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La pédophilie et tous les autres sujets tabous de notre société contemporaine pourraient-ils en venir un jour à être acceptés par la majorité – et même à devenir légaux ? La réponse est oui. Absolument. Et cela se produit d’ailleurs de plus en plus souvent. Des idées inconcevables peuvent en effet évoluer artificiellement vers cet objectif grâce aux efforts combinés et soutenus des médias et des « sciences ». Pour y arriver, ces derniers doivent simplement faire rentrer ces nouveaux concepts à l’intérieur de la fenêtre d’Overton…

 

mis en ligne le 12 octobre 2022

par Ivanhoé

 

RENDRE L’INNACEPTABLE ACCEPTABLE

 

Question : comment vous y prendriez-vous pour rendre acceptable une idée aujourd’hui inacceptable au sein d’une société ? Pour faire accepter le cannibalisme, par exemple. Ou l’euthanasie obligatoire pour les personnes âgées. Ou la dictature. Ou même la pédophilie…

 

          

Impensable ? Loin de là.

 

En fait, il existe deux moyens pour y arriver. Et ils dépendent du pays dans lequel vous demeurez :

 

1) Dans les régimes totalitaires, vous réussiriez par la force brute, par la terreur ;

 

 

 

2) Dans les régimes semi-totalitaires, c’est-à-dire dans les pays occidentaux que l’on qualifie de « démocratiques », c’est-à-dire les nôtres, vous y parviendriez plutôt en utilisant les bonnes vieilles techniques éprouvées de manipulation des masses.

 

 

 

L’histoire démontre toutefois que l’imposition d’une idéologie par la contrainte – par le premier moyen – ne dure que pendant que le régime tient en place. Une fois celui-ci renversé – et ce n’est toujours qu’une question de temps avant que survienne cette inéluctabilité –, et une fois les libertés retrouvées, les mentalités reviennent habituellement comme elles l’étaient au départ, à peu de choses près.

 

Par contre, lorsque ces mêmes mentalités ont été modifiées sans aucune coercition physique et à l’insu des concernés – la deuxième méthode –, dans ce cas, ces transformations ne souffrent plus d’aucun retour en arrière puisqu’elles ont été produites avec le consentement plein et entier de la population. Et une fois qu’elles ont été définitivement acceptées et intégrées par la majorité, elles ne sont plus jamais remises en question.

 

Nous ne nous attarderons pas ici, dans cet article, sur les changements imposés par les régimes dictatoriaux qui sont trop évidents – et sans intérêt. Nous nous concentrerons plutôt sur ceux provoqués dans nos « terres de liberté », et qui sont fascinants d’une certaine manière, à cause de leur efficacité diabolique.

 

LA FENÊTRE D’OVERTON

 

Pour ce faire, intéressons-nous à un Américain à l’esprit éclectique du nom de Joseph P. Overton (1960-2003). Cet ingénieur-électricien de formation, également diplômé en droit, vice-président du Mackinac Center for Public Policy (un think tank libéral promouvant l’entreprise privée), intellectuel libertarien et lobbyiste, a un jour émis une théorie des plus géniales du fait qu’elle s’est avérée utile – et extrêmement efficace – dans une foule d’applications pratiques pour les puissants de ce monde.

 

 

Joseph P. Overton

 

En substance, son concept disait à peu près ceci : la viabilité politique d’une idée ne dépend pas des préférences individuelles du politicien, mais plutôt des limites de l’acceptation sociale de cette idée.

 

En d’autres termes, si un politicien compte sur une idée personnelle radicale pour être élu, il peut aller se rhabiller vite fait, car sa carrière ne fera pas long feu. Tant que son idée ne sera pas dans « l’air du temps » et que les populations ne l’auront pas tant bien que mal intégrée comme quelque chose qui se discute désormais ouvertement, il prêchera dans le vide ou se fera carrément conspuer.

 

Cette fenêtre des idées acceptables, à l’extérieur de laquelle se retrouvent celles qui sont non acceptables, porte le nom de « fenêtre d’Overton », en l’honneur de son concepteur. Le schéma ressemble à ceci :

 

 

 

Ou bien, une autre façon – horizontale et ludique – de l’illustrer serait celle-ci :

 

 

 

QUELQUES PRÉCISIONS SUR LA FENÊTRE D’OVERTON

 

1) La fenêtre d’Overton fait toujours référence à une idée (concept, théorie, thèse, doctrine, idéologie…) qui fait l’objet – ou qui est susceptible de faire l’objet – d’un débat sur la place publique : pour ou contre la peine de mort, par exemple ; pour ou contre l’immigration ouverte ; pour ou contre la privatisation du secteur public ; pour on contre l’entrée en guerre de son pays contre un ennemi quelconque ; etc. Les sujets sont infinis.

 

2) L’idée en question est tout d’abord étiquetée en fonction du degré de liberté qu’elle permet. Si elle offre davantage de libertés, elle se situera d’un côté du graphique. Et à contrario, si elle restreint les libertés, elle situera de l’autre côté (voir graphique 1 ci-dessous).

 

Fenêtre d’Overton

Graphique 1

 

 

3) L’idée est ensuite graduée en fonction de son degré d’acceptabilité au sein de l’opinion publique. De cette façon, l’idée peut être – par ordre croissant (voir graphique 2 ci-dessous) :

 

Fenêtre d’Overton

Graphique 2

 

 

- inconcevable / inacceptable / défendue d’en parler / tabou (l’idée n’est alors soutenue que par une poignée de fanatiques) ;

- radicale / exagérée / extrémiste (l’idée commence à être débattue, mais elle n’est encore appuyée que par la frange la plus radicale de la société) ;

- acceptable / recevable / envisageable (l’idée commence lentement à prendre sa place dans les conversations) ;

- raisonnable / utile / rationnelle (l’idée est de plus en plus discutée comme étant une réelle option à envisager) ;

- populaire / socialement admise (l’idée devient la position du plus grand nombre) ;

- acceptée / approuvée / légalisée (l’idée est complètement intégrée par la majorité et peut même faire l’objet d’une loi qui la sanctionne officiellement).

 

4) La fameuse fenêtre d’Overton se situe quant à elle au plein centre du graphique (voir graphique 3 ci-dessous).

 

Fenêtre d’Overton

Graphique 3

 

 

Elle englobe les notions « accepté » et « populaire » de l’échelle. Mais tout dépendant de qui en parle, elle peut également inclure l’option « raisonnable »

 

Ce qui signifie qu’une idée émise par un personnage public quelconque et qui se retrouverait dans cette fenêtre bénéficierait de l’acceptation de la majorité – ou presque –, et que le personnage en question aurait davantage de chances d’être écouté – et éventuellement d’être élu, s’il s’agit d’un politicien.

 

5) Les vulgarisateurs de la fenêtre d’Overton disent souvent qu’il est possible de faire « bouger » celle-ci vers la gauche ou vers la droite. Ce qui est inexact. Ce n’est pas la fenêtre qui s’adapte à l’idée débattue, mais bien le contraire : c’est l’idée qui se rapproche de la fenêtre ou qui s’en éloigne

 

Ces mêmes vulgarisateurs disent également que la fenêtre peut « s’agrandir », ou qu’elle est « extensible », ce qui est de nouveau inexact. Cette fenêtre demeure toujours de la même dimension. Par contre, ce qui est vrai, c’est que plus une idée s’en rapproche dans un rayon significatif et plus elle aurait théoriquement des chances d’être remportée dans un débat, par exemple, ou lors d’une campagne électorale, et ce, même si elle ne se trouve pas encore directement à l’intérieur (voir graphique 4 ci-dessous)

 

Fenêtre d’Overton

Graphique 4

 

 

6) À des fins de simplification, et pour le reste de cet article, nous ne tiendrons plus compte des côtés « gauche-droite » du graphique (voir graphique 5 ci-dessous).

 

Fenêtre d’Overton

Graphique 5

 

 

Ce concept voulait simplement démontrer que des idées trop libertaires peuvent être autant inacceptables aux yeux de la population que celles qui sont trop liberticides.

 

Selon Overton, donc, plus une idée s’éloigne de cette fenêtre et plus elle risque d’être rejetée par le plus grand nombre. Exemple : un parti politique qui promouvrait le cannibalisme comme moyen de contrer la faim dans le monde ne ferait pas long feu dans une course électorale, cette idée étant tout à fait inacceptable par la très majorité de la population d’aujourd’hui. Par contre, un sujet comme la légalisation de la marijuana bénéficierait d’un plus large spectre d’acceptabilité. Dans certains pays – qui ne l’ont pas encore déjà légalisée –, cette dernière idée se retrouve même dans la frange « populaire ».

 

    

Cela spécifié, cette fenêtre, aussi intéressante soit-elle, ne nous apprend toutefois rien de vraiment nouveau jusqu’à présent. Car bien avant qu’Overton ait élaboré son concept, les politiciens eux-mêmes savaient d’instinct ce qu’ils devaient dire et ne pas dire pour se faire accepter par leurs commettants.

 

Même vous-même, connaissant ou non la fenêtre d’Overton, vous devinez d’emblée ce qui vous arriverait si vous osiez émettre sérieusement une idée comme celle, par exemple, de l’euthanasie obligatoire pour toutes les personnes âgées. Vous seriez carrément banni de tout votre entourage ; sinon même lapidé…

 

 

 

Et pourtant, après la mort d’Overton, non seulement l’idée de sa fenêtre a-t-elle été conservée, mais elle a également été améliorée par une multitude de gens – des politiciens, des lobbyistes et des idéologues de tout acabit – qui n’ont pas été longs à comprendre tous les avantages qu’ils pouvaient tirer de cette théorie. Ils se sont en effet rapidement rendu compte qu’ils pouvaient faire rentrer « artificiellement » n’importe quelle idée déjantée à l’intérieur de cette fenêtre. Pourvu, bien sûr, de disposer d’un peu d’argent et du savoir-faire requis.

 

Comment ?

 

En mettant en pratique les stratégies d’ingénierie sociale (de manipulation des foules).

 

 

 

COMMENT MANŒUVRER POUR FAIRE CHEMINER UNE IDÉE INCONCEVABLE JUSQU’À CE QU’ELLE ENTRE DANS LA FENÊTRE D’OVERTON

 

Il faut préalablement savoir qu’une idée quelconque évolue nécessairement de façon autonome avec le temps sous la seule contrainte de la pression populaire. Ainsi, des concepts qui apparaissaient extravagants à une certaine époque sont devenus la normalité aujourd’hui et sans que les autorités aient joué un rôle dans ce processus, à part celui de légaliser le tout au moment opportun. Exemple : le droit de vote accordé aux femmes, qui représentait une opinion complètement grotesque voilà cent ans, et qui était tout à fait exclu de la fenêtre à ce moment-là, s’est transformé en une loi que plus personne ne conteste de nos jours. Grâce aux revendications populaires, cette idée a progressé au fil des décennies en suivant la gradation de la fameuse fenêtre.

 

 

 

Par le fait même, et à contrario, l’idée opposée est devenue quant à elle quelque chose d’inacceptable aujourd’hui, c’est-à-dire un concept qui se retrouve au point le plus éloigné de la fenêtre. Et du coup, un politicien qui oserait l’inclure dans son programme électoral se ferait lyncher sur la place publique.

 

 

 

Des personnes très intelligentes et très riches, mais à la moralité inexistante (les puissants de ce monde, quoi), ayant remarqué que c’était la pression des peuples qui faisait évoluer le plus efficacement les opinions vers la fameuse fenêtre d’Overton, ont eu l’idée de génie d’utiliser ce phénomène pour faire accréditer leurs propres fantasmes par le plus grand nombre. Ayant compris qu’il était préférable, oui, et même nécessaire, de s’adjoindre le consentement volontaire des populations, il ne suffisait finalement que de transformer les mentalités du petit peuple à son propre insu. Autrement dit, ils ont planché sur la question suivante : comment rendre l’inconcevable acceptable en se servant de la crédulité des gens et que ça ait l’air naturel ?

 

Et ils y sont parvenus

 

La méthode habituellement utilisée est décrite ci-dessous, pas à pas.

 

Prérequis essentiels pour déplacer des idées impopulaires vers la fenêtre d’Overton :

 

1) disposer de beaucoup d’argent (ces gens en ont plus qu’il n’en faut) ;

2) maitriser les techniques de manipulation des foules (ils les connaissent parfaitement) ;

2) avoir le contrôle des principaux médias (ce qui est chose faite aujourd’hui) ;

3) obtenir la collaboration des grands réseaux sociaux (ce qui n’est même pas une formalité puisqu’ils font eux-mêmes partie de la clique) ;

4) titiller ou payer (soudoyer) quelques personnes « crédibles » prêtes à se commettre publiquement : des consultants politiques, par exemple, ou encore des chercheurs, des scientifiques, des conseillers en communication, des célébrités artistiques et sportives, des professeurs d’université (il y a toujours une pléthore de ces mercenaires qui sont à la disposition du plus offrant ou de ces fanatiques qui ne demandent qu’une tribune pour s’exprimer)…

 

Processus

 

Les vulgarisateurs de la fenêtre d’Overton (dont Wikipédia) expliquent souvent cette démarche en se servant de l’exemple du réalisateur russe Nikita Mikhalkov qui l’a utilisé sur son blog Besogon.

 

 

Nikita Mikhalkov (1945 - )

 

Pour l’expliquer, cet homme a en effet choisi un concept impossible à accepter à l’heure actuelle pour l’ensemble de la population – le cannibalisme – et a décrit la manière d’utiliser la gradation d’Overton pour faire évoluer cette idée vers le centre de la fenêtre de façon à ce qu’elle soit éventuellement légalisée par les instances politiques.

 

Pour faire changement, nous prendrons ici autre chose que le cannibalisme comme sujet d’étude, car peu importe la notion initialement tabou, la méthode reste toujours exactement la même.

 

Scénario imaginaire

 

Imaginons qu’un groupuscule de mégalomanes multimilliardaires considère les gagne-petit comme des parasites qu’il faut éradiquer de la surface de la Terre pour laisser la place aux gens utiles et productifs (à noter en passant que ce genre de richissimes psychopathes existe réellement).

 

 

L’ineffable Bill Gates

 

Et imaginons en plus que cette petite clique estime qu’il faut commencer par réduire la population mondiale d’au moins 15 % au cours des prochaines années (ce qui représente toujours la réalité). Et finalement, imaginons que ce groupuscule se rend compte aujourd’hui que les moyens qu’ils ont utilisés jusqu’à maintenant pour en arriver à ce but (via la vaccination et les guerres, entre autres) ne fonctionnent pas selon leurs attentes, et qu’ils ont désormais dans la tête de stériliser obligatoirement toutes les femmes de 25 ans et plus.

 

Comment ces fous furieux s’y prendront-ils pour faire accepter cette idée par le plus grand nombre de gens en dépit du fait qu’à l’heure actuelle, dans nos pays occidentaux, qu’un individu émettant cette suggestion serait taxé de complètement cinglé, et que personne ne se donnerait la peine d’écouter ses arguments pour tenter de comprendre ou il voudrait en venir ?

 

 

 

Réponse : ils feront glisser cette idée – aujourd’hui parfaitement impensable –, lentement mais sûrement, vers la fenêtre d’Overton ; et en faisant en sorte que ce soient les gens eux-mêmes qui cheminent volontairement dans cette direction.

 

 

 

Voyage au cœur d’un processus maintes fois éprouvé…

 

1) Passer de l’inacceptable au radical (exagéré / extrémiste)

 

 

 

L’infime minorité de psychopathes milliardaires commence tout d’abord par enfin aborder le sujet en transgressant le tabou pour une toute première fois. En prenant soin toutefois de discuter de cette question sous « l’angle scientifique » et en prétextant (en inventant) une hypothétique catastrophe mondiale pour en arriver là.

 

C’est alors que des personnes avec un certain statut social – des chercheurs et des professeurs-conférenciers, par exemple, ou de généreux « philanthropes » – commencent à s’exprimer publiquement sur des tribunes à propos de cette question et en argumentant que la surpopulation est probablement devenue le problème numéro 1 de l’Humanité, et que d’ici 50 ans – et pas moins –, si nous ne faisons rien, nous nous entretuerons tous comme des animaux pour le moindre gramme de nourriture.

 

 

 

Quelques textes écrits par ces honorables sommités ainsi que quelques extraits de leurs conférences apparaissent ici et là dans les médias de masse et sur la Toile.

 

Ces initiatives créent obligatoirement un certain écho dans quelques franges marginales de la société : des forums commencent à en parler sur le Net ; des séminaires et des colloques sont organisés pour en débattre.

 

Et ceux-ci, bien sûr, sont relayés par la presse complaisante, mais sans faire la une des manchettes pour l’instant. Le but à ce stade-ci étant simplement d’inoculer cette idée dans l’inconscient des gens. Comme une graine que l’on plante en terre et que l’on arrose soigneusement en sachant qu’elle est en train d’éclore sans même qu’on le voit.

 

Une fois l’étape « radicale » atteinte, la grande majorité de la population trouve encore la suggestion proposée – la stérilisation de toutes les femmes de plus de 25 ans – pour contrer la surpopulation comme étant effroyable, et l’on traite ceux qui la promeuvent de pauvres tarés. Mais du moins, le sujet cesse d’être tabou et commence de temps à autre à être ouvertement discuté.

 

La graine a éclos. Timidement, certes, mais sûrement.

 

 

 

2) Passer du radical à l’acceptable (recevable / envisageable)

 

 

 

Les gens favorables à cette idée commencent alors à être beaucoup plus actifs. On voit peu à peu apparaitre des « spécialistes » de la question directement sur les plateaux de télévision.

 

Des « études scientifiques » sont exposées avec des graphiques, des tableaux et des statistiques prouvant hors de tout doute que l’Humanité s’en va vers la catastrophe.

 

L’ONU (l’Organisation des Nations Unies) publie également des rapports à cet effet sur son site.

 

Ceux qui prétendent que la surpopulation ne représente pas un problème d’une telle envergure sont insultés à l’aide de toutes sortes d’étiquettes – intransigeants, fanatiques, esprits obtus… – par ceux qui y croient (ou qui disent y croire : les médias, notamment). On les accuse surtout d’être opposés à la science.

 

Les mots pour parler de l’ensemble de ce phénomène sont adoucis : on ne dit plus « stérilisation », mais plutôt « régulation des naissances » ; et à ce stade-ci, on ne recommande pas encore la « stérilisation obligatoire », mais on insiste sur la nécessité de prendre des « mesures rigoureuses » avant qu’il ne soit trop tard.

 

Et puis – oups ! –, une association de jeunes femmes volontairement stérilisées vient d’être créée pour la première fois quelque part dans un pays « civilisé ». Les médias se jettent évidemment sur ce scoop comme des mouches sur un morceau de viande.

 

   

 

 

Une fois cette étape franchie, les radicaux de l’étape précédente forment maintenant une frange de la population qui se fait de plus en plus entendre. Et un peu plus de gens les écoutent sérieusement du fait que les médias leur donnent davantage d’attention.

 

 

 

L’idée intègre de plus en plus le débat public. Et l’arbre commence à pousser pour vrai…

 

 

 

3) Passer de l’acceptable au raisonnable (utile / rationnel)

 

 

 

La prochaine étape des psychopathes milliardaires pour mousser leur idée est de continuer à prouver envers et contre tous que la Terre s’en va inéluctablement dans un cul-de-sac et que la stérilisation deviendra une nécessité à notre corps défendant, c’est-à-dire qu’on le veuille ou non.

 

Les « spécialistes » qui adhèrent à une stérilisation à grande échelle ont maintenant beaucoup de place sur les plateaux de télévision.

 

 

 

Les médias – toujours eux – montrent quasi quotidiennement des chiffres alarmistes en lien avec la surpopulation et sont généreux sur les projections pessimistes à court, moyen et long terme. Des images-choc sont présentées pour bien « prouver » que le problème est déjà commencé et qu’il s’amplifie de façon exponentielle.

 

      

      

 

Les reportages se succèdent maintenant sur tout ce qui nous attend – famine, guerres, pollution, crises humanitaires… – dans quelques années si nous ne prenons pas les décisions qui s’imposent pendant qu’il est encore temps.

 

 

 

D’autres reportages sont également mis en onde dans lesquels on prouve que les humains peuvent littéralement s’entretuer lorsqu’ils se retrouvent dans des lieux surpeuplés, ou lorsqu’ils font face à des pénuries alimentaires.

 

 

 

Les études scientifiques « prouvant » cet état de fait sont mises à la disposition de quiconque veut en prendre connaissance sur Internet. Tandis que celles qui démontrent le contraire sont ignorées, ou classées très loin dans les algorithmes des moteurs de recherche ou carrément censurées par les réseaux sociaux des GAFA.

 

Des pistes de solutions – autres que la stérilisation obligatoire – sont présentées, mais selon les « experts », elles s’avèrent toutes finalement trop peu efficaces en regard de la situation qui a pratiquement dépassé le point de non-retour.

 

Les médias font en outre l’éloge de pays qui ont déjà mis de l’avant des politiques de restrictions des naissances (car il y en a, oui), mais focalisent leur attention sur les lacunes « évidentes » de celles qui ne prônent pas la stérilisation pure et simple

 

Une fois parvenu au stade du « raisonnable », la plupart des gens, même s’ils n’adhèrent pas encore en majorité à l’urgence de la situation et – de ce fait – à la solution drastique de la régulation des naissances par la stérilisation obligatoire de toutes les femmes dès l’âge de 25 ans, du moins sont-ils conscients qu’il faudra peut-être en venir là à plus ou moins court terme. Et ils s’en attendent.

 

L’arbre a pris davantage de volume et il n’a pratiquement plus besoin d’entretien pour croitre. Il le fait presque sur sa propre lancée

 

 

 

4) Passer du raisonnable au populaire (socialement admis)

 

 

 

C’est l’étape de l’acceptation par la majorité. L’idée entre enfin dans la fenêtre d’Overton

 

Les « spécialistes » ne remettent même plus en question la réalité catastrophique de la surpopulation : celle-ci est unanimement admise par tout le gratin scientifique à qui l’on donne complaisamment la parole dans les médias de masse. La population elle-même – à part une petite frange qui n’est pas dupe – a adhéré également à cette vérité et croit dur comme fer que l’Humanité s’éteindra d’ici une cinquantaine d’années si rien n’est fait.

 

De la même façon, les options ne sont plus très débattues : la stérilisation à grande échelle pour toutes les femmes de plus de 25 ans semble bel et bien la seule solution pour soustraire la planète de l’annihilation. Et l’on sent bien que l’on se dirige inéluctablement vers cette extrémité

 

Cette idée est même le thème de plusieurs chansons à succès et de romans de fiction, tandis que l’industrie cinématographique produit de plus en plus de films d’anticipation dans lesquels l’Humanité vit désormais dans un monde dystopique à cause de la surpopulation planétaire.

 

       

À noter que ces films existent déjà, mais il y en aurait beaucoup d'autres

 

Diverses célébrités féminines du showbiz ou du sport professionnel défraient la chronique en annonçant publiquement qu’elles se sont fait volontairement stériliser pour le bien de l’Humanité. Grâce à l’effet mouton, des milliers de fans leur emboitent le pas.

 

 

 

Les cliniques de stérilisation se multiplient dans tous les pays.

 

 

 

Puisque cette idée vient d’entrer de plain-pied dans la fenêtre d’Overton, les politiciens commencent à s’en mêler en incluant cette option dans leurs programmes électoraux.

 

 

 

Il existe bien sûr des voix discordantes – des « complotistes » –, dont une foule de scientifiques provenant de diverses branches, qui tentent de ramener leurs concitoyens à la raison, mais ils sont ridiculisés par le reste de la population, et ce, grâce aux médias qui les insultent à tour de bras ou qui les ignorent carrément.

 

    

La table est enfin mise pour la prochaine et ultime étape. L’arbre est sur le point d’atteindre sa pleine maturité et il est maintenant complètement autonome dans son entretien.

 

 

 

5) Passer du populaire à l’accepté (admis / approuvé / légalisé)

 

 

 

Et voilà, il n’y a plus qu’un pas à faire pour que le tout passe entre les mains des législateurs.

 

La menace – imminente – d’une catastrophe humanitaire à cause de la surpopulation planétaire est un fait acquis et bien vissée dans la tête des gens. Plus personne ne fait attention à ceux – même aux scientifiques renommés – qui contredisent cette sacro-sainte « vérité ». Le danger est maintenant aussi réel que le soleil qui se lève chaque matin.

 

Par contre, les moyens à prendre pour contrer cette fin du monde sont encore – un peu – discutables au sein des sociétés. La stérilisation obligatoire pour les femmes de plus de 25 ans ne fait pas tout à fait l’unanimité (100 %). Mais cela ne saurait tarder, car l’infime minorité de psychopathes milliardaires dispose toujours de plus d’un tour dans son sac à malices pour en venir là où ils le veulent. Quelques techniques supplémentaires de manipulation des masses et l’affaire sera définitivement scellée : ils pourront ensuite passer au stade du vote par les politiciens. Ce n’est plus qu’une question de temps, et ce ne sera plus très long. Quelques images-chocs supplémentaires diffusées par les médias pour accroitre le climat de peur et ce sera dans la poche. Ou – mieux encore – une campagne de terreur à grande échelle, comme celle de la pseudo-pandémie de covid-19.

 

 

 

Bref, l’arbre est rendu à pleine maturité, et il ne reste plus qu’à admirer le chef-d’œuvre et qu’à récolter ses fruits.

 

 

 

EXEMPLE (ACTUEL) D’UN CHEMINEMENT ARTIFICIEL PARFAITEMENT GÉRÉ ET RÉUSSI VERS LA FENÊTRE D’OVERTON

 

Nous vivons actuellement l’un de ces cheminements dans le sens que nous nageons en plein dedans. Les puissants de ce monde – l’infime minorité de psychopathes milliardaires – ont en effet commencé à légiférer sur un projet en se basant sur une idée – complètement mensongère – qu’ils ont rendue à terme en la faisant passer à travers toutes les étapes que nous venons de décrire, jusqu’à ce qu’elle soit parvenue dans la fenêtre d’Overton. Ce qui est fait à l’heure actuelle.

 

Je fais ici référence l’adhésion presque générale des citoyens de se voir éventuellement attribuer un « passeport carbone » pour faire face aux pseudo « changements climatiques ». Ce qui impliquera d’être contrôlés de la même façon – et pire encore – que nous l'avons été avec le fameux « passeport vaccinal » ; une mesure ségrégationniste que nous avons honteusement accepté de subir voilà peu de temps, et qui a été mis temporairement de côté – mais qui reviendra très certainement en force un moment donné elle aussi.

 

    

 

Pour en arriver là, les psychopathes milliardaires ont initialement créé un faux prétexte : une fausse crise climatique. Et ils sont pratiquement parvenus à leurs résultats aujourd’hui grâce à ce subterfuge :

 

 

 

1er but atteint : Cette supposée crise climatique ne fait plus aucun doute pour personne aujourd’hui à part certaines voix discordantes – dont une multitude de scientifiques – qui tentent de ramener les gens à la raison, mais qui ne sont plus écoutées à cause de la censure à grande échelle qui est appliquée contre eux.

 

2e but atteint : Le passeport carbone est sérieusement mis sur la table par les instances gouvernementales des pays occidentaux et tout porte à croire qu’il sera adopté à grande échelle d’ici peu.

 

 

 

Mais tout ceci ne repose en effet et en réalité que sur une fausse croyance : celle qui stipule que la fin de l’humanité est inéluctable si nous ne prenons pas des mesures drastiques pour réduire les « gaz à effets de serre » (voir la vidéo ci-dessous). Cette conviction a cheminé dans le processus vers la fenêtre d’Overton exactement comme celle de l’exemple de la surpopulation.

 

En fait, pour avoir une idée précise de ce qui s’est passé au cours des dernières années à ce propos, il ne suffit que le relire les 5 étapes précédentes en remplaçant le mot « surpopulation » par « changements climatiques », et en remplaçant l’expression « stérilisation obligatoire pour les femmes de plus de 25 ans » par « passeport carbone ».

 

Et ce sera bonnet blanc / blanc bonnet

 

Vidéo mettant en vedette des scientifiques détruisant complètement le mythe de la crise des changements climatiques Si cette vidéo venait qu’à disparaitre de YouTube – censure à grande échelle oblige –, ce qui est très susceptible de se produire à court terme, voici un lien pour la voir malgré tout : cliquez ici et bonne écoute

 

COMMENT ACCÉLÉRER LE MOUVEMENT VERS LA FENÊTRE D’OVERTON

 

L’inconvénient avec le cheminement d’une idée vers la fenêtre d’Overton, c’est que ce processus prend beaucoup de temps. Ce qui fait réellement suer les multimilliardaires psychopathes qui aimeraient bien profiter des résultats de leurs efforts avant de mourir. Heureusement pour eux, leurs « consultants » ont développé des méthodes pour accélérer le mouvement, dont voici les deux principaux – mais ce ne sont pas les seuls :

 

1^ère méthode pour gagner du temps : profiter d’une crise ou en fabriquer une de toutes pièces

 

Winston Churchill a dit un jour : « Il ne faut jamais gaspiller une bonne crise. »

 

 

Winston Churchill, 1^er ministre du Royaume-Uni de 1951 à 1955

 

Les puissants ont depuis longtemps compris ce vieil adage – et bien avant Churchill – qui signifie que lorsqu’une crise majeure survient de façon naturelle, il faut immédiatement la saisir comme une opportunité pour faire passer des lois qui, autrement, auraient provoqué la colère des citoyens, et pour asseoir davantage leur autorité sur les populations. Le principe étant que, lorsque les gens sont terrorisés à l’idée de mourir, ce sont eux-mêmes qui demandent les solutions pour les protéger. Des solutions qui auraient même été inconcevables à leur entendement juste avant la crise en question. Et, pire encore, pendant ce temps, ils sont prêts à abandonner leurs droits fondamentaux et leur liberté en remettant ceux-ci à leurs dirigeants.

 

 

 

Bref, une bonne crise traumatisante permet de sauter à peu près toutes les étapes décrites plus haut pour se retrouver vite fait en plein cœur de la fenêtre d’Overton, et en venir là en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf.

 

 

 

Mais comme les crises naturelles ne surviennent que de façon aléatoire et qu’un délai considérable peut s’écouler sans qu’il ne s’en produise une seule, les puissants – toujours eux – ont également compris qu’ils pouvaient eux-mêmes les provoquer plutôt que de les attendre bêtement.

 

Les crises peuvent être de toutes sortes : économiques, terroristes, sanitaires, énergétiques, climatiques, sky is the limit. En voici deux exemples qui ont exigé de gros moyens financiers et qui ont eu d’énormes conséquences en frais de pertes de vies humaines et de changements radicaux en regard des libertés fondamentales au sein des peuples « démocratiques », mais qui ont abouti au résultat escompté :

 

— L’attaque terroriste contre le World Trade Center le 11 septembre 2001.

 

 

 

Contrairement à ce que les élites mondiales ont voulu faire croire, cet attentat n’a pas été le fait d’obscurs terroristes d’Al Qaida (et ceux qui l’ignorent encore n’ont tout simplement pas pris connaissance de ce dossier, même sommairement). Il a plutôt été l’initiative des véritables dirigeants de l’Amérique qui rêvaient de décréter leur loi liberticide sur le contrôle des masses et sur l’abolition pure et simple des droits les plus fondamentaux protégés par la Constitution : mises des citoyens sur écoute, perquisitions, saisies de documents, accès aux données personnelles. Et cette loi (le Patriot Act) a justement été signée six semaines seulement après la tragédie du 11 septembre, et sans aucune contestation de la part d’une population toujours sous le coup de ce choc terrifiant.

 

Un exemple typique et parfaitement réussi d’une entrée fulgurante dans la fenêtre d’Overton à cause d’une crise.

 

 

 

Loi du Patriot Act

 

- La fausse pandémie de 2020

 

 

 

Que dire à propos de ce tout récent et gigantesque canular sans se faire encore une fois automatiquement taxer de « conspirationniste » ? Et l’ironie, c’est qu’il s’agissait bel et bien d’une conspiration. Une conspiration ourdie par cette frange extrêmement minoritaire de la population appelée les « mondialistes » (ou les « globalistes »). Le but de ceux-ci étant de profiter de cette crise pour enfin concrétiser leur fantasme de toujours : la « grande réinitialisation » économique et sociale (ou le « grand reset »).

 

Ils ne s’en sont d’ailleurs jamais cachés. Quatre mois à peine après le déclenchement de cette campagne de terreur sans précédent, le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab avait écrit et publié un livre (Covid-19 : la grande réinitialisation) dans lequel il exhortait la Terre à se saisir de cette opportunité pour réinitialiser le monde, une idéologie qui aurait scandalisé les citoyens en 2019, mais qui, depuis ce temps, est ouvertement envisagée par tous les bien-pensants de nos pays occidentaux.

 

      

Klaus Schwab et son livre sur la grande réinitialisation

 

Au sortir de cette crise, si tant est que l’on en est sorti au moment où sont écrites ces lignes – octobre 2022 –, l’idée de cette grande réinitialisation, et tout ce qu’elle implique en frais de pertes des droits et libertés fondamentales, s’est sérieusement rapprochée de la fenêtre d’Overton. D’inconcevable était-elle avant de se produire, elle en est maintenant au stade « raisonnable », si ce n’est « populaire » dans la tête de beaucoup de gens. Et pendant le temps qu’a duré ce canular, les citoyens traumatisés ont bel et bien consenti volontairement de vivre dans un pays où sévissait la ségrégation pure.

 

Eh oui, impensable, mais vrai. Analysez cette situation en prenant juste un peu de recul…

 

À ce rythme, un pas de plus – une autre crise de la sorte – et les rêves de domination de ces mégalomanes, grâce à notre propre consentement, passeront directement dans la fenêtre et elles seront adoptées en tant que lois. Ce qui ne saurait d’ailleurs tarder.

 

En attendant, les citoyens lambda ont du moins accepté d’être éventuellement de nouveau contraints à se plier aux idées suivantes dès qu’un prochain méchant virus sera annoncé dans les médias – un comportement qui sera automatique, comme celui du chien de Pavlov. Ainsi, à partir d’aujourd’hui, et au moindre commandement de leurs gouvernants, et sans aucunement rouspéter, les gens, encore une fois :

 

- consentiront à ce que la démocratie soit mise de côté et à être administrés par une dictature ;

- enfileront un masque qui ne protège de rien, même si cette mesure était et sera toujours complètement grotesque ;

- feront porter le même masque à leurs enfants, en dépit de leur développement cognitif ;

- se confineront ;

- n’approcheront plus personne à moins de deux mètres ; ne se toucheront plus ;

- laisseront mourir les personnes âgées, seules, dans les établissements de soins de longue durée ;

- s’astreindront de bon gré à des couvre-feux ;

- se feront injecter des produits médicaux expérimentaux dans le corps ;

- feront injecter ces mêmes produits médicaux expérimentaux à leurs propres enfants ;

- banniront les membres de leurs familles ou de leurs entourages qui ne se conformeront pas aux directives ;

- vivront de plein gré dans un régime de ségrégation ;

- accepteront la censure à grande échelle ;

- éventuellement, se feront pucer afin que tous leurs moindres déplacements soient contrôlés.

 

Tout cela, répétons-le, étant absolument inconcevable voilà seulement quelques années – début 2020…

 

 

 

Pour avoir une idée de ce qui se passe dans la tête de l’infime minorité de psychopathes milliardaires et des concepts complètement tordus qu’ils cherchent à imposer au reste de la planète, il ne suffit que d’écouter ce qu’ils disent publiquement, car ils ne s’en cachent aucunement. Dans cette vidéo, quelques extraits des conférences de Yuval Noah Harari, 1er conseiller du mégalomane Klaus Schwab, lui-même président du Forum économique mondial de Davos          Yuval Noah Harari et Klaus Schwab les têtes pensantes du monde de demain

 

2^e méthode pour gagner du temps : forcer la note par des campagnes agressives de désinformation

 

C’est-à-dire bousculer le tempo, faire montre d’audacieuses provocations en mentant à tour de bras.

 

Le principe, ici, est de passer à travers toutes les étapes de la fenêtre d’Overton, certes, mais à la vitesse grand V, en déployant de l’audace et de l’agressivité, et en se servant de tous les moyens de communication possibles pour obliger les populations à adhérer coûte que coûte à l’idée que l’on veut imposer

 

 

 

Nous sommes justement en train de vivre deux exemples très concrets de ce phénomène en ce moment même :

 

1) Forcer la note pour faire accepter la destruction systématique de notre identité humaine

 

L’un des buts des mondialistes est de détruire tout ce qui donne une identité aux êtres humains de façon à en faire des personnes indifférenciées, homogènes, lisses et – à la limite, grâce au puçage électronique et à leur projet de transhumanisme – de parfaits robots interchangeables. Ce qui procurera l’avantage secondaire – pour eux – de réduire les risques que les gens se regroupent avec leurs semblables pour protester contre les régimes en place.

 

Pour ce faire, ils ont commencé à s’attaquer – et très agressivement – à toutes les notions qui font référence à cette identité : les différences culturelles (ethnies), le concept de la famille et le genre homme-femme.

 

       

Destruction des différences culturelles

 

À cet égard, ils ont totalement remis en question la notion de « frontières » – en Europe, surtout –, et en favorisant – sinon en obligeant carrément – l’immigration massive sauvage. Cette immigration étant artificiellement provoquée par des mouvements de peuples provenant des nations en guerre, ou par l’immigration illégale non contrôlée – aux États-Unis, notamment. Le but, en plus de déstabiliser les pays hôtes, étant que les différentes ethnies en viennent un jour à se mixter, à se métisser et à adopter éventuellement une langue commune.

 

Destruction de la famille

 

Pendant que les citoyens de tous les pays occidentaux se terraient dans leurs maisons parce qu’ils étaient terrorisés à l’idée d’attraper un rhume – ou une simple grippe, au pire – les gouvernements de ces mêmes pays en ont profité pour faire passer une série de lois en catimini. L’une de celles-ci concernait l’abrogation de la primauté des parents sur leurs enfants. Au Québec, il s’agit de la loi 15, qui confirme que les enfants n’appartiennent plus désormais à leurs parents, mais bien à l’État ; sous couvert de bonnes intentions, bien sûr, c’est-à-dire en donnant comme exemple classique les enfants maltraités par leurs parents qu’il faut absolument sortir de ces lieux d’enfer.

 

Et de cette façon, un premier pas vers les futurs abus de pouvoir gouvernementaux vient d’être légalisé en toute impunité et avec le consentement tacite de tout le monde. Que se passera-t-il, par exemple – c’est un scénario très plausible –, le jour où les parents refuseront de faire injecter la merde expérimentale dans le corps de leurs enfants lorsque cela deviendra obligatoire ? Cette loi sera à coup sûr utilisée pour décréter que ces parents sont un danger pour le bien-être de leurs enfants, et des policiers pourront dans ce cas rentrer dans ces maisons et faire ce qu’on leur ordonnera de faire…

 

      

Impossible ? Pourtant, cette idée fait inexorablement son chemin vers la fenêtre d’Overton en cet instant même, et sans même que les personnes endormies n’aient connaissance de rien.

 

Pendant ce temps, de plus en plus d’écoles prennent des décisions concernant les enfants sans même consulter les parents. Toujours par rapport à la piquouse expérimentale, des milliers d’enfants de par le monde ont été injectés dans ces établissements en mettant simplement les parents devant le fait accompli. En réalité, les parents n’ont pratiquement plus leur mot à dire sur ce qui se passe dans ces institutions. L’État a bel et bien pris le contrôle de l’enseignement. Cela ne date pas d’hier, mais cette situation est de plus en plus acceptée par les parents qui sont maintenant complètement dépassés par les événements et qui ont abandonné le combat.

 

Et en plus des lois liberticides sur la primauté parentale et de la perte de contrôle de l’école par les parents, les recherches sur l’utérus humain artificiel se poursuivent allègrement aujourd’hui, et sans aucun débat éthique sur la question. Et le jour n’est pas très éloigné – dans quelques années à peine – où elles aboutiront.

 

 

Agneau se développant dans un utérus artificiel

Hôpital pour enfants de Philadelphie

 

Ce qui ouvrira la porte à d’énormes conséquences, car lorsque cette recherche aboutira concrètement, il y aura alors nécessairement homologation de brevets. Et la procréation par utérus artificiel appartiendra désormais à l’entreprise privée.

 

 

 

Entreprises privées qui offriront certes ce service à des parents financièrement très à l’aise – qui s’empresseront évidemment d’accepter.

 

 

 

Mais pas que, bien sûr. Ces services seront également offerts aux États qui, ne l’oublions pas, sont désormais les « propriétaires » des enfants. Aujourd’hui libérés des contraintes parentales, les temps sont proches où les gouvernements feront fabriquer des enfants pour leurs besoins étatiques. Et ils ne profiteront pas de cette nouvelle technologie pour le seul plaisir de les élever en les gâtant avec des câlins.

 

 

 

Et lorsque les États se mettront à faire produire des enfants en usine pour leurs propres besoins, ils passeront nécessairement en même temps un décret sur le contrôle serré des naissances naturelles (en prétextant la menace de la surpopulation mondiale)…

 

Et c’est ainsi qu’en plus de la perte de l’identité culturelle, celle de la famille sera également entièrement détruite. Comme nous venons de le voir, le processus est même profondément amorcé à ce jour.

 

N’en reste qu’une – une perte – qui va bon train elle aussi…

 

Destruction des sexes

 

 

 

Nous n’entrerons pas ici dans des tentatives d’explications sur le genrisme, le transgenrisme, le binaire et toute cette panoplie de concepts tordus et incompréhensibles sur les LGBTQRSTUW++++ dont les wokes se perdent eux-mêmes dans leur charabia de subtilités.

 

Si vous parvenez à comprendre ce que raconte ce professeur d’université pendant ces 7 minutes d’entrevue, vous vous méritez un doctorat honoris causa sans aucune autre évaluation

 

Disons que voilà à peine une dizaine d’années, les humains étaient divisés en deux sexes : les hommes et les femmes.

 

 

 

Même si la population en général en était venu à accepter l’idée qu’une minorité de couples puissent se former entre personnes de sexes identiques, et qu’une autre minorité de personnes veuillent carrément changer de sexe, la vie sous cet aspect-là était relativement simple à cette époque. Depuis lors, tout s’est terriblement compliqué.

 

Vous pouvez maintenant être dans un corps d’homme et affirmer tout bonnement que vous êtes une femme – et vice-versa –, et l’individu qui osera vous contredire sera cloué au pilori. Il semble aussi qu’un homme peut apparemment devenir enceinte – ou « enceint » ? – dans sa tête. Vous pouvez par ailleurs prétendre être un animal et personne n’aura le droit de vous traiter de fou.

 

Si l’on vous surprend à rire pendant le visionnement de cette vidéo, vous serez étiqueté de transphobe. Alors un peu de respect pour les mini-micro-minorités svp

 

Il parait qu’il existe maintenant une cinquantaine (!) de dénominations pour définir toutes ces nuances de genres.

 

Ce concept est même allègrement discuté dans les classes de primaire. Et ce n'est pas anodin : une génération entière de jeunes est en train d'être formatée dès le bas âge à cette idée qu'il n'y a plus d'hommes ni de femmes sur cette Terre.

 

Bref, qu’est-ce que tout cela signifie ? 

 

Cela signifie que lorsque l’être humain ne sera plus ni un homme, ni une femme, ni un enfant né de parents, et qu’il n’appartiendra plus à aucune nationalité ni à aucune communauté, il ne sera plus rien d’autre qu’un robot sans personnalité aux ordres de ceux qui l’auront créé et brainwashé.

 

 

 

Et comme d’habitude : ce sera nous-mêmes qui nous serons laissés conduire de la sorte à notre perte. Pas de façon naturelle, cette fois, par contre, mais grâce aux mensonges et à l’agressivité de ceux qui nous mènent à l’abattoir. Et grâce également à notre déplorable passivité habituelle.

 

 

 

Pour ce qui est de cette réalité – le démantèlement de l’identité humaine – en fonction du concept d’Overton, nous nous situons aujourd’hui quelque part entre l’acceptable et le raisonnable. Encore quelques années et nous entrerons de plain-pied dans la fenêtre en tant que telle.

 

 

 

Et il sera trop tard pour les regrets

 

2) Forcer la note pour faire accepter la pédophilie

 

 

 

La pédophilie chez les super-puissants de la planète a toujours été un sujet tabou dans toutes les sociétés où elle sévit (c’est-à-dire partout). Tous les – petits – scandales qui ont éclaté dans les journaux jusqu’à maintenant en lien avec cette affaire ne représentent qu’une minuscule pointe du gigantesque iceberg qui existe au sein de cette microscopique minorité de psychopathes milliardaires. Une simple parcelle de vérité sur cette réalité ferait frémir d’horreur les populations endormies de tous les pays du monde. Les milieux qui sont au fait de ce qui se passe au sein de cette société de décadents sont bâillonnés ou sont réduits au silence par la censure. Et si les médias de masse n’en parlent jamais, c’est bien parce que les patrons de ces organes de propagande font eux-mêmes partie de cette clique de dégénérés, et donc du problème dans son entier.

 

Et pourtant, en dépit du mutisme généralisé qui sévit à ce sujet depuis toujours, nous assistons depuis quelque temps à un nouveau phénomène : la pédophilie n’est plus un sujet tabou.

 

Cette perversion sexuelle commence en effet à être abordée dans les médias et dans les sociétés. Mais non pas comme une abjection que l’on doit absolument éradiquer, comme c’était l’habitude. Pas du tout. Elle est au contraire présentée comme quelque chose de « naturel » qu’il ne faut plus condamner !

 

La tendance est évidente, et les gens avertis ont tout de suite reconnu les signes des premiers pas vers une tentative de conquête de la fenêtre d’Overton :

 

- des tweets équivoques et des opinions controversées commencent à apparaitre ici et là sur la toile ;

- plusieurs sites « spécialisés » se demandent maintenant si la pédophilie est un véritable désordre psychique ou plutôt une orientation sexuelle naturelle (et non blâmable) ;

- certains instituteurs parlent ouvertement de ce sujet avec leurs élèves en dédramatisant le problème ;

- des « experts » en discutent sans gêne dans un langage « scientifique » ; 

- les drag queens deviennent des animateurs-trices d’émissions pour enfants comme si c’était la chose la plus normale du monde ;

- Walt Disney et Netflix promeuvent les émissions et les films de transgenres chez les enfants ; 

- des gouvernements abaissent l’âge de consentement des relations sexuelles ;

- des artistes font l’éloge – poétiquement – de l’amour avec les mineures ;

- le terme « pédophile » est en train d’être modifié pour « personnes attirées vers les mineurs »…

 

Alexis Cossette-Trudel a abordé ce sujet lors d’un excellent reportage sur la destruction de l’identité.       Cliquez sur l’image précédente ou ici pour avoir accès à ce reportage-choc. Les minutes 26 à 31 sont particulièrement en lien avec la banalisation de la pédophilie.

 

Bref, nous assistons effectivement là, en live – et très agressivement –, à toute la panoplie des moyens utilisés lors de la toute première étape du cheminement vers la fenêtre d’Overton : nous sommes partis de « l’inconcevable » et nous avons aujourd’hui atteint celle du « radical », et ce, très rapidement. Et nous sommes maintenant en route vers l’étape de « l’acceptable ».

 

 

 

Et si rien n’est fait pour endiguer ce mouvement, dans quelques années, des politiciens commenceront à parler de légaliser le tout.

 

 

 

Impensable ? À l’heure actuelle, si, bien sûr. Mais nous en reparlerons lorsque l’idée sera parvenue dans la fenêtre d’Overton.

 

 

 

Mais pourquoi diable avoir entrepris ce processus ? certains demanderont-ils. Pourquoi les psychopathes milliardaires pédophiles ont-ils abordé ce tabou au risque d’ouvrir une véritable boite de Pandore et que cela se retourne éventuellement contre eux ?

 

- parce que leur perversion était de plus en plus mise à jour par les lanceurs d’alerte via les réseaux parallèles d’information ;

- parce qu’ils en ont marre de vivre sous la crainte constante que cela se sache parmi les gens habituellement endormis et que cela puisse éventuellement créer un énorme raz-de-marée d’indignation ;

- parce qu’ils préfèrent prévenir cet événement en banalisant le problème ; de cette façon, si cela en vient un jour qu’à être découvert à grande échelle, l’indignation sera moindre, sinon même inexistante – dépendamment où en sera rendu le processus de cheminement de cette idée vers la fenêtre d’Overton ;

- parce qu’ils font d’une pierre deux coups avec cette campagne agressive de destruction des genres en s’en prenant directement aux enfants.

 

Voilà.

 

POUR CLORE LE SUJET DE LA FENÊTRE D’OVERTON DANS SON ENSEMBLE

 

 Image illustrant le cheminement (poétique) vers la fenêtre d’Overton

lorsque le processus est bien mené