac. Et ensuite, en adoptant ce statut d’OBNL (organisme à but non lucratif), il leur était alors désormais permis de recevoir des subventions gouvernementales et des donations privées. Ils n’avaient donc aucune autre option que de devenir des assistés de l’état, et la grandeur d’âme n’avait rien à voir là-dedans. Dans le monde des affaires, la seule grandeur d’âme qui existe, c’est le fric.

 

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Les mots « valoriser des débats de société sains et respectueux » ont été soulignés par moi-même tant j’ai été abasourdi de les lire. Misère… Quelle hypocrisie, encore une millième fois ! Ces propos sont d’une ignominie sans nom à l’évocation de toutes les exactions auxquelles les médias de masse se sont livrés durant le canular de la covid : censure à grande échelle de toutes les voix discordantes, démolition publique de crédibilité de ces mêmes voix lorsqu’il s’agissait de personnes influentes, exacerbation de la zizanie sociale, injures et discours haineux envers une importante partie de la population…

 

La vérité, c’est qu’il n’y a eu AUCUN DÉBAT DE SOCIÉTÉ sur aucun sujet durant cette période, et encore moins de débats SAINS ET RESPECTUEUX. Parlez-en à Stéphane Bureau, à Guillaume Lemay-Thivierge, à Alexis Cossette-Trudel, à tous ceux qui ont perdu leur emploi ou leurs contrats parce qu’ils ont eu le malheur d’ouvrir leur trappe pour donner leur opinion. Et glissez-en également la remarque à tous ceux dont ils ont détruit la réputation pour avoir prononcé un mot de trop.

 

Bande d’enfoirés d’hypocrites ! Oser avancer que vous valorisez des débats de société sains et respectueux est une infamie. Vous êtes répugnants de duplicité !

 

Mais je m’égare… Poursuivons cette liste de malhonnêtetés intellectuelles.

 

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Dans ce court paragraphe, nous avons tout d’abord droit à la panoplie des vantardises habituelles : les médias traditionnels produisent des « nouvelles de qualité », ils emploient des « journalistes crédibles », ils éditent de l’« information produite de manière professionnelle »… Blablabla… Ça, ce sont eux qui l’affirment, bien sûr. Ils sont au moins suffisamment intelligents (fiou !) pour ne pas avouer qu’ils créent de la fake news à gogo, de la propagande gouvernementale à caractère nazi et des gros titres à sensations fortes sans aucun intérêt pour l’utilité publique. Ni admettre que leurs journaleux ne sont que des gens ordinaires, sans jugement particulier au-dessus de la norme. Et ni confesser qu’ils s’abaissent à scribouiller n’importe quoi sur demande de leurs patrons pour ne pas perdre leurs jobs déjà sur le respirateur artificiel.

 

Dans cet extrait, nous avons également la rituelle litanie du fléau des fausses nouvelles – qu’ils ne produisent pas eux-mêmes, of course.

 

Encore une fois, le grand canular que nous avons subi en 2020-2022 a pourtant révélé à une importante partie de la population ce qu’il en était à propos de la véracité des bobards annoncés par les médias dans un but de soulèvement de panique. Les salles d’attente des hôpitaux sursaturés de patients covid, par exemple. Chaque fois que les médias y allaient de ce gros titre à propos d’un hôpital particulier, une armée de citoyens se rendait sur le lieu en question pour filmer ce qui s’y passait, c’est-à-dire RIEN DU TOUT : ils filmaient des salles d’attente à moitié vides, sinon complètement désertes, et les diffusaient sur les réseaux sociaux (à moins qu’ils ne soient carrément censurés). Autre exemple de fausses nouvelles : les manifestions publiques anti-mesures. Alors que les rues (de Montréal, surtout) étaient remplies de dizains de milliers de manifestants à chacune de ces marches, les « ténors de l’information » (s’ils en parlaient) ne faisaient mention que de « quelques centaines de complotistes » dans des entrefilets secondaires. En insultant les participants, de surcroit.

 

Plus de 25 à 30 % des citoyens (ce qui fait beaucoup de monde) savent aujourd’hui parfaitement ce qu’il en est à propos de ce problème des fakes news et des bobards colportés par les médias obsolètes, et qui les ont laissé tomber. On avance en outre un chiffre similaire en ce qui a trait aux gens qui se doutent de ce qui se passe et qui les lisent ou les écoutent en étant sur leur garde. Si l’on compte bien, il ne reste qu’une minorité de citoyens qui croient encore dur comme fer que « s’ils le disent à la télé, c’est que c’est la vérité ». Mais même ce nombre s’effrite au fil des jours qui s’écoulent…

 

Aucune pitié

 

Le temps des médias traditionnels obsolètes est révolu. Il ne tient plus qu’à un fil grâce à nos impôts. Lorsqu’ils tomberont définitivement, il n’y aura que les hypnotisés pour les pleurer (peut-être). Mais même eux passeront rapidement à autre chose. Car c’est la tendance de l’être humain, et plus particulièrement celle des Québécois, d’oublier promptement le passé. Après une oraison funèbre de circonstance, la société poursuivra son chemin sans plus se souvenir de ces parasites.

 

Tous les journaleux et les chroniqueux qui sont à leur service devront alors adopter la nouvelle manière de faire les choses dans ce domaine, c’est-à-dire de tenter leur chance en devenant indépendants et en se tournant vers les réseaux sociaux, tout en trouvant une façon (sans subventions) de se financer. Et bonne chance à eux, oui ! Car à ce moment-là, seuls les plus performants et les plus crédibles survivront.

 

Dommage à dire – car il s’agit ici d’une valeur bien peu chrétienne de réagir –, mais tous les gens que les « merdias » ont insultés ou démolis publiquement pendant leurs années fastes de 2020 à 2022 se réjouissent en ce moment de leur déconfiture. Et ils se disent que, plus rapidement ils sombreront dans les abysses de l’oubli, et mieux tout le monde s’en portera. Et aucun d’entre eux ne les prend évidemment en pitié.

 

Et qui plus est, tous ceux qui, parmi ceux-ci, comme moi, ont reçu cette infolettre de pleurnicharges de La Presse à propos de leur petite guéguerre avec les grands réseaux Internet sentent une pointe de jubilation au fond de leur cœur. D’autant plus qu’elle oppose justement deux polluants sociaux qui s’entredéchirent.

 

Lorsqu’une maison est infestée de coquerelles qui risquent de tout détruire, ne souhaite-t-on pas que ces vilaines bestioles soient prestement éradiquées ? Ben, ici, concernant, les médias traditionnels vivant aux crochets de l’État et causant des torts irréparables à la société, c’est exactement la même chose : qu’ils crèvent et qu’on n’en parle plus.

 

Et le plus tôt sera le mieux.

 

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16/07/2023
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