Communiqué de Klaus Schwab à tous les chefs d’état occidentaux (février 2020)
→ Tous les articles → Messages
En février 2020, Klaus Schwab, président du Forum économique mondial, rédigea un mémo au nom des personnes les plus puissantes de la planète. Il le fit ensuite parvenir à tous les chefs d’État des pays dits « démocratiques » de la sphère occidentale. Ce message contenait les instructions auxquelles ces derniers devraient désormais se soumettre afin de gérer la crise sanitaire qui était sur le point d’être officiellement déclenchée.
par Ivanhoé
mis en ligne le 19 novembre 2022
PRÉSENTATION
Mesdames et messieurs les « gouvernants » de toutes les nations occidentales « démocratiques » de notre belle planète,
Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Klaus Schwab, le président du Forum économique mondial, dont vous êtes à peu près tous membres.
Klaus Schwab, fier représentant de « l’élite mondiale »
Je m’adresse toutefois à vous aujourd’hui en tant que représentant officiel des multimilliardaires qui contrôlent de fait votre monde et qui m’ont demandé de rédiger et de vous faire parvenir ce message. Veuillez donc considérer que ce sont eux qui vous parlent à travers moi.
INTRODUCTION : NOUS VOUS TENONS PAR LES COUILLES
Comme vous le savez tous, cela fait maintenant des décennies – sinon des siècles – que nous vous tenons par les couilles et que vous nous obéissez au doigt et à l’œil.
Justin Selfie Trudeau, le larbin de service des mondialistes qui était 1er ministre du Canada
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Et à noter que cette expression – « vous tenir par les couilles » – n’est pas du tout une figure de style, mais qu’elle est à prendre réellement à la lettre. Même par vous, gentes dames qui êtes « à la tête » de certains gouvernements. Et si vous avez un peu de mal à vous sentir concernées par ces mots remplis de sens, vous n’avez simplement qu’à affirmer à haute voix que vous êtes un homme, comme notre philosophie woke vous autorise à le soutenir sans que personne n’ait le droit de vous contester, et le tour sera joué. Comme vous voyez, nous pensons à tout.
Jacenda Ardern, la boniche des mondialistes qui était 1ère ministre de la Nouvelle-Zélande
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Nous trouvez-vous vulgaires ? Si c’est le cas, on s’en balance complètement. Nous pouvons nous permettre de faire tout ce qui nous passe par la tête, et dire ce que bon nous semble. Rien ne nous est interdit. Absolument rien. Car nous sommes intouchables. Et comme vous le constaterez au fur et à mesure de cette lettre : rien ne nous est d’ailleurs impossible. Et ce, pour le même motif.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, et pour que tout soit clair en partant, nous vous dressons la liste de toutes les raisons pour lesquelles nous vous tenons – effectivement et littéralement – par les couilles, tous autant que vous êtes, et que vous ferez tout ce que nous vous ordonnerons de faire durant les prochains mois.
1ère raison qui explique votre état de complète soumission à notre bonne volonté : tout en haut de la pyramide des super-puissants de ce monde (nous), se trouvent ceux qui contrôlent TOUT, et j’ai nommé les banques, bien sûr – les banques centrales et les banques privées ; et de cette situation de fait découle pratiquement tout le reste de votre condition.
Étant donné que vos pays se sont endettés jusqu’à la moelle à cause de – ou grâce à – vos dépenses annuelles inconsidérées, et étant donné également que c’est nous qui vous avons prêté cet argent que vous n’êtes même plus en mesure de nous rembourser, eh bien voilà : vous mangez dans nos mains, et ce, depuis des lustres. En tant que vos créanciers – certains nous appellent vos « usuriers » –, nous pouvons de ce fait vous faire faire tout ce que nous voulons. Comme bon nous semble. N’importe quoi. Et nous ne nous en privons pas. Le jour, par exemple, où nous vous sommerons de faire le pitre devant tout le monde dans vos Parlements et devant vos citoyens, vous vous exécuterez. Point barre.
Vous le faites d’ailleurs depuis longtemps – le pitre –, mais ce n’est rien à comparer à ce qui vous attend. D’un simple claquement de doigts de notre part, vous descendrez encore plus bas dans l’univers de la dépravation et de la honte. Tenez-vous donc prêts.
François le Goth, le larbin de service des mondialistes qui était 1er ministre du Québec
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
2e raison qui explique votre état de complète soumission à notre bonne volonté : nos multinationales contrôlent tous les grands secteurs de vos économies et de vos sociétés via nos incommensurables fortunes et nos monstrueux tentacules.
Peu importe le secteur de votre pays que vous considérez, gardez bien en tête que c’est nous qui le contrôlons : énergie, agriculture, infrastructures immobilières, armement, médias… Absolument tout. Nous contrôlons même vos supposées structures étatiques (politique, sécurité, santé, justice et défense nationale, notamment) via de discrets et généreux pots-de-vin et menaces de chantage envers les détenteurs de certains postes stratégiques (il n’y en a pas tant que ça, contrairement à ce qu’on pourrait penser). Mais de cela, vous êtes bien placés pour le savoir, ha !
Bref, comme le dit si bien l’adage : c’est l’argent qui mène le monde. Et l’argent, eh bien, c’est nous qui l’avons (voir plus bas). Et nous en avons plus qu’il n’en faut pour faire toute la pluie et le beau temps que nous voulons.
De cette façon, lorsque l’envie nous prend, par exemple, de créer des crises dans certains secteurs de vos économies et de vos sociétés, nous n’avons qu’un mot à dire. Une petite chiquenaude, et c’est parti : vous tombez en récession, ou en troubles sociaux, ou en guerre, ou en famine, ou en pandémie, ou peu importe. Ce sont nous, et nous seuls, qui sommes les maitres de vos destinées.
3e raison qui explique votre état de complète soumission à notre bonne volonté : vous êtes parvenus à la tête de vos pays respectifs grâce à nous (ou, plus précisément, grâce à nos « dons »).
Angela Merkel, la bonniche des mondialistes qui était chancelière d’Allemagne
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Inutile de vous rappeler que depuis la nuit des temps, la politique c’est : « no money no candy ». Ce qui signifie que si vos caisses électorales sont vides, vous n’aboutissez nulle part. Or, il appert que vos caisses électorales, ce ne sont évidemment pas les petites donations négligeables de vos commettants qui vous les remplissent. C’est nous qui nous chargeons de cette tâche de mandat en mandat.
À partir du moment où vous avez été élus et que vous avez pris possession de vos nouveaux bureaux, vous êtes donc devenus nos débiteurs – nos vassaux – et vous êtes dans l’obligation de nous retourner l’ascenseur. C’est comme ça que ça marche depuis toujours, et pas autrement. Et ce n’est pas demain la veille que ça changera. Entre vous et nous, c’est une histoire d’amour qui durera éternellement.
Une des multiples versions LGBTQXYZ+++
4e raison qui explique votre état de complète soumission à notre bonne volonté : nous vous donnons l’illusion que vous faites partie de notre clan de privilégiés, et que votre avenir en tant que nantis est assuré.
Emmanuel Macron, le larbin de service des mondialistes qui était président de la France
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Avec les années, nous avons créé quelques clubs privés dont nous, les banquiers et quelques autres multimilliardaires de renom et d’influence, assurons évidemment la présidence : le groupe Bilderberg (le plus hermétique et le plus important), le Council of Foreign Relations (CFR), la Commission trilatérale et le Forum économique mondial (World Economic Forum – WEF – en anglais), pour ne nommer que ceux-là.
Ces « think tanks » (c’est comme ça qu’on nous appelle pour nous faire bien paraitre), très fermés, ont pour but, « officiellement », de sauver l’Humanité de son annihilation. Et qui sont les mieux placés pour mener ce projet à terme ? La crème de la crème de la société, bien sûr, c’est-à-dire nous, les puissants de ce monde, la petite clique de multimilliardaires, qui sommes les seuls habiletés à savoir exactement quelles actions entreprendre pour arracher cette pauvre planète à son inexorable destin.
Le Dieu George Soros, l’une des principales sommités mondialistes
Dans notre magnanimité, nous vous invitons toutefois à en faire partie, vous, les petits gouvernants. Vous y êtes parfaitement inutiles, mais cette initiative de notre part, en plus de vous avoir à l’œil, nous permet de vous faire accroire que vous êtes importants dans ce monde et que vous y jouez un rôle décisif. Nous émoustillons en fait votre gros ego de pacotille. Quoi de plus zélé, en effet, qu’un premier de classe à qui l’on dit, en plus, qu’il est l’élite de la société planétaire ?
Deux premiers de classe au Forum économique mondial
5e raison qui explique votre état de complète soumission à notre bonne volonté : nous avons de l’argent à ne plus savoir qu’en faire.
Lorsque les gens ordinaires entendent que nous sommes multimilliardaires, ils ne semblent pas prendre réellement conscience de ce que cela signifie. C’est tellement énorme que leur cerveau est incapable de concevoir la démesure de ce concept. Et cela se comprend : nos liquidités financières sont sans limites – comme les dimensions de l’espace. Et en fait, les fortunes combinées de quelques-uns d’entre nous ne s’évaluent plus aujourd’hui en milliards, mais bien en « billions ». En billions de dollars ou d’euros, peu importe (vous saisissez bien qu’à ce niveau, dollars ou euros ou roubles ou whatever, c’est exactement pareil pour nous).
Savez-vous ce que sont un billion de dollars ? Un billion, c’est mille milliards de dollars.
Mettons qu’un homme ordinaire de la rue se voit tout à coup offrir un million de dollars. Il se considérera désormais comme étant très riche, vous en convenez ? Eh bien, en comparaison, ce montant – une peccadille pour nous, un sou noir dans le fond de nos poches – représente moins de 0,0001 % de nos avoirs personnels. C’est comme si vous aviez déjà vous-mêmes 100,000 $ à la banque et que vous en rajoutiez 10 de plus.
Difficile à concevoir, n’est-ce pas ? C’est bien pour cette raison-là – l’impossibilité pour le cerveau humain de concevoir de tels chiffres –, que les petites gens ne tentent même pas de se lancer dans l’exercice. Cela dépasse leur entendement, et leur instinct leur ordonne de ne pas aller plus loin dans leurs réflexions. Pour eux, nous sommes simplement « très riches » et cela leur suffit. Et pourtant, nous ne sommes pas que « très riches ». Nous le sommes au point de nous trouver nous-mêmes indécents. C’est tout dire.
Mais peu importe. Ce que nous voulons faire comprendre ici, c’est que cette fortune nous permet de subventionner des milliers d’associations (dont l’OMS, entre autres) et de laboratoires de recherche à travers le monde, ainsi que de soudoyer le nombre de personnes sur la planète que nous désirons. Et tout cela sans que cela ne dérange le moindrement nos bilans de fin d’année financière. Et c’est ce que nous avons fait – patiemment et allègrement – au cours des décennies passées. Avec pour résultat que nous avons aujourd’hui tous les gens à tous les postes-clés de tous vos pays dans nos poches.
Les citoyens lambda de vos pays savent bien, au fond, que la corruption existe dans leurs institutions, mais ils sont loin de se douter jusqu’à quel point. Et même si on leur disait crûment cette vérité, ils se refuseraient à la croire tant la réalité dépasse la fiction.
Ce qui nous arrange drôlement, car tant que vos populations demeureront dans le déni – comme ils le font toujours –, ils ne se rebelleront jamais. Tandis que nous, nous pourrons faire avancer nos plans en paix.
Mais heureusement que vous, les dirigeants de nations, vous savez exactement ce que cela signifie. Vous comprenez parfaitement la nature de telles fortunes. Et vous savez, sans que l’on soit obligé de vous faire un dessin, qu’avec de tels moyens à notre disposition, vous vous feriez emporter comme des fétus de paille au moindre geste de rébellion de votre part.
Boris Johnson, le larbin de service des mondialistes qui était 1er ministre du Royaume-Uni
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Ce qui nous amène au dernier point de cette liste…
6e raison qui explique votre état de complète soumission à notre bonne volonté : si vous nous faites faux-bond, nous vous écraserons comme des mouches.
Il est dans votre intérêt de ne pas douter une seule seconde des conséquences d’une trahison.
Nous avons plus d’un tour dans notre sac pour garantir votre docilité et pour vous punir le cas échéant. Et vous les connaissez très certainement : lorsque la corruption basique ne marche plus (ce qui est très rare), nous passons habituellement au chantage, c’est-à-dire que nous menaçons de briser vos réputations et vos carrières (avec de vrais ou de faux scandales, peu importe) ; ou encore, un cran plus loin, nous menaçons de nous en prendre à votre intégrité physique ; et si cela ne fonctionne toujours pas, nous nous servons alors de notre ultime recours : les menaces contre l’un de vos proches.
Scott Morrison, le larbin de service des mondialistes qui était 1er ministre de l’Australie
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Tous ces trucs nous ont été appris de la pègre, mais nous les avons évidemment affinés afin de les rendre plus discrets. Nous avons une certaine classe quand même !
Différences entre le mafioso milliardaire et l’homme d’affaires multimilliardaire : la classe et le raffinement
Quoi qu’il en soit, le danger de perdre vos petites fortunes et vos privilèges fait en sorte que nous n’avons pratiquement jamais à en venir à ces extrémités. Et c’est tant mieux. Non pas que ces moyens nous répugnent, mais ils nous agacent toujours un peu de devoir les utiliser. C’est comme de devoir se gratter pour se débarrasser d’une légère démangeaison passagère.
Et puis, nous perdons inutilement notre temps à vous trouver un remplaçant.
LE PLAN GÉNÉRAL
Ces petites considérations étant précisées et suffisamment claires, espérons-nous, entrons maintenant dans le vif du sujet, c’est-à-dire dans notre projet. Projet qui est déjà en branle depuis décembre dernier, soit dit en passant, mais qui s’engagera dans sa phase critique en mars prochain, dans moins d’un mois, donc, et dans lequel vous jouerez un rôle important dans son bon déroulement. Nous n’avons pas besoin d’insister davantage sur ce qui vous arrivera si vous échouez. Mais si vous vous montrez à la hauteur, sachez qu’il y aura une place réservée pour vous dans notre futur paradis terrestre.
Avant tout, quelques mots sur notre objectif final… Et seulement que quelques mots, oui, car nous n’entrerons pas dans les détails. En tant que simples pions sur notre échiquier, vous comprendrez que vous n’avez pas à être dans le secret des dieux.
Quelques pions sur l’échiquier du plan mondialiste
En d’autres termes, nous sommes les généraux de cette campagne qui vient de commencer, et vous n’en êtes que les simples soldats. Et dans une guerre, les soldats ne font qu’obéir aux ordres sans vraiment connaitre les vastes plans organisés par l’état-major.
Le général Schwab, porte-parole des mondialistes,
passant quelques-uns de ses larbins de service et de ses bonniches en revue
avant le lancement officiel de l’Opération Covid 19
Nous consentons néanmoins à vous en donner une vue d’ensemble pour que vous puissiez au moins savoir vers où s’en va l’avenir de l’Humanité sous notre gouverne « éclairée ». Pour les plus curieux d’entre vous qui désireraient en connaitre davantage, nous vous recommandons deux ouvrages de référence :
1) Vous pouvez tout d’abord relire le document que nous avons déjà produit et qui s’intitule Transformer notre monde : le Programme 2030 pour le développement durable (plus connu sous le nom d’Agenda 2030) et qui décrit la vision vers où nous voulons diriger l’Humanité d’ici moins d’une dizaine d’années (sous forme édulcorée et remplie de bonnes intentions, bien sûr, afin d’amadouer la plèbe)
2) Mais surtout, vous n’aurez qu’à lire le livre que j’ai moi-même écrit en collaboration avec Thierry Malleret (l’un de nos « faiseurs d’opinions » favoris), qui s’intitulera Covid 19 : La grande réinitialisation, lorsqu’il sera publié en juillet prochain.
Klaus Schwab et Thierry Malleret
Nous vous en enverrons même une copie gratuitement à condition que vous fassiez la promotion de son contenu lors de vos interventions publiques.
(PARENTHÈSE) Le premier de classe, Selfie Trudeau, en bon petit soldat, s’acquittera d’ailleurs de cette tâche dès le 29 septembre 2020, soit à peine 2 mois après la parution du livre |
À noter que nous vous le ferions bien parvenir tout de suite, étant donné qu’il est déjà terminé, mais le plan prévoit que je ne l’aurai officiellement écrit qu’en juin prochain, sur une « impulsion subite », pendant la panique de la pandémie qui est sur le point d’être déclenchée par nos bons soins. Pour que cela ne paraisse pas trop louche – ou trop évident – aux yeux de quelques personnes plus allumées que les autres, nous nous gardons donc une petite gêne pour l’instant.
Cela dit, nos buts ultimes, sur lesquels nous nous sommes entendus entre nous, les super-puissants, sont :
1) de nous emparer « légalement » de l’intégralité des possessions de vos pays – et de toutes ses richesses naturelles, cela va de soi ;
2) de diminuer la population mondiale d’au moins 10 ou 15 %, et de prendre le contrôle de tous les faits et gestes des humains restants à travers un processus de « perte d’identité », de « transhumanisme » et de « crédit social » à la chinoise.
Pour faire ça simple, nous voulons devenir les MAITRES DU MONDE… Est-ce suffisamment clair ?
Nous n’en sommes pas encore là, bien sûr, mais une chose est certaine, c’est que nous y arriverons d’ici quelques années, si tout se passe comme nous le prévoyons.
Pour y parvenir, nous déclencherons différentes crises au cours des mois, et même au cours des années à venir : une crise sanitaire, une crise sociale, une crise économique, une crise climatique, une crise énergique et une crise géopolitique.
Ces différentes crises instaureront la peur au sein des habitants de cette planète, et nous profiterons du climat de chaos qui s’ensuivra nécessairement pour mettre enfin en branle les grandes lignes de notre programme. Rien de tel, en effet, que de bonnes vieilles crises génératrices de peur dans le cœur des populaces pour faire passer n’importe quoi. L’histoire nous a démontré que ça marchait à tous les coups. Et lorsque les crises ne surviennent pas d’elles-mêmes, eh bien, il suffit simplement de les provoquer artificiellement. Ce ne sont pas les premières que nous organisons, et ce ne seront pas les dernières non plus.
L’une de ces crises que nous avons actuellement dans le collimateur – la sanitaire – est déjà en branle au moment où vous lisez ces lignes (février 2020), et c’est justement sur celle-ci que porte ce mémo.
LA CRISE SANITAIRE – PANDÉMIE DE COVID-19
Phase 1 = préliminaires
Nous l’avons préparée depuis des années, celle-là. Dans cette optique, notre fausse pandémie de H1N1 de 2009 avait été un exercice pour nous « faire la main », si nous pouvons nous exprimer ainsi.
Étant donné son échec relatif à l’époque, nous avons depuis lors relevé toutes les erreurs que nous avions commises – le problème de l’importance des réseaux sociaux notamment – et nous avons tenté d’y remédier en prévision de la prochaine.
Le 18 octobre dernier (2019), soit deux mois avant le déclenchement de notre nouvelle fausse pandémie (celle de la covid-19), nous avons organisé un exercice de simulation de pandémie de coronavirus en collaboration avec le Centre de sécurité sanitaire Johns Hopkins, le Forum économique mondial, la Fondation Bill & Melinda Gates, le GAVI, l’université d’Oxford, ainsi que des médecins et des représentants de Big Pharma.
Nous l’avons appelé « Event 201 » (l’Événement 201)
La pandémie simulée lors de cet exercice peut à juste titre être considérée comme la répétition générale de celle que nous venons de mettre en branle en live sur le terrain. Le nom de la maladie avait été modifié, bien sûr – nous ne sommes quand même pas fous ! Ainsi, plutôt que covid-19, nous l’avions simplement baptisée « CAPS » (appellation générique pour toutes les maladies auto-inflammatoires).
Cela dit, toute la gestion de cette pandémie de covid-19 qui ne fait que commencer, et les rôles que nous vous demandons d’y jouer, ont été passés au peigne fin lors de cet exercice de simulation. À la fin de celle-ci, et au risque d’éveiller les suspicions, nous avons décidé de ne plus attendre plus longtemps et de battre le fer pendant qu’il était chaud. D’autant plus que notre coronavirus était fin prêt dans ses éprouvettes.
Car parallèlement au programme de déstabilisation des sociétés que nous avons élaboré au cours des dernières années, nous avons en même temps fabriqué le coronavirus SRAS-CoV-2 en laboratoire : plus précisément à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine (voir ici, ici et ici, par exemple).
Institut de virologie de Wuhan
En collaboration avec quelques amis chinois, nous l’avons ensuite « laissé s’échapper » du complexe l’automne dernier. Et puis, nous l’avons finalement « laissé s’échapper » de la Chine en maintenant les frontières de ce pays ouvertes.
Bien entendu, il nous a fallu inventer une histoire pour détourner l’origine réelle de ce début d’épidémie. La version officielle – et vos déclarations ne devront s’en tenir qu’à celle-ci – est que ce coronavirus est issu d’une chauve-souris ; qui l’a transmis à un pangolin ; qui l’a lui-même transmis à l’homme. Voilà pour ça.
Et nous avons ensuite enjoint aux journaleux à notre solde de mettre l’accent sur cet « incident ». Vous avez sûrement dû le remarquer. Les médias insistent en effet beaucoup sur ce sujet depuis deux mois maintenant. Mais avons également exigé qu’ils soient extrêmement contradictoires et incohérents dans leurs déclarations. C’était intentionnel, car nous avions deux buts à atteindre à ce stade-ci :
1) Répandre rapidement le virus à travers le monde. En restant flou sur sa dangerosité, les frontières sont ainsi demeurées ouvertes et les populations n’ont pas cru bon de se protéger en rien, ni de vous demander d’intervenir.
2) Commencer à ébruiter la nouvelle que quelque chose d’important s’en vient de ce côté-là. De cette façon, lorsque l’information tombera en mars prochain – la bombe –, les gens ne seront pas totalement pris par surprise, car ils en auront entendu parler.
Tout se passe donc comme prévu jusqu’à maintenant : les gens sont au courant qu’une épidémie fait rage « quelque part », mais ils ne sont pas encore autrement inquiets ; et le virus est en train de s’étendre partout.
Voilà où l’on en est à ce jour.
Phase 2 = campagne de terreur (à partir de la mi-mars 2020)
Nous avons maintenant le plaisir de vous annoncer que dans moins d’un mois, soit à partir de la mi-mars, vous, nos fidèles serviteurs, vous entrerez directement et concrètement en action.
Le but de cette nouvelle étape sera d’instaurer la panique sur toute la planète.
Pour parvenir à la créer, il sera impératif que vous vous serviez vous aussi des médias traditionnels qui sont pratiquement tous sous notre contrôle au moment où vous lisez ce texte. La très grande majorité nous appartient déjà, à nous les multimilliardaires de ce monde. Tous les autres – les plus petits – sont censément sous votre propre domination grâce aux subventions gouvernementales dont nous vous avions préalablement ordonné de les inonder.
(PARENTHÈSE) Selfie Trudeau, le premier de classe des mondialistes, s’était d’ailleurs très bien acquitté de ce petit « problème » des médias, allant jusqu’à s’en vanter publiquement |
Avec les médias pour transmettre vos messages, il sera très facile de parvenir à ce premier objectif. Vous verrez : ils sont excellents dans cette tâche. En fait, c’est leur spécialité depuis toujours.
Bref, en vous servant des médias, vous annoncerez à vos citoyens, et à grand renfort de proclamations terrorisantes, que cette fameuse pandémie provenant de la Chine, et contre toute attente, est maintenant en train de décimer la population mondiale, et que toute la planète risque d’y passer.
Cela devrait sidérer et traumatiser tout le monde d’un seul coup.
Nous vous donnerons un coup de main en faisant publier un rapport de l’Imperial College London par notre corrompu habituel en matière de pandémie catastrophique (Neil Ferguson) qui annoncera, comme il l’avait fait en 2009, que si nous ne prenons pas des mesures drastiques pour enrayer ce nouveau fléau, la fin de l’Humanité sera inéluctable (date prévue de parution de l’article : 16 mars 2020).
Neil Ferguson, collaborateur de la première heure des mondialistes,
l’homme de tous les modèles pandémiques catastrophique.
Il s’est toujours royalement planté dans ses prédictions,
mais tout le monde continue étrangement de l’écouter
en tant que « le spécialiste » de la question.
Nous nous arrangerons pour que ce rapport fasse le tour de la planète. Et nous vous garantissons que cela mettra le feu aux poudres.
Comme vous pouvez le constater, nous ferons notre part. Il ne vous restera qu’à faire la vôtre. Et nous espérons que vous ne nous décevrez pas. Et pour vous motiver, rappelez-vous bien que si jamais vous merdez…
Pendant que les médias s’amuseront à terroriser les populations, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, vous aurez vous-mêmes différentes actions à mener de front pendant les premiers jours de cette crise :
— Vous musèlerez tout d’abord toutes les oppositions dans vos gouvernements respectifs en ordonnant l’état d’urgence sanitaire nationale. Vous deviendrez ainsi les seuls maitres de vos pays, et vous pourrez désormais passer n’importe quel décret comme des lettres à la poste. Il sera d’ailleurs impératif que vous mainteniez cet état d’urgence le plus longtemps que vous pourrez : deux ans, minimum.
Le larbin de service des mondialistes au Québec, François le Goth,
annonçant l’état d’urgence sanitaire dans sa province « démocratique ».
Cette situation prendra fin le 1er juin 2022.
Pendant ce temps (plus de 2 ans), il sera seul au pouvoir, sans aucune opposition.
— Vous manipulerez les chiffres de mortalités de façon à ce qu’ils aient davantage d’impacts sur le traumatisme de vos populations 1) en attribuant désormais une multitude de décès qui surviendront dans vos hôpitaux uniquement à la covid-19 ; 2) en faisant disparaitre la grippe ordinaire de vos statistiques ; et 3) en interdisant les autopsies pour connaitre les causes réelles des décès.
— Vous confinerez vos populations et vous fermerez les commerces « non essentiels » pour un MINIMUM de trois semaines.
Et vous rallongerez cette période autant de temps que vous pourrez. Un bonus sur les montants que nous vous allouons vous sera d’ailleurs versé pour toute semaine supplémentaire de confinement que vous réussirez à obtenir. Alors, faites preuve d’imagination.
— Vous prendrez toutes les initiatives personnelles que vous pourrez – mais discrètement, bien sûr – pour que le virus se répande malgré tout et qu’il sème la destruction : répétez sans cesse qu’il n’y a aucun médicament connu pour contrer cette maladie ; dites que le port du masque ne sert à rien ; et surtout – SURTOUT –, faites en sorte que le virus se propage au sein des établissements de personnes âgées non autonomes : ce microbe étant similaire à celui de la grippe, il fera des ravages si vous laissez les vieux croupir dans les hospices sans aucun soin.
— Vous arroserez les gens et les petites entreprises de subventions gouvernementales pour les pertes qu’ils subiront pendant le confinement. Et soyez excessivement généreux. Le but étant d’endetter davantage vos sociétés auprès des banques qui vous tiendront encore plus par les couilles qu’ils ne le faisaient jusqu’à maintenant. Vous verrez à la fin de ce message où nous voulons en venir avec cette histoire de dettes.
Selfie Trudeau, le larbin de service des mondialistes,
d’une extrême générosité avec l’argent des contribuables canadiens
Si vous jouez bien les rôles que nous vous assignons, ces quelques mesures de base nous permettront d’atteindre nos premiers objectifs : terroriser et asservir les populaces ; éliminer plusieurs bouches inutiles à nourrir (les vieux, surtout) ; détruire la plus grande part possible de la petite et moyenne entreprise ; commencer à démolir le tissu social ; endetter davantage les pays.
Phase 3a = prolongation de l’état d’urgence sanitaire envers et contre tous (à partir de mai 2020)
Pour tout vous avouer, notre fantasme ultime aurait été que ce coronavirus que nous avons fabriqué (le 14e coronavirus connu) et que nous avons libéré à Wuhan, soit à la hauteur de nos attentes et qu’il décime réellement la population. Mais nous sommes réalistes. Nous savons fort bien – car toutes les études le démontrent – qu’un virus très mortel comme celui dont nous rêvons (comme Ebola, par exemple) ne parvient jamais à se propager très longtemps au sein des masses, et qu’il est facilement délimité et conjuré. Un virus non mortel réussit quant à lui quelquefois cet exploit de proliférer de façon rapide, mais l’immunité naturelle des gens le combat alors assez aisément et il vient qu’à disparaitre avec le temps sans faire autrement de dégâts.
Graphique expliquant très bien la dangerosité des virus vs leur contagion.
Tiré d’un article paru dans le journal Le Monde le 29 janvier 2020, et intitulé :
Coronavirus, Kika, Ebola… : quelles maladies sont les plus contagieuses ou les plus mortelles ?
Même si nous avons mis les bouchées doubles pour construire un virus qui soit à la fois mortel et très contagieux (ce qui aurait été une première), nous croyons néanmoins que notre coronavirus se comportera finalement – et malheureusement – comme tous les autres coronavirus et qu’il ne fera pas plus de dommages que la grippe ordinaire (voir où il se situe – surligné en bleu – dans le graphique ci-dessus). C’est-à-dire qu’il ne sera probablement mortel que pour les personnes aux prises avec plusieurs morbidités (surtout les vieux). Et qu’il ne représentera qu’un malaise passager – un rhume, ou une grippe, au pire – pour le reste de la population. Et que l’immunité naturelle des gens fera le reste, comme d’habitude.
Ce qui sera très emmerdant, car nous avons vraiment besoin que les populaces en aient une peur viscérale pendant très longtemps.
Mais notre pandémie ratée de H1N1 de 2009 nous a préparés à ce scénario. Même si cette maladie sera probablement de nouveau sans conséquence majeure, nous avons tout prévu, cette fois, pour que les gens soient convaincus qu’elle représentera néanmoins la pire catastrophe sanitaire qu’ils auront vécue dans toute leur vie
Grâce à tout l’argent dont nous disposons, nous avons embauché les plus grandes sommités en manipulation des masses qui puissent se concevoir, et nous les avons fait travailler ensemble pendant plusieurs années pour qu’ils nous conseillent sur la meilleure façon de créer un véritable traumatisme dans l’inconscient collectif.
Et ils ont concocté un plan qui fonctionnera très certainement pourvu que vous vous soumettiez à la lettre à tous nos ordres.
Voyons un à un les principaux problèmes qui surviendront nécessairement et que nous aurons à gérer tous ensemble pendant cette phase…
Le problème de la crédibilité
Comme nous venons de le mentionner, notre virus ne sera probablement pas létal pour l’immense majorité des habitants de cette planète. Et il ne sera d’ailleurs pas vraiment dangereux, dans le sens qu’il ne requerra même pas un séjour à l’hôpital. Et les gens risquent de s’en rendre compte rapidement : ils n’auront qu’à regarder autour d’eux, et ils verront nécessairement que personne ne meurt dans leur entourage immédiat (familles, amis, connaissances…), sauf éventuellement les vieux déjà en fin de vie.
Or, pour nos futurs projets, il sera impératif que les populations vivent dans la peur pendant au moins deux ans.
Dans ce cas, il faudra obligatoirement altérer la réalité – et donc, la vérité
Il existe plusieurs citations pleines de sens sur le thème de la vérité émises par des personnages historiques. En voici quelques-unes…
Mentez, mentez. Il en restera toujours quelque chose |
Voltaire |
Plus le mensonge est gros, plus les gens y croiront |
Lénine |
Un mensonge répété dix fois reste un mensonge ; répété dix mille fois, il devient une vérité. |
Hitler ou Goebbels |
Toutes ces maximes ayant déjà fait amplement leurs preuves à travers les siècles, nous les mettrons en pratique une fois de plus. Et pas rien qu’un peu. Nous allons organiser une campagne de désinformation sans précédent dans le monde. Du jamais vu.
Et si nous nous y prenons bien, nous ferons passer la pandémie de peste noire du Moyen Âge comme un fait divers sans importance à côté de notre propre pandémie. Et nous vous promettons que dans le futur, les écoles et les encyclopédies enseigneront que la plus grande pandémie de tous les millénaires est survenue en 2020.
2050
Pour en venir là, un ensemble de ressources sera déployé pour que les populations adhèrent sans réfléchir à ce canular que nous nous apprêtons à lancer concrètement.
— Tout d’abord, nous mettrons encore une fois à contribution nos alliés les plus précieux, et j’ai nommé nos chers médias de masse qui nous sont tous dévoués.
Et ils ne lâcheront jamais le morceau, ceux-là. Ils répéteront sans cesse la « réalité » de cette pseudo-pandémie tant que nous ne leur dirons pas d’arrêter. Comme une litanie. Comme un mantra. Et de façon très anxiogène, en instaurant un climat de peur. Et sans jamais dévier un seul instant du même message. Pendant des mois et des mois.
Les gens l’entendront des milliers de fois, des millions de fois : à la radio, dans les journaux, à la télé, sur Internet. Et cela s’implantera dans leur cortex cérébral comme si nous leur greffions une puce informatique.
Et les journaleux ont également reçu l’ordre d’en remettre une couche en inondant leurs médias de fausses nouvelles : débordement des hôpitaux, par exemple, témoignages à gogo de gens qui frôleront les affres de la mort dans d’atroces souffrances, des enfants qui tueront leurs grands-parents sans le faire exprès, des scènes d’agonie, etc.
Un mensonge répété dix mille fois devient une vérité, a-t-on dit. Vous serez à même de constater que cette maxime pleine de « vérité » correspond à quelque chose de très concret.
— Nous ferons évoluer les concepts et les mots selon nos besoins du moment.
Par exemple, lors de notre pseudo-pandémie de H1N1 de 2009, nous avions exigé que l’OMS modifie la définition d’une pandémie. Jusqu’à ce jour, pour qu’il y ait officiellement une pandémie, il fallait qu’un certain nombre de gens meurent de la maladie en question. Depuis lors, des morts ne sont plus nécessaires. Il ne suffit que de compter des « cas », et peu importe que ceux-ci soient symptomatiques ou non.
Et puis, un autre exemple… Dans notre prochaine campagne de terreur, lorsque les morts ne seront plus suffisants pour affoler les populations via les médias, nous utiliserons le concept « d’hospitalisations ». Et plus tard encore, au moment – inéluctable – où les hospitalisations diminueront et ne seront plus suffisamment effrayantes, nous ferons référence à des « cas ».
Et des « cas », je vous promets qu’il y en aura jusqu’à plus soif. Grâce aux résultats – frauduleux – du fameux test PCR que nous utiliserons pour tester les gens, les « cas » se multiplieront à l’infini.
Bref, il vous faudra impérativement vous conformer à nos instructions qui vous parviendront au fur et à mesure que la situation évoluera par rapport aux mots que vous emploierez dans vos messages publicisés.
— Nous utiliserons un test de dépistage non adapté aux dépistages de maladies virales.
Le nombre de « cas » étant directement proportionnel au dépistage de gens censément infectés par la maladie, nous nous servirons du test PCR pour créer ceux-ci.
Ce test n’est absolument pas conçu pour détecter les maladies virales et tous les biologistes sont parfaitement au courant. Même son inventeur, le prix Nobel Karry Mullis, avait mis les scientifiques en garde contre cette utilisation possible de sa machine. Mais la population ordinaire n’en sait rien, elle. Et les explications pour décrire le fonctionnement de ce test sont si compliquées que les profanes curieux cesseront de tenter de comprendre au bout de quelques minutes seulement.
Juste dire ici que les fameux « cycles d’amplification » de ce test, qui déterminent la charge virale d’un échantillon, doivent se situer impérativement entre 17 et 25 pour être plus ou moins révélateurs de quelque chose. En deçà de cette limite, le test ne décèle rien, et au-delà, les résultats ne signifient plus rien du tout.
Pour que nous puissions rencontrer nos objectifs de « cas », vous veillerez personnellement à ce que le nombre de cycles d’amplification se situe non pas entre 17 et 25, comme c’est prescrit, mais plutôt entre 40 et 45.
Cela générera environ 97 % de faux positifs, mais tout le monde n’y verra que dalle, sauf les scientifiques qui sauront de quoi il retourne. Scientifiques que nous nous occuperons de museler, ceux-là aussi, bien entendu (voir plus bas).
— Nous gonflerons les statistiques.
Horatio Arruda, le larbin de service des mondialistes
qui était directeur de la santé publique du Québec
au moment de l’émission de cette lettre (début 2020)
Nous ne développerons pas cet aspect ici, car nous en avons déjà glissé précédemment un mot. Juste rappeler qu’en plus de calculer frauduleusement le nombre de « cas » grâce aux tests PCR, nous compterons également le plus grand nombre possible de décès comme étant des décès « covid », et ce, peu importent les causes réelles des morts.
Plus les chiffres seront gonflés, et plus les médias répéteront ceux-ci, et plus les populations paniqueront.
— Nous étirerons la sauce autant que nous pourrons (2 ans minimum) en nous servant de toute la « science » que nous pourrons.
Deux concepts nous seront très utiles à ce moment-là :
1) Le concept des « vagues »…
Les gens ne savent pas encore ce qu’est une « vague » dans le monde de l’épidémiologie, mais ils ne tarderont pas à l’apprendre. Les médias seront là, encore une fois, pour leur enseigner ce concept.
Ils apprendront ainsi qu’une maladie ne disparait pas bêtement après avoir été éradiquée. Eh non ! Elle revient plutôt périodiquement par vagues successives. Combien de vagues vivrons-nous avec la covid ? C’est nous qui déciderons. Et quand reviendront-elles ? C’est nous qui déciderons également. Et la maladie sera-t-elle moins dangereuse, de vague en vague, comme c’est toujours le cas pour les autres maladies virales ? Au contraire, elle sera pire de vague en vague.
2) Le concept des « variants »…
Les variants sont un second mot sans doute inconnu à ce jour de vos populations. Il ne le demeurera pas longtemps – inconnu – lui non plus.
Les gens apprendront ainsi qu’un virus, eh bien ça mute. Et qu’à chaque mutation, un nouveau virus nait ; c’est-à-dire un variant. Combien de variants apparaitront-ils ? Comme pour les vagues, c’est nous qui déciderons du nombre et de leur dangerosité – et nous pouvons d’ores et déjà vous affirmer qu’ils seront tous plus dangereux les uns que les autres. Ha !
Le problème des médias sociaux et des lanceurs d’alerte
Le plus important problème qui est survenu lors de notre fausse pandémie de H1N1 a été celui des réseaux sociaux… Nous n’avions pas réellement prévu leur efficacité en termes de propagation de la vérité. Et cela nous a donné une bonne leçon pour cette pandémie-ci. De sorte qu’aujourd’hui, parallèlement à la mainmise que nous détenons sur les réseaux d’informations traditionnels, nous mettrons en branle une série de mesures pour museler le plus possible les réseaux sociaux et discréditer les lanceurs d’alerte qui utilisent ceux-ci pour s’exprimer.
— Nous nous sommes tout d’abord assuré la collaboration sans condition des grands réseaux sociaux déjà existants.
Ce qui n’a été qu’une formalité, en somme, car ils font justement partie de ceux qui vous écrivent le présent message. Ils ont pour nom – du moins, pour les plus connus d’entre eux : Facebook, Twitter et YouTube (qui appartient à Google)
Non seulement ces géants d’Internet s’assureront-ils de passer notre propre message, mais censureront-ils également – et banniront-ils carrément – les voix discordantes de leurs abonnés qui mettront notre pandémie en doute.
Google réécrira en outre ses algorithmes de recherche pour que les premières occurrences concernant cette maladie soient toujours à notre avantage. Et finalement, nous nous occuperons même de Wikipédia de façon à que tous les articles ayant un rapport quelconque avec la pandémie correspondent avec la vérité que nous voulons imposer.
— Nous censurerons à grande échelle tous ceux qui s’opposeront à nous.
Nous venons juste de dire que les géants des réseaux sociaux s’occuperont de bannir ces intellectuels rebelles, comme il se doit.
Nous avons aussi fait passer le mot d’ordre à tous les médias traditionnels pour qu’ils ne donnent jamais la parole à ces gens – incluant les scientifiques de renommée internationale.
Nous sommes toutefois conscients que dans certains pays où la liberté de parole est un peu plus « délicate » qu’ailleurs – comme en France, par exemple –, nous sommes conscients, oui, que cette exigence sera difficile à satisfaire. Si cela s’avère réellement impossible à réaliser à 100 %, les médias s’arrangeront néanmoins pour inviter un très petit nombre de ces experts qui pourraient nous faire du tort sur leurs plateaux. Une stratégie consisterait à ce qu’ils se perdent dans la masse des autres experts (les nôtres) qui prendront également la parole sur ces mêmes plateaux. Et une supplémentaire serait qu’ils soient ridiculisés et discrédités publiquement par leurs propres confrères.
Dans d’autres endroits, comme au Québec par exemple, aucune raison ne justifiera l’organisation de débats publics dans les médias puisque ces peuples étant extrêmement dociles de nature, personne ne s’en plaindra jamais.
— Dans la mesure du possible, nous passerons sous silence les manifestations anti-mesures qui se dérouleront nécessairement un peu partout. À tout le moins, nous les minimiserons ou nous les ridiculiserons elles aussi.
(PARENTHÈSE) Un excellent exemple type de l’attitude de mépris qu’auront les journaux de masse à l’égard des manifestants anti-mesures sera celui du Journal de Montréal qui « couvrira » l’une des nombreuses manifestations qui se tiendront à travers la province pendant deux ans : ici, celle du 8 août 2020.
|
— Vous n’emprunterez jamais le terme « lanceurs d’alerte » pour désigner tous ceux qui nous contrediront ; vous utiliserez plutôt les mots « théoriciens de la conspiration », « conspirationnistes » ou « complotistes ».
Nous avons déjà avisé les médias de ne pas se gêner et d’utiliser eux-mêmes ces termes à toutes les sauces. Et nous leur avons même donné l’autorisation d’aller plus loin dans les insultes, et de prendre toutes les épithètes qu’ils jugeront bon d’employer. À la limite de la vulgarité, si besoin est.
Évidemment, nous ne vous demanderons pas à vous, les politiciens, de descendre aussi bas dans le mauvais goût. Mais pas loin. Vous utiliserez à tout le moins les mots « conspirationnistes » et « complotistes » autant de fois que vous le pourrez devant les caméras. Et n’hésitez surtout pas non plus à associer ces trouble-fêtes à l’extrême droite, au fascisme, aux ennemis de la démocratie, à la misogynie, au racisme et à l’homophobie.
(PARENTHÈSE) Encore une fois, ce sera notre Selfie Trudeau national qui ne se gênera pas pour donner suite à ces recommandations. Décidément, celui-là, avouons-le, c’est un zélé pis pas rien qu’un peu |
Si cette campagne contre les lanceurs d’alerte et les sceptiques est bien menée – et nous nous assurerons qu’elle le soit –, les moutons de base de vos pays devront en principe en venir à insulter eux-mêmes leurs concitoyens de la même manière que vous le ferez, vous et les journalistes, et à refuser tout dialogue avec eux.
— Nous mettrons au pas toutes les voix discordantes de toutes les professions par des campagnes de démolition de réputation.
Nous entendons par ceux-là tous ces gens qui possèdent une certaine notoriété dans une profession donnée (surtout dans les milieux médical, universitaire et judiciaire, mais pas que) et qui pourraient s’élever contre les mesures alléguant que cette crise sanitaire serait surfaite, ou que les droits et libertés sont bafoués.
Nous devrons impérativement les mettre au pas dès qu’ils élèveront la voix. Ce qui sera relativement facile grâce au plan que nous avons mis en place en prévision de cette éventualité :
— Nous avons, comme toujours, les médias traditionnels avec nous.
— Nous subventionnons depuis des années presque tous ceux qui font de la recherche dans les universités ou dans d’autres organismes.
— Nous soudoyons les têtes dirigeantes de presque tous les Ordres professionnels. Ordres professionnels qui, comme vous le savez, ont droit de vie ou de mort sur leurs membres.
Cela spécifié, il faudra réagir dès que le premier d’entre eux se fera entendre. Nous le ferons de trois manières différentes, ou d’une combinaison de celles-ci :
1) Son Ordre professionnel (s’il en a un, bien sûr) entreprendra une série de mesures disciplinaires contre lui ; allant jusqu’à le menacer de perdre son droit d’exercer.
2) S’il s’agit d’un chercheur qui vit de nos dons, nous le menacerons de lui couper les vivres.
3) Et peu importe son statut, les médias démoliront purement et simplement sa réputation par une campagne de discrédit – à grands coups de « masse médias » (le jeu de mots était trop facile).
La raison pour laquelle il faudra agir très rapidement est simple : en faisant tout de suite un ou deux exemples sur la place publique, tous leurs confrères se le tiendront pour dit et demeureront désormais silencieux pour ne pas subir le même sort.
Cela s’appelle un « régime de terreur », mais le nôtre aura le mérite de ne pas user de violence physique et de passer pratiquement inaperçu aux yeux du public.
Le problème du contrôle des masses
Cet aspect-là de notre programme n’est absolument pas problématique. En utilisant les bonnes vieilles techniques de base – celles qui ont toujours fait leurs preuves depuis des siècles –, nous allons gérer les foules comme nous le faisons d’habitude : en mettant en pratique les stratégies adéquates, point barre.
Avons-nous besoin de vous les rappeler ? Vous les connaissez évidemment par cœur, puisque vous êtes politiciens. Nous n’en énumérons seulement que quelques-unes :
— ne pas trop perturber leur confort matériel (de là, l’aide financière que vous leur procurerez) ;
— continuer à les divertir (via la télévision, surtout) ;
— les maintenir dans l’ignorance et la bêtise (encore une fois via la télévision) ;
— vous adresser à eux comme à des enfants en bas âge (M. Arruda devrait être parfait, ici) ;
— brouiller leur esprit de raisonnement par des propos incohérents et paradoxaux ;
— imposer vos décisions arbitraires de façon progressive (pour le port obligatoire du masque, notamment – voir plus bas) ;
— différer vos décisions impopulaires (en leur disant qu’elles prendront effet plus tard) ;
— attiser le feu des problèmes, et attendre qu’ils demandent eux-mêmes la solution (la vôtre, bien sûr) ;
— diviser pour régner (exacerber la haine « montons / conspirationnistes »)
— culpabiliser les gens pour ce qui arrive (les enfants qui tuent leurs grands-parents, par exemple) ;
— faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la raison (de là, notre campagne de terreur) ;
— mentir (allègrement et sans aucune retenue – voir plus haut) ;
— vous excuser (de temps à autre seulement – prendre exemple sur Selfie Trudeau, le spécialiste) ;
Bon, vous avez compris le topo. La routine, quoi. Et nous tenterons même cette fois d’aller plus loin que d’habitude dans les décisions loufoques que nous leur ordonnerons d’exécuter. Nous le ferons autant pour confirmer que nous pouvons aller très loin sans qu’ils se rebiffent que pour nous bidonner un bon coup.
Nous verrons évidemment au fur et à mesure où nous nous arrêterons dans les mesures farfelues, mais ne serait-il pas extrêmement intéressant, par exemple, de vérifier s’ils iraient jusqu’à accepter de marcher à quatre pattes si nous leur disions que le virus virevolte à un mètre du sol ?
M’enfin, nous verrons au fur et à mesure, oui. Une chose à la fois.
Phase 3b = cheminement graduel vers l’instauration obligatoire du passeport vaccinal
Et que se passera-t-il durant cette période minimale de deux ans de « pandémie absolument catastrophique » ?
Après le confinement – qui demeurera le plus long possible, si vous vous souvenez bien –, vous prendrez une série de mesures pour éradiquer un danger qui n’existera probablement plus – si tant est, bien sûr, qu’il aura déjà existé. Des mesures que vous annoncerez sans discontinuer à vos populations via des conférences de presse que vous rendrez dramatiques à souhait. Des mesures qui iront également crescendo. Nous vous donnerons les détails au fur et à mesure. En attendant, voici les principales qui devront se retrouver dans TOUS vos pays, sans exception…
La distanciation sociale
Après le confinement, le mot d’ordre sera que les gens ne devront plus se toucher. Aucun contact physique. Jamais. Et la distance à respecter, ne serait-ce que pour se parler, sera de deux mètres.
Il y aura des exceptions, bien sûr, étant donné que la vie est remplie de situations disparates : sur la rue, dans la promiscuité des lieux publics, dans les restaurants, entre membres de même famille, dans les couples, etc. Nous vous demanderons d’ailleurs d’en profiter pour rendre tout cela extrêmement compliqué en faisant exprès..
Plus vous compliquerez les explications, en effet, et mieux cela sera. Cela tient en ce que les gens en général détestent réfléchir. Et lorsque les choses deviennent trop compliquées à comprendre, ils laissent complètement tomber, et s’en remettent aux autorités supérieures sans plus poser de questions et en faisant leur possible pour obéir. Comme des… Nous allions dire « comme des abrutis », mais « comme des robots », plutôt, mettons
.
Et n’ayez surtout pas peur d’aller loin dans l’intimité des gens. Même si les choses reviendront un jour à la normale, vous aurez réussi à créer une brèche dans la notion de contrôle des populations. Et la prochaine fois que vous aurez à le faire, ce sera beaucoup plus facile étant donné que « le pli aura été fait ». Alors, profitez-en à fond pour préparer l’avenir
Certains de nos experts ont même suggéré l’idée d’entrer dans la chambre à coucher des couples et de préconiser la masturbation, le port du masque et le « glory hole » lorsqu’ils font l’amour. Nous croyons que c’est une excellente idée. Ne vous gênez surtout pas de saisir cette chance unique, et de publiciser ces méthodes de façon officielle.
(PARENTHÈSE)
Comme d’habitude, le pays du zélé Selfie Trudeau – le Canada – sera le premier à préconiser sans aucune honte, toutes ces mesures sexuelles loufoques dans ses communiqués officiels. C’est une chance pour ce pays que le ridicule ne tue pas, car il sombrerait corps et bien dans un cataclysme naturel encore pire qu’une pandémie. Mais plutôt que de pleurer sur la bêtise humaine, bidonnons-nous ici avec les Français qui s’en sont donnés à cœur joie dans leurs moqueries à nos dépends |
Le port du masque obligatoire
Une fois que l’été arrivera et que tout sera revenu à la normale, c’est-à-dire lorsque le virus ne sera plus à craindre, c’est là que vous rendrez le port du masque obligatoire. Même pour les enfants, lors de la rentrée à l’école.
Eh oui…
Ce sera complètement débile, nous le savons. 1) Le virus ne sera plus à craindre ; 2) le masque ne protège aucunement contre les virus ; 3) le masque empêche la libre circulation de l’oxygène et du gaz carbonique dans les voies respiratoires ; 4) ce sera l’été, avec les chaleurs humides ; 5) le masque cause des dommages terribles dans le développement naturel de l’enfant ; etc.
Mais vous le ferez quand même. Vous le ferez alors même si vous veniez d’affirmer que le masque était inutile quelques semaines plus tôt. Et vous le ferez en dépit du fait que cela apparait comme une mesure absolument disproportionnée. Bref, vous le ferez envers et contre tous. C’est un ordre.
Vous le ferez parce que cela entretiendra l’idée que la pandémie fait toujours rage, même si ce ne sera plus le cas – et même si cela n’aura probablement jamais été le cas. Et vous le ferez également pour obliger vos populations à vous obéir au doigt et à l’œil. Ce masque, en fin de compte, sera le symbole de la soumission des peuples à toutes vos demandes, quelles que soient celles-ci.
Et avec un peu de chance, cela engendrera même de la zizanie au sein de vos sociétés (masques vs anti-masques) ; ce qui est TOUJOURS une très bonne chose pour nous.
La seule latitude que nous vous laisserons sera de décider si le port du masque sera obligatoire à l’intérieur ET à l’extérieur dans chacun de vos pays. Si vous optez pour ne pas le rendre obligatoire à l’extérieur, vous le recommanderez toutefois très fortement, et vous le remplacerez par des mesures de distanciation sociale très drastiques.
Nous sommes conscients que cette pilule sera difficile à avaler pour vos populations. Mais pas tant que ça, vous verrez. Voici comment vous procéderez pour la faire passer facilement.
— Nous ferons nous-mêmes produire un tas d’études scientifiques – bidons – sur la réelle utilité du masque ; études dont vous vous servirez dans vos conférences de presse ; et que les médias reproduiront en grands nombres dans leurs articles.
— Vous avancerez en vertu d’une des stratégies les plus employées en manipulation des foules : soit en imposant cette mesure de façon progressive pour ne pas heurter les susceptibilités de front.
Exemple pour le Québec : 1) port du masque recommandé ; 2) port du masque obligatoire envisagé, mais rien de décidé ; 3) port du masque obligatoire dans les transports en commun à Montréal ; 4) port du masque obligatoire dans les transports en commun de toute la province ; 5) port du masque obligatoire dans tous les lieux publics fermés. Et voilà le travail
Au Québec, nous avons même eu deux "avancées progressives" pour le prix d'une
et sans que personne ne rouspète, comme d'habitude
— Vous imposerez des amendes complètement disproportionnées à ceux qui ne se conformeront pas.
— Et vous vous servirez des commerçants pour jouer le rôle de policiers en leur imposant eux-mêmes des amendes disproportionnées s’ils laissent entrer des gens non masqués dans leurs établissements.
Si vous suivez ces instructions à la lettre, cette mesure parfaitement ridicule passera sans aucune casse, nous vous le garantissons.
La vaccination
Bon, tout cela pour en venir éventuellement à la vaccination pour tout le monde, peu importe l’âge…
Si tout se passe bien encore une fois, les gens auront tellement peur d’attraper cette maladie « mortelle » qu’ils demanderont eux-mêmes le vaccin lorsqu’il sera prêt. Et ils vous mettront tellement de pression que cela nous permettra de sauter les étapes de sa fabrication et de prendre la population elle-même comme cobayes alors qu’il sera en pleine phase d’expérimentation et qu’il provoquera très certainement une multitude d’effets secondaires – même mortels.
La vaccination pour tous les citoyens de vos pays sera un moyen de plus pour que nous engrangions des profits faramineux (existe-t-il un terme plus fort que celui-là ?) et que vous crouliez encore davantage sous les dettes.
Nous n’avons donc pas besoin d’insister pour que vous fassiez le nécessaire afin que TOUT LE MONDE se fasse vacciner, n’est-ce pas ? Vous mettrez toute la sauce vers ce but lorsque ce moment sera venu : utilisez les médias, faites des menaces aux récalcitrants, donnez des privilèges à ceux qui se montreront dociles, incitez vos peuples à la haine contre ceux qui refuseront. Le mot d’ordre sera : VACCINEZ ! VACCINEZ ! VACCINEZ !
Au début de ce message, nous vous avions mentionné que nous vous ferions descendre bien bas dans les pitreries sur simple claquement de nos doigts. Eh bien, si votre taux de vaccination n’atteint pas 100 %, c’est à ce moment-là que nous vous demanderons de descendre dans les bas-fonds du vaudeville. Alors, jusqu’où irez-vous pour satisfaire nos caprices ? Étonnez-nous et vous ne le regretterez pas…
L’effort combiné de nos deux larbins de service canadiens, Selfie Trudeau et François le Goth
leur méritera encore une fois une gloire internationale.
La honte…
Le passeport vaccinal obligatoire
Sincèrement, nous ne savons pas encore si vos populations consentiront à se rendre jusque là – l’obligation du passeport vaccinal pour entrer dans les restaurants et autres endroits de divertissement –, mais nous parions que si. En tout cas, avec votre collaboration, nous ferons tout notre possible pour en venir là.
Mais imaginez juste un instant : si cette mesure fonctionne réellement, cela signifiera que les gens auront accepté de vivre dans une société qui ressemblera à celle de la ségrégation envers les Juifs sous l’occupation nazie en France, et celle des Noirs aux États-Unis au début du XXe siècle.
Ce sera inimaginable, mais vrai. Et ce sera le gros lot pour nous tous, car nous aurons atteint notre but pour cette première étape de notre programme de domination.
Autres mesures
Avant de clore ce mémo, juste mentionner que nous pourrions vous demander de mettre sur pied d’autres mesures invraisemblables au fur et à mesure du déroulement de l’opération. Nous en nommons ici quelques-unes à titre indicatif seulement, mais attendez-vous à devoir les appliquer un jour ou l’autre :
— l’interdiction de se rassembler en petits groupes ;
— l’abolition de toutes les fêtes (Halloween, Noël, Nouvel An, etc.) ;
— le couvre-feu ;
— l’encouragement à la dénonciation ;
— l’utilisation de drones pour la surveillance des rues ;
— l’emprisonnement pour contraventions non payées de non-port du masque ;
— la construction de camps de concentration… heu… de « quarantaine » pour y enfermer les récalcitrants… heu… les malades ;
— etc.
Étant donné leurs populations à historique léthargique, nous tenterons très certainement quelques essais en ce sens en Australie et au Canada, par exemple.
MOT DE LA FIN
Comme nous venons de le mentionner, si les gens consentent un jour – et nous nous donnons deux ans pour y arriver – de vivre dans un état dans lequel la ségrégation à grande échelle sera acceptée, c’est que nous aurons atteint le but que nous nous sommes fixé avec notre fausse crise sanitaire.
Et d’ici cette échéance, et avec un peu de chance, toujours :
— La petite et moyenne entreprise aura subi un très rude coup dans les reins, nous laissant encore davantage de place, à nous les multinationales.
— La population mondiale aura sensiblement diminué – du moins, l’espérons-nous – à cause de la combinaison de notre virus, des effets secondaires mortels de nos vaccins, et des suicides qui auront eu lieu à la suite de tous les décrets démesurés qui auront été mis sur pied.
— Le tissu social de vos pays se sera significativement effrité grâce à l’effet combiné de la distanciation sociale, de l’interdiction de célébrer des Fêtes importantes, et surtout de la déchirure de vos populations en deux factions adverses : les pro-mesures vs les anti-mesures (des couples, des familles et des amitiés de longues dates se seront irrémédiablement disloquées).
— Les marchés des pays se seront notablement fragilisés laissant la place à l’une des nombreuses autres crises que nous voulons également organiser pour déstabiliser le monde : la crise économique. Et si tout va pour le mieux, celle-ci se sera même déjà enclenchée de façon automatique au moment ou notre fausse crise sanitaire se sera essoufflée.
— Vos pays se seront endettés au-delà de toutes limites inimaginables envers les banques. Ce qui nous permettra un jour – nous nous laissons encore quelques petites années avant de l’obliger – d’effacer vos dettes contre la donation de toutes vos terres et de vos sociétés étatiques.
— Vos populations auront intégré l’idée que la « démocratie » est égale à « dictature douce » (faut le faire, non ?).
— Vos populations auront également fait les premier pas pour éventuellement accepter l’idée de vivre dans des régimes de « crédit social » à la chinoise avec passeports de toutes sortes : passeport-santé (avec vaccination périodique obligatoire à la clé), par exemple, passeport-carbone et passeport de citoyen modèle (le top)…
Et il n’y aura ensuite qu’un pas de plus à franchir pour qu’ils acceptent éventuellement l’idée que tous ces passeports ne fassent qu’un et qu’ils soient insérés dans leur organisme sous forme de puces sous-cutanées. Et avec toutes leurs données personnelles en prime avec ça. Pourquoi pas ? Ha !
Nous sommes très confiants d’y arriver, en tout cas.
Bref, nous mettons ici un terme à ce mémo. Nous referons le point une fois que notre fausse crise sanitaire se sera essoufflée. Pas avant deux ans, espérons-nous.
Lorsque nous parviendrons à la fin de cette étape, nous pourrons nous autoriser une courte pause afin de revenir en arrière et d’analyser ces deux années qui se seront écoulées ; et de nous permettre de gérer adéquatement la crise économique qui s’enchainera nécessairement ; et de la faire suivre par une nouvelle de nos crises inventées – la crise climatique, probablement.
Et tout en déstabilisant la géopolitique de la planète en même temps, peut-être ? Il y a tellement de pays que nous pourrions faire entrer en guerre : l’Ukraine, par exemple, ou Taïwan. Sky is the limit.
Comme vous pouvez le constater, ce ne seront pas les occupations qui manqueront. Mais tout ce cirque en vaudra amplement la chandelle.
Mesdames et messieurs les dirigeants de toutes ces belles nations qui nous appartiennent de fait, à nous, les multimilliardaires de ce monde, au boulot maintenant, et que Dieu nous accompagne !
Mais qu’est-ce que je suis en train de dire là, moi ? Nous n’avons pas besoin de Dieu pour nous accompagner dans cette tâche puisque NOUS SOMMES DIEU !
Et j’ai signé
Klaus Schwab, au nom de la petite minorité de psychopathes milliardaires qui vous tiennent tous par les couilles
A découvrir aussi
- Message du premier ministre aux moutons de son pays qui s'apprêtent à aller voter
- Message des grands hommes d'État à tous les moutons jaunes de la Terre