Nous sommes tous des moutons

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La crédibilité des médias de masse est en train d’encaisser un sérieux coup dans les reins. Le respect que les citoyens lui vouaient il n’y a pas si longtemps encore s’émoussent inexorablement. Car de plus en plus de gens comprennent enfin qu’ils entretenaient de fausses croyances à leur égard.

publié le 18 janvier 2023

par Ivanhoé

Pendant que vous lisez ces lignes, des milliards et des milliards d’événements, allant des plus insignifiants jusqu’aux plus déterminants, se déroulent simultanément sur la Terre. La très vaste majorité d’entre eux (99,99 %, disons, pour faire un chiffre rond) sont toutefois tellement anodins qu’ils ne méritent aucunement l’attention de quiconque, sauf de celle des personnes concernées. Quelques-uns, par contre (un nombre infinitésimal), valent quant à eux la peine d’être connus du grand public du fait de leur intérêt majeur, sinon, même, à cause de l’impact qu’ils peuvent avoir dans notre quotidien à tous.

Il nous est cependant impossible à nous, simples citoyens lambda, d’être à l’affut de ces événements cruciaux qui surviennent continuellement sur toute la planète. Mais qu’à cela ne tienne : certaines gens, dont le métier est justement de surveiller les nouvelles, se chargent d’en prendre connaissance là où elles se produisent, et de nous les livrer directement à notre domicile par le biais de la télé, de la radio, des journaux et d’Internet. Nous appelons ces spécialistes de l’information des journalistes. Et s’ils n’existaient pas, ceux-là, il parait que nous serions dans l’incapacité totale de savoir ce qui se passe autour de nous et d’en comprendre la trame. En d’autres mots, nous serions vite complètement dépassés – et incultes.

Du coup, nous leur devons apparemment une fière chandelle. Et à écouter leurs doléances, nous serions même tenus de nous prosterner devant eux pour le service qu’ils nous rendent et pour le rôle béni qu’ils jouent au sein de notre société.

Cela dit, et formulée dans sa plus simple expression, la mission de base impartie aux journalistes des médias de masse par rapport à tout ce qui se déroule sur la planète est – de façon séquentielle :

1) de faire le tri de tous les événements qui surviennent de jour en jour dans le monde en ne retenant que les plus « importants » et les plus « significatifs » ;

2) de s’assurer de leur véracité ;

3) de nous les rapporter en les commentant le plus objectivement possible.

Le problème est que cette courte description de tâches n’est valide que sur le papier. Dans le train-train quotidien des affaires courantes, sa réalité est en effet tout autre. Et plus encore, cette profession est devenue au fil du temps – et tout particulièrement depuis les trois dernières années – quelque chose qui s’apparente ni plus ni moins qu’à du grand n’importe quoi.

LES GRANDS PARADIGMES ENTOURANT LES MÉDIAS

Par le mot « paradigmes », j’entends ici ces grandes Vérités (avec un V majuscule) qui ont cours à propos d’un concept quelconque et qui ne sont jamais remises en question tant elles sont incrustées profondément dans l’inconscient collectif. Les paradigmes sont cependant extrêmement dangereux en ce que les Vérités qu’ils fixent comme cadre de référence peuvent être tout à fait fausses dans leurs fondements – ce qui est d’ailleurs fréquemment le cas –, entraînant ainsi de malheureuses dérives dans les décisions et les actions qui sont entreprises en leur nom.

Le secteur des médias de masse comprend malheureusement un certain nombre de ces paradigmes qui causent un tort irréparable à nos institutions « démocratiques » en raison de la foi aveugle que les gens – les simples citoyens – leur portent sans jamais soulever le moindre doute à leur égard.

En voici quelques-uns…

1^er paradigme : les événements rapportés par les médias sont ceux que nous devons absolument connaitre

Une seconde façon d’exprimer ce paradigme serait celle-ci : si les médias décident de ne pas rapporter un quelconque événement, c’est parce qu’il est nécessairement sans aucun intérêt pour personne.

À propos, sur quels critères les médias s’appuient-ils, justement, pour sélectionner ou non un événement parmi tous ceux qui se produisent quotidiennement dans l’actualité de la planète ? Pourquoi retiennent-ils quelques sujets précis et pourquoi rejettent-ils tous les autres ?

Pour répondre à ces questions, il faut préalablement avoir conscience que les médias d’information, à la base, ne sont que de banales entreprises privées. De ce fait, comme pour toutes les entreprises privées de notre univers capitaliste occidental, ils sont essentiellement motivés par la recherche du PROFIT.

Mises à part les énormes subventions gouvernementales dont ils bénéficient allègrement – nous y reviendrons –, les médias, que ce soient les journaux, les revues, la radio ou la télé, vivent de la vente de publicité. De cette façon, plus ils attirent de gens vers eux (via les clics sur Internet, les abonnements, les cotes d’écoute…), et plus leur département des ventes de publicité prend de l’expansion – et plus ils s’enrichissent.

Le choix des sujets qu’ils décident d’intégrer dans leurs colonnes ou dans leurs bulletins de nouvelles est donc tributaire de cet élément essentiel de leur existence. Ainsi, jusqu’à tout récemment, leur unique question pour diffuser un événement était donc celui-ci : « Est-ce que l’événement que nous avons l’intention d’annoncer attirera le lectorat ou les auditeurs vers nous, ou pas ? »

PARENTHÈSE

J’ai spécifié « jusqu’à tout récemment »,

car la donne a changé à ce niveau

depuis quelques années – voir le 4^e paradigme plus bas.

Or, ce choix est très rarement en lien avec « l’utilité publique ». Il l’est plutôt avec la notion de « sensationnalisme ». Et cela comprend tout ce qui s’apparente aux catastrophes et à la violence.

Car il semble en effet que les lecteurs et les auditeurs des médias de masse soient intrinsèquement des adeptes d’émotions fortes et des demandeurs compulsifs d’incidents sanglants, de désastres naturels, de meurtres, de scandales de mœurs, etc. De ce fait, les événements couverts par les médias ont principalement toujours été  des mauvaises nouvelles annoncées par des titres accrocheurs et accompagnées de photos racoleuses.

Car c’est ça « qui vend », apparemment.

2^e paradigme : les événements rapportés par les médias de masse traduisent la réalité du monde

Ce deuxième paradigme est le corollaire du premier.

Étant donné que la très vaste majorité des nouvelles rapportées par les médias sont puisées dans l’immense bassin des catastrophes et des affaires sanguinolentes, l’on est porté à croire qu’il n’existe que du Mal sur la planète. Ce qui est bien sûr tout à fait faux. Il ne suffit que de s’arrêter pendant quelques minutes et de regarder autour de soi pour se rendre immédiatement compte que la réalité est tout autre que celle que l’on voit à la télé ou dans les journaux.

Pourtant, « grâce » à eux, un grand nombre de personnes en conclut néanmoins que l’Humanité n’est synonyme que de déprime et de pourriture. Et elles sombrent ainsi dans la mélancolie chronique. On ne peut pas leur en vouloir.

Pour reprendre goût à la vie, il faudrait que ces gens jettent simplement leurs téléviseurs aux ordures et qu’ils cessent de lire les journaux. Ce que font d’ailleurs de plus en plus de citoyens désabusés, en passant.

Il arrive néanmoins que les médias concèdent eux-mêmes leurs torts en faisant des sortes de mea culpa périodiques pour se donner bonne conscience. Mais tout comme le ferait un pédophile récidiviste compulsif qui admettrait quelquefois les dommages psychologiques qu’il inflige à ses victimes, les médias oublient rapidement cette autoflagellation pour revenir dès le lendemain à leurs bonnes vieilles habitudes ($$).

3^e paradigme : les médias rapportent toujours la vérité.

— Tu es sûr de ce que tu affirmes ?

— Sûr que j’en suis sûr. Écoute : ils l’ont même dit à la télé !

Combien de fois avons-nous entendu cette phrase – « C’est vrai puisqu’ils l’ont dit à la télé » – depuis que nous sommes nés ? On ne les compte plus, en fait, car cette idée nous a été inculquée dès le berceau. Tant et tellement qu’elle est maintenant littéralement vissée dans nos cerveaux brainwashés jusque dans ses profondeurs les plus abyssales.

De ce fait, pour la majorité des citoyens, il n’y a jamais aucune équivoque possible : tout ce que les journalistes affirment dans leurs médias représente la Vérité dans tout ce que celle-ci a de plus authentique, de vérifié et de sacré. Et quiconque remettrait en doute les paroles – ou les écrits – d’un de ces « spécialistes » de l’information se verrait traité sur-le-champ de pauvre taré de complotiste.

Ce paradigme subit pourtant – et enfin – quelques fissures depuis une couple d’années. Et la première personne d’envergure qui a osé dénoncer cet aspect extrêmement odieux des médias a été le président Trump avec ses fameuses « fake news ».

Évidemment, comme pour TOUTES les paroles exprimées par cet homme, celles-ci ont immédiatement été ridiculisées, traitées de parfaites inepties et démenties à tour de bras par ceux-là mêmes qu’il accusait de produire de la désinformation. Mais son initiative n’en a pas moins ébranlé les colonnes du temple du monde de l’information. Et les médias de masse, quoi qu’ils disent ou fassent depuis ce temps pour se défendre, sont vraiment mis à mal par une frange de plus en plus considérable de citoyens réveillés qui ne prennent plus maintenant leurs affirmations pour argent comptant – surtout le peuple américain.

La fameuse « crise de la covid » – encore elle – a d’ailleurs été révélatrice de cet aspect dégoûtant les concernant : des statistiques ultra-alarmantes lancées à la volée, les urgences des hôpitaux littéralement débordées de cas covid, l’efficacité sans contredit du port du masque et de toutes les mesures débiles du gouvernement, l’efficacité sans faille de la nouvelle thérapie génique expérimentale… sont autant de sujets qui ont été rapportés quotidiennement par les médias de masse, mais qui se sont finalement avérés de purs mensonges.

Tant et tellement que depuis le début de cette sombre période, ils ont perdu une grande part de leur aura à se parjurer de la sorte ; et une importante partie de la population – des « complotistes », évidemment – les a carrément délaissés et s’est tournée vers les médias alternatifs d’information indépendants pour obtenir une vision plus juste de la réalité du monde.

Les raisons qui expliquent ce climat de duperies qui imprègne aujourd’hui les médias mainstream ne se réduisent au bout du compte – comme d’habitude – qu’à une seule : le fric, toujours lui. On n’y échappe jamais.

Conséquemment, si vous avez un doute lorsque l’un de ces médias affirme quelque chose, il suffit de vous poser la question « Qui le paie pour dire ce qu’il est en train de dire ? » et de faire une petite recherche rapide pour que la réponse devienne limpide comme de l’eau de roche. (J’ai longuement abordé ce thème dans cet article)

4^e paradigme : si les médias n’en parlent pas, c’est parce que ça n’existe pas (ou parce qu'il s'agit de fake news)

Des événements MAJEURS et à caractère sensationnel se déroulent en ce moment même sur la planète, mais ils sont sciemment ignorés par les médias de masse. Ou s’ils en parlent, ce n’est que pour effleurer le sujet dans des entrefilets sans aucune visibilité ou pour carrément les débunker (« prouver » qu’ils sont faux ou qu’ils ne sont que des élucubrations de « complotistes »).

Je n’en énumère ici que quelques-uns :

— Les terribles ravages des effets secondaires de la thérapie génique expérimentale (le fameux « vaccin » contre la covid)

Depuis le début de l’inoculation forcée à grande échelle de ce poison expérimental, des hommes, des femmes et des enfants décèdent en ce moment même par milliers sur la planète à cause de crises cardiaques et d’embolies ; des milliers de jeunes gens en forme – dont des enfants – sont victimes de myocardites ; le taux de surmortalité dans la plupart des pays a quintuplé ; les naissances ont chuté drastiquement ; des affections comme le cancer, le SIDA, le zona, les grippes se sont mystérieusement multipliées ; tandis que des milliers d’autres personnes sont désormais aux prises avec des handicaps graves permanents (comme la maladie de Bell)…

Certains médias évoquent certes discrètement un nouveau syndrome qui vient d’apparaitre dans le secteur médical, celui dit de la « mort subite », et relatent également le décès foudroyant de quelques célébrités, mais sans plus. JAMAIS le fameux vaccin n’est incriminé par ceux-ci pour expliquer ce qui est train de se passer au niveau sanitaire dans le monde. Ils n’y font même JAMAIS la moindre allusion.

Ce sujet est tellement lourd d’importance qu’il fera d’ailleurs l’objet d’une prochaine chronique à part entière – restez à l’écoute.

— Les « Twitters Files »

L’acquisition du réseau social Twitter par le multimilliardaire Elon Musk a provoqué une importante onde de choc dans le milieu des réseaux d’information alternatifs. Mais absolument aucun dans les médias de masse, si ce n’est que pour accuser le célèbre homme d’affaires de s’être ingéré dans le domaine de la libre expression !

Et pourtant, cet individu, en fouillant dans les dossiers de sa nouvelle compagnie, est en train de mettre à jour – littéralement – et de diffuser publiquement l’entièreté du système organisé de censure qui prévalait jusqu’à maintenant au sein de ce géant de la réseautique sociale – et qui a sans doute cours dans les autres (Facebook, YouTube, Instagram, etc.).

Les gouvernements de presque tous les pays occidentaux sont impliqués dans cette mafia. Ainsi que la gestion mondiale du canular de la fraudémie covidienne.

« Je n’ai pas acheté une compagnie, » a-t-il dit voilà peu de temps. « J’ai fait l’acquisition d’une scène de crime. »

— La sénilité du pseudo-président Biden

C’est un secret de Polichinelle que le « président » actuel des États-Unis souffre de sérieux problèmes cognitifs. Pendant que les réseaux alternatifs d’information divulguent des centaines d’images et de vidéos montrant le pauvre homme dans des circonstances extrêmement gênantes du fait de sa sénilité, les médias mainstream, quant à eux, se donnent un mal de chien pour cacher cette réalité au public.

Ne devraient-ils pas, au contraire, sauter sur ce « scoop » et se demander : « Si Biden est hors-jeu à la Maison Blanche, dans ce cas qui donc dirige en ce moment le pays le plus puissant de la planète ? » Heu… qui « était » le plus puissant de la planète…

— Le portable d’Hunter Biden (Hunter Biden étant le fils de Joe)

Dans le milieu informé, cette histoire est connue depuis le début de la dernière campagne présidentielle américaine (depuis près de trois ans, donc), mais elle a toujours été étouffée par les médias de masse. Tout au plus l’ont-ils dénigrée en évoquant de la « désinformation russe ».

Et pourtant, il s’agit sans doute là du plus grand scandale de la politique américaine de tous les temps. Ce portable oublié par son propriétaire dépravé chez un réparateur d’ordinateurs contient des milliers de données (photos, vidéos et courriels) l’impliquant lui-même dans des situations de drogue, de prostitution, de pédophilie et surtout de trafics d’influence avec des nations telles que l’Ukraine et la Chine.

Ce laptop est d’autant plus important qu’il incrimine également son père – Joe – dans des transactions douteuses avec des états ennemis. Ces preuves faisant du « président » actuel des États-Unis un traitre à sa patrie ; une accusation qui est passible (dans ce pays) de la peine de mort.

— Les fraudes électorales flagrantes (minimalement très suspectes) qui se produisent dans tous les pays occidentaux (incluant chez nous, au Canada et au Québec)

La plus importante de ces fraudes s’est produite lors des élections américaines de 2020. Elle était tellement énorme et tellement sans équivoque qu’elle a réveillé et secoué une grande partie de la population américaine d’un seul coup.

Depuis ce temps, un nombre incalculable de reportages ont été diffusés sur les réseaux alternatifs d’information démontrant comment cette fraude s’est réalisée, avec des centaines de photos, de vidéos et de témoignages à l’appui.

Cette fraude a également mis en évidence le fait que les élections de bien d’autres pays occidentaux – dont le nôtre – sont sans doute truquées comme elles l’ont été aux États-Unis. C’est-à-dire en utilisant les mêmes stratagèmes – qui sont simples, au fond.

Et tout porte à croire qu’elles le sont, effectivement – frauduleuses. Les dernières élections en France, au Canada, au Québec et surtout au Brésil ont révélé une série sans précédent d’irrégularités informatiques et statistiques, ainsi que d’événements litigieux survenus directement dans les bureaux de scrutins.

Mais comme pour les élections américaines de 2020, les médias de masse n’évoquent JAMAIS ne serait-ce que la moindre possibilité que notre démocratie puisse être bafouée comme c’est le cas dans les républiques de bananes les plus minables du monde.

……

Je pourrais continuer ainsi en parlant, par exemple, des sordides réseaux de pédophilie chez les élites, ou des mises en accusation du gouverneur Ron DeSantis contre le CDC (Centers for Disease Control) des États-Unis pour les manquements graves de cet organisme en matière de déontologie et d’éthique dans la crise dite de « covid ».

Mais j’arrêterai ici étant donné que la démonstration a été suffisante : les médias de masse taisent volontairement et complètement des sujets qui, pourtant, sont d’une envergure telle qu’ils devraient normalement faire la une de leurs feuilles de chou ou de leurs insipides bulletins de nouvelles.

Pourquoi agissent-ils de la sorte ?

La réponse à cette question-ci relève du cinquième et dernier paradigme les concernant…

5^e paradigme : les médias de masse ont une totale liberté de parole

Rien n’est plus faux – et totalement faux – que cette affirmation…

Les médias de masse sont tout sauf indépendants : les plus gros appartiennent à de gigantesques corporations tandis que les plus petits sont grassement subventionnés par leurs gouvernements respectifs. Ces deux raisons expliquent ce qu’ils sont devenus au fil du temps, et ce qu’ils sont réellement à 100 % encore aujourd’hui : de vulgaires organes de propagande pour les idéologies de ceux qui les paient.

J’ai longuement couvert cet aspect des médias dans cet article. Aussi, je passerai rapidement sur quelques précisions de base.

Les situations des médias de masse sont différentes d’un pays à l’autre, mais elles reviennent toutes au même en dernier recours.

Aux États-Unis, par exemple, 95 % de toute l’industrie médiatique et cinématographique américaine n’appartient qu’à six grand conglomérats…

… dont les six dirigeants font évidemment partie du Council on Foreign Relations (CFR) qui – on le sait maintenant – a une influence décisive sur les destinées des pays occidentaux.

Comme le mentionne Sylvain Laforest dans son livre Déprogr@ammation (Éditions Charlou) : « Il suffit de réunir ces six personnes trônant au sommet de la pyramide médiatique pour qu’on dicte l'idéologie dominante, celle qui sera véhiculée par tous les médias auxquels vous avez accès. Une douzaine de beignes et un thermos de café suffisent pour réunir cette brochette de présidents de conglomérats, dont les choix ont un impact immense auprès du public. »

En France, la situation est pratiquement similaire : une grande part de tout l’empire médiatique de ce pays est entre les mains d'une poignée de milliardaires.

Photo : basta.media

Milliardaires qui sont en outre copains-copains avec les membres les plus influents du gouvernement de ce pays ; une situation absolument scandaleuse qui a été très bien décrite dans le film Les nouveaux chiens de garde, de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat, facilement accessible dans la plupart des sites de films en streaming.

Au Québec, grosso modo, les médias se séparent en trois catégories :

1) Nous avons tout d’abord Radio Canada (radio et télé) qui est une société d’État payée à même les impôts des citoyens et qui, de ce fait, est entièrement subventionnée (100 %) par le gouvernement en place.

2) Nous avons ensuite notre propre empire médiatique privé : Québécor qui contrôle TVA et le très médiocre, mais néanmoins populaire, Journal de Montréal. Cette entreprise étant grassement subventionnée par le gouvernement.

3) Et finalement nous avons une série de journaux – dont la Presse – qui sont des entreprises sans but lucratif ou des coopératives, mais dont le salaire des journaleux à leur emploi est également grassement subventionné par le gouvernement.

En tenant compte de ces informations, où se trouve maintenant l’indépendance de ces médias ? La réponse est « nulle part », car elle n’existe pas. Cette croyance est une grotesque farce.

PARENTHÈSE

L’imbécile de « premier ministre » du Canada, Selfie Trudeau,

s’est même d’ailleurs un jour vanté publiquement

de faire manger la presse dans sa main.

Les médias étant à la solde de leurs propriétaires ou de leurs mécènes, ce sont donc ces derniers qui leur dictent leur ligne de conduite. Et lorsqu’ils décident de ne pas parler de certains événements qui seraient susceptibles de leur faire du tort, eh bien, ces événements ne sont pas couverts. Point à la ligne. C’est comme ça que ça marche et pas autrement.

LES MÉDIAS D’INFORMATION ALTERNATIFS ET INDÉPENDANTS

Les croyances millénaires à propos des médias de masse sont de plus en plus ébranlées dans leurs fondements. Un des bienfaits du grand canular de la covid aura sans doute été l’éveil d’une importante partie de la population à leur égard. L’attitude crapuleuse de cette engeance pendant cet événement a en effet été tellement évidente qu’elle aura permis de mettre à jour ce que certains lanceurs d’alerte avaient découvert depuis longtemps les concernant, mais qui prêchaient dans le vide en s’évertuant à les dénoncer.

Mensonges, propagande gouvernementale, démolition en règle des lanceurs d’alerte, incitation à la haine sociale ne sont que quelques-uns des rôles qu’ils se sont ouvertement attribués durant les trois dernières années, et qu’ils continuent de s’acquitter encore aujourd’hui – et plus que jamais – pour leurs maitres. Leurs crimes sont si énormes – ils sont responsables de milliers de morts – qu’ils sont passibles de passer éventuellement en justice sous l’inculpation de « crimes contre l’Humanité ».

En attendant cet heureux dénouement, ils perdent au moins de plus en plus leur crédibilité. Ce qui est une excellente chose, car moins ils auront d’influence parmi la population et mieux la société se portera.

Et d’ici leur totale disparition – ce jour devenant, espérons-nous, une fête nationale –, les citoyens réveillés se tournent de plus en plus vers d’autres sources plus fiables d’informations.

Ces nouveaux médias émergents – on les appelle les médias alternatifs indépendants – sont carrément en train de remplacer les traditionnels qui sont devenus obsolètes.

Ils mènent par contre un véritable combat de titans pour prendre leur place, car ils ne l’ont vraiment pas facile. Constamment discrédités par les vieilles institutions médiatiques qui ont compris quelles menaces ils représentaient pour leur survie, par les gouvernements corrompus qui les harcèlent et par la censure dont ils font fréquemment l’objet, ils s’organisent grâce à Internet et à leur sens de la débrouillardise. Et ils sont également aidés par la population elle-même qui se fait « rapporteurs d’événements » depuis quelques années. Armés de leurs cellulaires, les citoyens filment en effet maintenant en direct ce qui se passe autour d’eux et font circuler les images – on leur a donné le nom de « soldats digitaux ».

Images dont s’emparent les analystes des médias alternatifs pour les diffuser et les commenter. De cette façon, les Vérités cachées par les médias mainstream ne demeurent telles – dissimulées – que parmi les endormis encore aujourd'hui rivés sur l’écran de leurs téléviseurs – il en existe malheureusement encore trop. Mais pour le reste du peuple, elles finissent toujours par éclater au grand jour - surtout depuis qu'Elon Musk a rétabli les dizaines de milliers de comptes qui avaient été fermés ou censurés sur Twitter.

Animés d’un sens éthique pur, ces nouveaux journalistes bataillent ferme pour prendre le rôle de 4^e pouvoir que les médias traditionnels ont abandonné pour une vulgaire question mercantile et en vendant leur âme au diable.

Et ils y parviendront. La tendance est là, visible, flagrante, et rien ne pourra l’arrêter, car plus le temps passe, plus les organes de propagande s’enfoncent dans leurs mensonges, et plus leurs bobards deviennent aveuglants d’évidence même aux yeux des plus endormis.

Bref, les jours des médias mainstream sont comptés.

C’est écrit.

Amen