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Où donc mène cette route sombre sur laquelle les dictateurs psychopathes de ces pays obligent leurs citoyens à avancer en aveugles et dans la peur depuis mars 2020 ? Quelles techniques utilisent-ils pour les contraindre à l’emprunter ? Et surtout : qui sont-ils ? Voyage au cœur d’un monde gangrené jusqu’à la moelle…

 

mis en ligne le 25 août 2020

par Ivanhoé

 

L’ARNAQUE PLANÉTAIRE

— LES CONSTATS —

 

Lorsque les gens réussissent à se désengluer de cette peur panique qui règne encore aujourd’hui au sein du pays de la Fraudémie à cause d’un virus supposément cent fois plus dangereux qu’Ebola, ils prennent alors nécessairement conscience de l’ampleur de l’arnaque dans laquelle ils nagent depuis le mois de mars. Et une fois cette étape franchie, il ne leur reste plus qu’à passer par-dessus leur orgueil – ce qui n’est quand même pas évident étant donné la nature de l’ego humain – et reconnaitre ouvertement qu’ils se sont fait baiser d’aplomb par des gens en qui ils avaient remis leur confiance.

 

Cette chronique s’adresse à ceux qui se sont enfin rendu compte que la gestion gouvernementale de cette crise prétendument pandémique n’a aucun sens rationnel, mais qui s’opposent toujours malgré tout à la seule et unique conclusion logique qu’ils sont alors obligés d’en tirer. Et cette ultime réticence tient au fait qu’ils doivent pour cela admettre que leurs dirigeants sont des menteurs, des malfrats et même des meurtriers. Ce qui est difficile à concevoir, je le concède, surtout pour ceux qui n’ont jamais remis la bonne foi de leurs élus en question de toute leur vie.

 

 

 

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je fais ici une petite rétrospective très sommaire des vérités maintenant admises au sein de la communauté non « fanatisée » au fur et à mesure que le temps passe et que cette escroquerie sanitaire gagne en démesure et en psychose (les points suivants ont tous été expliqués dans l’article Voyage trouble en Fraudémie, chiffres et sources à l’appui) :

 

— Le coronavirus SRAS-CoV-2 est un coronavirus semblable à tous les coronavirus connus à ce jour sur la planète, dans le sens qu’il n’est ni plus dangereux ni plus inoffensif que ses congénères. En cela, il a à peu près le même modus operandi que le microbe de la grippe ordinaire, que nous n’aimons évidemment pas attraper, mais pour lequel nous n’avons pourtant jamais éprouvé une telle terreur phobique par le passé.

 

 

 

— La presque totalité des gens en bonne santé qui contractent sa maladie – la covid-19 – en expriment un spectre de symptômes allant de rien du tout jusqu’à une grippe sévère en passant par un simple rhume ordinaire. Leur état ne requiert aucun séjour à l’hôpital, et ils s’en remettent rapidement et facilement. Et comme la grippe, encore une fois, il est surtout mortellement dangereux pour les individus dont le système immunitaire est déjà affaibli par d’autres pathologies – et plus spécifiquement pour les personnes âgées de plus de 70 ans (tout cela est expliqué dans cette page de l’Organisation Mondiale de la Santé).

 

— Des médicaments très efficaces existent pour prévenir cette maladie, ou pour la traiter rapidement en début des symptômes. Le plus connu étant la banale hydroxychloroquine qui, selon le médecin qui ose la prescrire malgré la menace d’être radié, peut être combinée à l’azithromycine et à du zinc.

 

 

 

— S’il y a réellement eu une apparence de pandémie mortelle mondiale par rapport à ce virus au début de cette crise, l’on savait déjà à quoi réellement s’en tenir quelques semaines plus tard, et la bataille sanitaire pouvait désormais se concentrer vers les gens à risque qui étaient très nettement ciblées. L’on pouvait en outre lever ce stupide confinement de toute (!) la population qui avait été ordonné sous le coup de la panique initiale.

 

— Cette épidémie s’est bel et bien terminée à la fin de l’hiver, comme toutes les épidémies de grippe qui ont sévi par le passé à travers la planète.

 

— Or, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en concertation avec les gouvernements et avec l’appui des médias de masse ont pourtant fait fi de cette réalité et ont malgré tout continué à hurler au génocide sanitaire comme si rien n’était, en gonflant artificiellement et malhonnêtement le nombre de personnes infectées ainsi que le nombre de décès attribués à cette même maladie, et – plus grave encore – en laissant intentionnellement mourir – autrement dit, en assassinant – des milliers de personnes âgées en refusant de leur donner les soins appropriés.

 

— Ces mêmes endoctrineurs continuent par ailleurs toujours aujourd’hui à maintenir le climat de terreur en brandissant quotidiennement l’épouvantail d’une hypothétique « 2e vague ».

 

Cela constaté, voici maintenant la question qui s’impose et que l’on ne peut plus éviter : POURQUOI ce sordide canular ?

 

 

 

Pourquoi avoir utilisé une épidémie de grippe banale pour faire croire à un cataclysme international ? Et pourquoi s’entêter de la sorte dans le mensonge alors que la vérité se fait de plus en plus éclatante au fur et à mesure que les jours passent ? À quoi cela sert-il ? Et surtout à qui cela est-il profitable ?

 

Lorsque l’on réussit à émerger la tête au-dessus des flots de l'émotivité, l’on ne voit pas les ravages causés par un virus invisible, mais plutôt ceux d’une guerre. Une guerre dont nous sommes les pions et les victimes sacrifiées. Une guerre dont les enjeux ne sont pas du tout sanitaires et qui se trament dans les entrailles de pouvoirs souterrains. Une guerre dont les maitres du jeu sont des bandits à cravates complètement déconnectés du reste de l’humanité, et motivés uniquement par la cupidité, la perversité, la psychopathie et la mégalomanie.

 

 

 

Bienvenue dans le monde des « complotistes ».

 

* * * * *

 

En fait, il y a deux postulats à convenir avec soi-même avant d’aller plus avant.

 

Le 1er, on vient d’en faire le tour, est d’accepter une bonne fois pour toutes l’idée que cette pandémie est un énorme canular. Ceux qui ne cautionnent pas cette réalité ne peuvent évidemment faire un pas de plus dans leur raisonnement. Je n’insiste pas, et leur lecture se termine ici.

 

 

 

Le 2e, c’est maintenant d’admettre que l’argent et le pouvoir peuvent changer l’esprit humain en quelque chose qui est presque impossible à s’imaginer pour les gens ordinaires. Et c’est cette résistance à assumer cette vérité qui me surprend toujours, moi, à chaque fois que j’aborde ce sujet. Pourquoi est-ce si difficile pour d’aucuns, en effet, d’envisager que les êtres humains qui sont avides d’argent et de pouvoir puissent aller très loin – jusqu’au meurtre, même – pour assouvir ce besoin ? On voit ça pourtant partout et à tous les jours – même dans nos rues.

 

 

 

Et pourquoi est-ce encore plus difficile d’admettre que des individus bardés de diplômes universitaires et portant des costumes-cravates puissent également s’avilir à toutes les bassesses inimaginables pour satisfaire ce même besoin ? En graissant allègrement la patte de politiciens et de scientifiques – très facilement corruptibles, au demeurant – pour parvenir à leurs fins, par exemple ? Et en éliminant des peuples entiers ? Ça aussi, ça s’est vu des centaines de fois.

 

 

 

On en parle pourtant ouvertement comme d’un fait entendu dans les conversations privées, lorsque l’on se trouve en compagnie d’amis que l’on connait, en riant et en prenant une bière. Mais l’on change curieusement d’avis lorsque l’on est concrètement confronté à cette réalité et qu’il est temps de l’admettre sérieusement, en public.

 

Par manque de conviction personnelle ? Par lâcheté ? Par peur ?

 

Et une autre chose impossible à envisager et à accepter, dirait-on, c’est qu’il est prétendument irréaliste de penser que ces gens – que certains appellent les mondialistes, d’autres les psychopathes multimilliardaires – qu’il est impossible, donc, que ces gens soient capables d’organiser des manœuvres de manipulation de masses de cette envergure internationale – comme celle de cette fausse pandémie. Ce serait impossible parce que cela demanderait apparemment trop de moyens et une trop grande coordination pour que cela ait des chances de fonctionner.

 

 

 

Or cette croyance est tout à fait fausse. Une telle machination est au contraire relativement facile à réaliser. M’enfin, facile pour ceux qui disposent de fonds considérables. À preuve, d’autres machinations toutes aussi compliquées que celle-là ont été réalisée à de nombreuses reprises au cours de l’histoire, et avec succès – des renversements de gouvernements, entre autres.

 

L’ARNAQUE PLANÉTAIRE

— LE MODUS OPERANDI —

 

À part l’argent – et les multimilliardaires psychopathes en disposent de beaucoup plus qu’il n’en faut –,  manipuler la population ne requiert en fait que trois outils de base :

 

1) les techniques de manipulation de masses ;

2) le contrôle des médias ;

3) un scénario plausible.

 

Voyons-les un à un de façon détaillée.

 

1) Les techniques de manipulation de masses

 

 

 

Lorsqu’il est question de manipulation des masses, l’on se réfère presque tout le temps à la dizaine de stratégies qu’a inventoriées le grand linguiste américain Noam Chomsky, également intellectuel engagé de tendance socialiste libertaire.

 

 

Noam Chomsky

 

Même si on les retrouve partout sur Internet, je les énumère ici rapidement pour démontrer comment elles sont toutes utilisées dans cette fausse crise sanitaire.

 

Connaitre les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

 

C’est évidemment la base, et c’est pour cette raison que les élites maitrisent parfaitement bien cet aspect de la question. Cela fait partie de leur B-A-BA.

 

Distraire

 

En temps normal, cette stratégie consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des décisions des élites politiques et économiques grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes que les masses ingurgitent durant leurs moments libres. C’est un peu l’équivalent du mot « jeux » dans la célèbre citation du poète romain Juvenal – « Donnez-leur du pain et des jeux » – pour démontrer que la petite aristocratie au pouvoir n’a qu’à nourrir et divertir le peuple pour avoir la paix et faire ainsi ce que bon lui semble sans que trop d’yeux soient tournés vers elle.

 

Cette stratégie n’est pas spécifique à la gestion de l’événement qui nous préoccupe depuis mars. Elle est en effet omniprésente depuis toujours. Depuis, surtout, l’apparition de la télévision dans les foyers, et de ses émissions amusantes (feuilletons, quiz, cuisine, téléréalités, actualité de faits divers, sports…), voire même carrément abrutissantes.

 

Émissions qui détournent l’attention des citoyens vers des sujets dérisoires en lieu et place des débats de société qui pourraient remettre en question les résolutions gouvernementales douteuses.

 

 

 

Pendant cette pseudo-crise sanitaire, et alors que les gens demeurent de plus en plus volontairement confinés dans leurs maisons, la programmation quotidienne des radios et des télévisions n’a pas changé d’un iota parallèlement aux bulletins de nouvelles catastrophiques qui sont diffusés, permettant de cette façon à la population de se réfugier dans son univers distrayant habituel afin de calmer ses angoisses – et plutôt que de confronter les auteurs de ce climat de terreur dans leurs contradictions et leurs décisions plus que controversées.

 

Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

 

Chomsky précise ceci pour expliquer cette tactique : « Encourager le public à trouver cool le fait d’être bête, vulgaire et inculte ». Cette stratégie-ci se situe entre la précédente – de par le contenu des productions télévisuelles que l’on nous impose – et la suivante (voir plus bas).

 

S’ils n’incitent pas ouvertement à niveler leurs peuples par le bas – petite gêne oblige –, les gouvernements laissent néanmoins aller les choses en ce sens pour s’en servir allègrement lorsque cela s’avère nécessaire. Depuis le début du canular pandémique, par exemple, et connaissant ce trait de caractère d’une bonne frange de leurs citoyens, nos dirigeants se sont adressés indirectement à celle-ci en utilisant (en payant) – entre autres – certains humoristes populaires qui font habituellement dans l’humour facile afin de propager leurs messages.

 

Ici, au Québec, le collaborateur par excellence de cette méthode est sans conteste Rachid Badouri qui s’en donne à cœur joie depuis plusieurs semaines dans le vaudeville de garage avec l’argent des contribuables. Mon intention était de montrer sa vidéo la plus réussie, mais il l’a apparemment fait disparaitre tout récemment de YouTube. À moins que ce soit son commanditaire qui le lui ait demandé. Bref, l’un ou l’autre avait sans doute pris conscience qu’il avait dépassé une certaine borne avec cette prestation équivoque. Ou – ce qui m’étonnerait – qu’il en ait eu honte…

 

 

Extrait d’une envolée de très haut niveau tiré de cette vidéo de Rachid Badouri retirée de YouTube :

« Mets ton masque pis FERME TA YEULE ! Ferme-la, s’il te plait, ferme-la ! Juste ferme-la !

Ça va aller plus vite si tu fermes ta yeule !

Bois, fume, chie, pète, mange, mais mets ton masque, c’tu correct ? »

 

La classe.

 

Tout le reste de ses petites capsules qui se veulent rigolotes demeure néanmoins dans la même veine propagandiste et de bas de gamme. Et ça marche apparemment bien, puisque son public adore et en redemande. En voici une pour le plaisir de ceux qui sont amateurs – y’en a.

 

Dans le langage de ces humoristes de premier degré,

cela s’appelle « une petite séance de léchage de c… »

 

Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

 

Celle-ci est le corollaire de la précédente. Combien de fois n’avons-nous pas entendu nos deux premiers ministres (Arruda-Matata et Le Goth 1er) nous demander de leur faire aveuglément confiance dans la gestion de cette crise sans chercher à comprendre la « science » soutenant leurs décisions arbitraires, contradictoires et sans suite logique ? Pour qu’une telle situation tienne encore aujourd’hui la route sans que personne ne pose la moindre question, c’est en partie grâce à tout ce qui s’est fait en amont du point de vue de l’éducation nationale dans notre belle province.

 

 

 

La  Fondation pour l’alphabétisation du Québec nous apprend que 19 % des Québécois sont complètement analphabètes et 34 % éprouvent de grandes difficultés de lecture. Ce qui signifie que notre système éducatif, pendant ses quelques cinquante années d’existence, a réussi le tour de force de former 53 % de ses citoyens au niveau de l’analphabétisme fonctionnel. En d’autres termes, la moitié de notre population ne lit pas ou, si elle s’y essaie, elle ne comprend pas ce qu’elle vient de lire après quelques paragraphes le moindrement compliqués. Ce n’est pas moi qui le dis, mais bien, je le répète, la  Fondation pour l’alphabétisation du Québec : « 53,3 % des Québécois de 16 à 65 ans n’atteignent pas le seuil acceptable de niveau 3 [de la littératie], seuil qui confère la compétence de comprendre et intégrer des textes longs et denses. »

 

 

 

Dans une crise comme celle-ci, le gouvernement peut alors très facilement s’occuper de ceux-là en affirmant à peu près n’importe quoi pourvu qu’il se montre le moindrement convaincant et qu’il affiche lui-même un diplôme quelconque comme une preuve de sa compétence. Incapable de fouiller pour trouver les sources de leurs allégations et encore moins de les analyser objectivement, cette moitié de la population est de facto entubée sans déployer aucune énergie particulière.

 

Cela fait, il reste le deuxième 50 % à manipuler en utilisant d’autres moyens – et ceux-ci ne manquent pas.

 

Créer des problèmes puis offrir des solutions

 

Aussi appelée « problème-action-réaction », cette stratégie consiste d’abord à créer un problème ou une situation montée de toutes pièces pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit ensuite lui-même le demandeur des mesures que l’on souhaite lui faire accepter.

 

Ici, c’est on ne peut plus clair pour un aspect particulier de cette pseudo-crise : on a inventé une pandémie génocidaire, et la population réclamera le vaccin à cor et à cri dès que celui-ci sera prêt.

 

  

 

Avancer progressivement

 

Pour faire accepter des mesures initialement inacceptables, rien de plus facile : il suffit de les appliquer progressivement, en « dégradé », sur une période de temps suffisamment longue pour que les gens s’y habituent sans trop s’en rendre compte.

 

La question du port du masque est l’exemple type de l’efficacité incontestée de cette stratégie. Cette mesure est passée de « inutile et dangereuse » à « nécessaire et obligatoire » en moins de deux mois grâce à l’avancée progressive suivante :

 

1) le gouvernement a commencé par « discuter » de cette possibilité ;

2) il l’a ensuite « envisagé sérieusement » ;

3) mais il a fait semblant de « tergiverser » et même de « reculer » ;

4) pour, peu de temps après, faire volte-face et le « recommander » ;

5) il l’a plus tard obligé dans « les transports en commun de Montréal » ;

6) puis, il a enchainé en le rendant obligatoire dans « tous les transports publics du Québec » ;

7) et il l’a rendu obligatoire « dans tous les lieux clos » ;

8) pour en faire la « nouvelle norme sociale » (permanente) ;

9) il vient maintenant de le rendre obligatoire « dans les écoles pour les enfants de 10 ans et plus » dès la rentrée scolaire.

 

Si la tendance se maintient, cet objet de soumission sera bientôt obligatoire à l’extérieur, incluant tous les enfants, et même éventuellement dans les maisons. Et l’objectif de départ sera ainsi atteint sans coup férir. Et voilà le travail.

 

 

 

Et il en sera de même pour toutes les autres mesures qui foireraient à coup sûr si on les imposait trop brusquement. Dans cette optique, et de la même façon que la prescription du port du masque, viendront probablement bientôt : l’application de traçage, la distanciation sociale permanente, le vaccin, la loi 61, le puçage sous-cutané…

 

Juste en passant comme ça, au moment où j’écris ces lignes, les médias « discutent » en ce moment de deux mesures (pour le moment) controversées :

 

— L’appli du traçage de la covid. Le gouvernement a effectivement commencé à en « discuter » et à « l’envisager ». Aujourd’hui, ils en sont au stade  de faire semblant de « reculer » (mais en mettant bien en évidence dans les médias que 76 % de la population y est favorable). La prochaine étape sera normalement de la « recommander » sans la rendre obligatoire. On connait maintenant la suite du stratagème.

 

 

 

— Le projet de loi 61. Le gouvernement a commencé par le « proposer ». Puis il a « reculé » en annonçant récemment qu’il « a abandonné le projet », mais qu’il en « présentera une nouvelle mouture » à la reprise des travaux parlementaires. Et remarquez ici la tournure de phrase pour tenter de nous entuber en nous prenant bel et bien pour des cons : « Le gouvernement Legault a décidé mercredi de laisser tomber la forme actuelle de son controversé projet de loi 61 (…). La présidente du Conseil du Trésor, Sonia Lebel, déposera une nouvelle version de ce projet de loi à la reprise des travaux parlementaires. » En fait, c’est comme de dire, genre : « J’ai décidé de ne pas manger de céréales ce matin, mais je vais manger des céréales. »

 

 

 

Bon, bref, vous saisissez maintenant le topo opérationnel. Lorsque l’on connait cette stratégie de « l’avancée progressive », l’on voit venir les combines des kilomètres à l’avance.

 

Imposer en différé

 

Cette stratégie consiste à faire accepter une décision impopulaire ou même inacceptable en la présentant comme une mesure qui est « sur la table » et qui pourrait être imposée plus tard, mais seulement si les conditions la nécessitent. Le sacrifice éventuel est ainsi plus facile à être consenti parce qu’il n’est pas immédiat et que les gens espéreront naïvement qu’il pourra être évité. Une personne avertie en vaut deux, comme on dit, et la population aura le temps de s’y résigner au fur et à mesure que le « problème » prendra de l’ampleur.

 

Toujours en ce qui concerne la crise actuelle, deux mesures types de cette stratégie ont déjà été mises de l’avant par nos instances et attendent d’être concrétisées officiellement : 1) un nouveau confinement qui surviendra à l’automne dès que la 2e vague nous submergera – et Horacio n’en manque jamais une pour nous rappeler qu’elle nous pourfendra obligatoirement, celle-là ; 2) la loi 61 que notre cher premier ministre a tenté de passer au début de l’été, qu’il a laissé temporairement tomber, mais en promettant de revenir à la charge en septembre si la situation ne s’améliore pas (voir plus haut).

 

Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

 

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique de manipulation des masses pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des craintes, des pulsions, ou des comportements…

 

Ai-je réellement besoin d’insister ici ? Toute cette fausse crise pandémique, et ce depuis le mois de mars, ne repose en effet que sur cette seule et unique émotion : la peur (irrationnelle) de mourir à cause d'un virus. Terreur entretenue quotidiennement par les médias qui n’ont jamais relâché la pression en répétant jour après jour le nombre de morts à travers le monde – le nombre de « cas positifs », depuis le début de l’été, étant donné qu’il n’y a plus d’hospitalisations ni de décès.

 

 

 

Ce que le gouvernement a fait de mieux jusqu’à présent, je crois

en frais de campagne de terreur pour affoler ses citoyens

 

En passant, si tous les citoyens parvenaient tout à coup à extirper cette peur (irraisonnée) de leur esprit, toute cette grotesque farce s’écroulerait comme un château de cartes. Et c’est évidemment pour ce motif que les instances tentent par tous les moyens possible (même par les plus absurdes) de la maintenir envers et contre tous.

 

Remplacer la révolte par la culpabilité

 

Cette stratégie-ci consiste à faire croire à l’individu qu’il est le responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système, la personne s’autodévalue et se culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action.

 

Par rapport à notre canular actuel, cette tactique fonctionne doublement bien du fait que, non seulement le gouvernement, mais  les citoyens eux-mêmes culpabilisent leurs propres compatriotes qui sont réticents à se conformer aux directives en les traitant d’égoïstes et d’assassins.

 

 

 

Étant donné que ce moyen de manipulation des masses fonctionne si bien jusqu’à maintenant, monsieur Arruda-Matata pousse désormais l’audace jusqu’à tenter de culpabiliser les jeunes (!) en leur faisant croire qu’ils pourraient très bien tuer leurs parents et leurs grands-parents s’ils ne se conforment pas eux aussi aux mesures débiles qu’il impose à tout le reste de la population.

 

L’avenir dira s’il est allé trop loin, cette fois. Mais si, comme d’habitude, les adultes ne réagissent pas à cette nouvelle provocation – parfaitement indécente, celle-là, avouons-le –, ce petit despote de pacotille à la solde de l’OMS aura encore une fois gagné cette manche – uniquement grâce à notre léthargie.

 

 

 

Et il passera à la prochaine.

 

S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

 

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent habituellement un discours, des arguments, des personnages et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. En raison de la suggestibilité, celui-ci a alors tendance à réagir à ce genre de propos avec autant de sens critique qu’un enfant de douze ans. Et cette particularité de l’être humain est décuplée (aggravée) lorsqu’il est soumis à la peur – notamment la peur de mourir, comme en ce moment, depuis mars.

 

Nos deux premiers ministres – Arruda-Matata / Le Goth 1er – n’ont pas manqué d’exploiter cette stratégie dès le tout début de cette crise en s’adressant tous les jours à leur bon peuple comme de bons pères de famille prenant soin de leurs enfants.

 

 

 

Comment des adultes (incluant les plus éduqués) acceptent-ils de se faire parler de cette façon,

comme s’ils étaient des bébés lala à qui l’on raconte une histoire de bébés lala,

sans jamais manifester le moindre sursaut d’amour-propre ?

Cela demeurera pour moi un insondable mystère pour toute l’éternité

 

 

 

* * * * *

 

2) Le contrôle des médias

 

Pour que toutes ces stratégies de manipulation de masses puissent fonctionner, il faut toutefois et absolument que nos élites contrôlent la totalité des moyens de communications entre le pouvoir et leurs peuples, du moins de la plus grande partie d’entre eux ; c’est-à-dire les gros joueurs de la télévision – surtout –, de la presse écrite et de la radio.

 

C’est heureusement chose faite depuis longtemps.

 

Aux États-Unis, par exemple, l’empire médiatique pratiquement au grand complet – incluant Google et Facebook – appartient à des membres influents des trois principaux clubs privés de multimilliardaires composant ce que l’on nomme traditionnellement le « deep state » : le Council on Foreign Relations, la Commission trilatérale et le Groupe Bilderberg, dont les têtes dirigeantes – notamment les Rothschild – pataugent dans les trois en même temps.

 

La toile d’araignée qui relie tout ce monde entre eux donne froid dans le dos (pour agrandir cette photo et pour voir tous les noms, cliquez ici).

 

 

 

En France, le film documentaire Les nouveaux chiens de garde, de Gilles Balbastre et de Yannick Kergoat, a clairement démontré que la grande majorité des médias d’information français appartient à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir, et qu’au sein de ce périmètre idéologique très restreint, se multiplient les nouvelles sélectives, les discours éditoriaux dirigés, les simulacres d’affrontements pour la galerie et les retours d’ascenseur pour services rendus.

 

Bande-annonce du film Les nouveaux chiens de garde

 

Quant au Québec, j’ai déjà suffisamment exposé, je crois (dans l’article Lettre ouverte aux journalistes du pays de la Fraudémie), les liens sordides qui font d’eux, de facto, les vassaux du gouvernement – surtout la presse écrite – de par les généreuses subventions que celui-ci leur octroie de façon permanente et de par les transactions d’achat d’espaces publicitaires sur une période indéfinie que ce même gouvernement vient de signer avec eux pour diffuser leur propagande de terreur. Et tout cela, bien entendu, à même le fruit de nos impôts et de nos taxes.

 

Bref, les journalistes, et ce, peu importe le média pour lequel ils travaillent, et peu importe de quel pays occidental il s’agit, sont bel et bien à la solde directe de leur gouvernement respectif et de l’état profond qui dirige ceux-ci.

 

C’est pour cette raison que leurs discours sont parfaitement interchangeables depuis le début de cette crise, et qu’aucun d’entre eux ne pose jamais la moindre question embarrassante aux autorités.

 

 

 

* * * * *

 

3) Un scénario plausible

 

 

 

Et finalement pour rouler une population entière dans la farine à l’aide d’un canular de vaste envergure, il faut simplement que le canular en question corresponde à un scénario qui, dans la tête des pigeons à qui il est destiné, soit réaliste et réellement susceptible de survenir.

 

Une pandémie représente l’un de ces scénarios idéals, et ce, pour quelques raisons :

 

1) l’humanité conserve encore aujourd’hui dans son inconscient collectif les souvenirs de la fameuse « grippe espagnole » de 1918 et de la « grippe de Hong-Kong » de 1968 ;

 

2) un très grand nombre de  romans et de  films à succès ont été produits sur ce thème récurrent, habituant les populations à cette possibilité ;

 

3) des jeux de société et des jeux en ligne très populaires et ayant également ce thème comme source d’amusement existent depuis longtemps dans nos salons, banalisant, ici aussi, cette sorte de fléau potentiel.

 

    

 

Nos multimilliardaires psychopathes ont d’ailleurs mis ce scénario en branle une première fois en 2009 lorsqu’ils ont travesti un autre virus commun – le H1N1 – en pandémie catastropho-génocidaire. Ils n’avaient toutefois pas été aussi loin qu’aujourd’hui dans leurs tentatives de contrôle des masses, car l’arnaque n’avait alors été l’œuvre que de Big Pharma dont le but était de vacciner la population entière.

 

 

 

Et leurs lobbys, malgré les énormes moyens dont ils disposaient, n’avaient pas tout à fait la même envergure que ceux qui sont à l’origine de l’actuelle escroquerie.

 

Cette fumisterie n’avait pas très bien fonctionné, du reste, à cause de la réaction de la population qui avait été plus négative que prévue.

 

 

 

Il y avait bien eu des cliniques de vaccination opérationnelles un peu partout pour les gens facilement crédules – il y en a toujours –, mais le tout était demeuré volontaire et la réponse avait été relativement limitée selon les pays. Et Big Pharma en avait été quitte pour amasser quelques milliards plutôt que quelques trillions.

 

Ce demi-fiasco n’en avait pas été moins profitable pour mettre à jour les failles que ce canular contenait intrinsèquement. Notamment au niveau des communications. Ce que les « vrais » multimilliardaires psychopathes ont retenu et essayé de remédier avant leur propre tentative…

 

* * * * *

 

Ce scénario-ci a donc été mis en scène sans aucune hésitation par de nouveaux instigateurs aussitôt qu’un nouveau virus inconnu a fait son apparition dans les confins de la Chine à la fin de 2019. D’autant plus qu’il était attendu depuis longtemps, et que tout le monde – fort de l’expérience précédente et des failles qu’elle avait mises à jour – était prêt à se lancer.

 

Malheureusement pour eux, encore une fois, cet enfoiré de coronavirus SRAS-C0V-2 ne s’est finalement pas montré aussi meurtrier que prévu. Manque de pot, en effet, il a bêtement réagi comme tous les autres coronavirus répertoriés à ce jour. C’était vraiment pas de chance.

 

 

 

Que faire, alors ?

 

Pas le choix : poursuivre l’arnaque envers et contre tous en continuant d'utiliser les techniques de manipulation de masses via les médias à leur solde, et en menaçant les politiciens des pires représailles s’ils cessent de jouer le jeu.

 

 « Ça va passer ou ça va casser », comme on dit. Quitte ou double.

 

L’ARNAQUE PLANÉTAIRE

— LES RESPONSABLES —

 

C’est ici où le bât blesse un peu. Il blesse parce que personne ne connait avec précision les grands responsables de ce coup monté avec exactitude, et les « complotistes » y vont chacun de leurs théories. Et du fait de ce non-consensus, eh bien, les gouvernements, les médias de masse et les moutruches, eux, s’en donnent à cœur joie pour les ridiculiser.

 

En passant, juste dire que les « complotistes » ont depuis longtemps accepté cette étiquette qui, au départ, était péjorative et se voulait être une insulte à leur égard. Ils l’endossent maintenant volontiers, car effectivement, il est évident qu’il y a complot dans cette sordide affaire (synonyme de complot : conspiration, intrigue, machination, manigance, manipulation, grenouillage, magouillage, gammick…).

 

Ils préféreraient certes le terme « complologue » (mot qui n’existe pas plus que complotiste), mais bon : faute de pain, on mange de la galette, comme ont dit. Alors, ils s’en contentent en se consolant du fait que, de toute façon, c’est encore cent fois mieux que d’être taxé de « moutruche » ou de « mougeon », qui sont pour leur part deux qualificatifs passablement déshonorants pour l’intelligence et la dignité humaines.

 

 
moutruche                             mougeon

 

J’expose ici les trois théories qui reviennent le plus souvent au sein des groupes les plus sérieux de ce milieu inconnu du grand public – qui, pour une raison nébuleuse, en a peur.

 

1ère théorie : cette arnaque est essentiellement due à Big Pharma (Bill Gates en tête) afin de faire vacciner l’humanité au complet et d’empocher ainsi des sommes tellement faramineuses qu’elles sont impossibles à évaluer concrètement.

 

 

 

C’est la plus évidente théorie, car elle n’est en fait que la répétition de celle de 2009 – H1N1 –, de triste mémoire, mais en beaucoup plus d’envergure, et en tentant de remédier aux erreurs passées.

 

Il n’est pas besoin d’être complotistes, en tout cas, pour admettre que les grands bénéficiaires de cette crise sont effectivement les monstrueuses et tentaculaires compagnies pharmaceutiques. Non seulement celles qui annonceront le très attendu vaccin miraculeux – c’est déjà commencé en Russie –, mais également celles qui fournissent les tests de dépistage et les médicaments douteux ( tel le controversé Remdesivir à 520 $ la dose, mais avec un coût de revient à 10 $ la dose, fabriqué par la crapuleuse Gilead) en remplacement de l’hydroxychloroquine (quelques sous le comprimé) qui est le traitement de circonstance, mais qui est honteusement proscrit par les gouvernements.

 

 

 

Malgré cet énorme et abject scandale de corruption sévissant actuellement partout dans le monde, cette théorie – celle qui veut que Big Pharma soit le cerveau ultime de cette crise sans précédent – est douteuse parce que l’arnaque est de trop d’envergure. Selon toute vraisemblance, Big Pharma n’aurait pas réussi à lui seul à rallier tous les gouvernements dans une aventure de la sorte, à prendre le contrôle de tous les médias de masse et – surtout – à obliger de ruiner des économies entières. Son truc de fond, c’est de maintenir les humains en mauvaise santé, et non pas nécessairement de les asservir psychologiquement, ni de les ruiner et ni même de les tuer.

 

Par contre, il semble d’un autre côté évident que le vaccin serait un « moyen » pour ceux qui aimeraient en venir, eux, à contrôler les populations. C’est en effet de notoriété publique – sauf pour ceux qui ne se renseignent pas – qu’il est maintenant possible d’injecter une puce électronique sous-cutanée servant à une foule de contrôles potentiels : sanitaire, bien sûr, mais aussi de déplacement des foules. Cela se discute depuis des années dans les cercles scientifiques, médicaux et financiers. Et la technologie est prête.

 

 

 

Comme nous le verrons dans la 2e théorie, le but des multimilliardaires psychopathes serait ultimement de profiter du vaccin obligatoire pour pucer la population en vue d’éventuelles mesures de contrôle. Et le développement de la technologie 5G servirait également cet objectif.

 

S’il n’est pas le véritable instigateur de cette gigantesque escroquerie, mais plutôt un « instrument », cela n’empêche pas Big Pharma de s’en mettre plein les poches au passage ; cette expression n’étant qu’une figure de style, bien sûr : aucune poche d’aucun géant ne serait assez grande pour engranger cette indécente fortune – par-dessus celle qu’ils ont déjà.

 

 

 

2e théorie : une bande de multimilliardaires psychopathes veulent s’emparer du pouvoir absolu sur la Terre : sur l’intégralité de ses ressources et de ses habitants.

 

 

 

Plus on monte dans la hiérarchie des fortunes personnelles mondiales et plus le nombre d’individus concernés se réduit comme une peau de chagrin : les millionnaires font place aux milliardaires ; et les milliardaires s’effacent devant les multimilliardaires. Ceux-ci deviendront même très bientôt billionnaires (mille milliards de dollars !). Ce que confirme le site Argentaire : « Les experts financiers prédisent qu’il n’y en aura pas un [billionnaire], mais environ onze d’entre eux dans les soixante prochaines années. »

 

Pour le moment, le nombre de milliardaires dans le monde s’élèverait à quelque chose comme 2 150. Ce qui représente une proportion infinitésimale de la population et ce qui, disons-le franchement, est d’une immonde indécence quand on sait que ces gens ont bâti leurs fortunes sur le dos des gagne-petit, des famines et des guerres. Ils n’ont aucune pitié ni aucune empathie pour personne. Et personne, cela signifie réellement personne – incluant les enfants.

 

Les plus gros multimilliardaires se retrouvent quant à eux dans l’univers sans merci des banques privées et dans les conseils d’administration des banques fédérales de plus des trois quarts de la planète. Par le fait même, ce sont eux qui contrôlent les économies (par les dettes faramineuses) de toutes ces nations. On ne parle plus ici de 2 000 personnes, mais seulement de quelques dizaines, dont des noms un peu plus connus comme Rothschild et Rockefeller.

 

 

 

Les nations industrialisées et celles en voie de développement sont ainsi menées, dirigées, asservies par une poignée d'individus. Ces despotes à cravates travaillent dans l’ombre, placent leurs pions dans les sièges de gouvernances politiques en finançant les campagnes électorales, corrompent les institutions et manipulent les opinions publiques. C’est le Deep State (l’État profond) dans toute son obscure splendeur. On l’appelle aussi The Swump (le Marais). C’est le cancer caché de toutes nos démocraties gangrénées de l’intérieur.

 

 

 

Je ne peux m’attarder ici sur l’identité de ces gens et sur leur mode opératoire, car c’est l’affaire de bouquins entiers. Juste mentionner qu’ils se retrouvent essentiellement au sein de trois clubs très sélects dans l’univers de la fortune et de l’influence : le Council on Foreign Relations (CFR), la Commission trilatérale et le Groupe Bilderberg. Ceux qui sont intéressés, faites vos recherches. Mais de grâce, si vous tenez réellement à bien comprendre leur rôle dans la nécrose qui pourrit la planète, allez ailleurs que sur les premières occurrences de Google et de YouTube – deux institutions qui en font d’ailleurs partie. Le livre de Sylvain Laforest, La déprogr@mmation, par exemple, est l'une de ces sources de référence qui permettent de s’en faire une idée passablement réaliste.

 

 

 

Je me suis un jour demandé ce que serait mon ambition (ou mon plaisir) si j’étais moi-même ce genre de personne à avoir consacré ma vie à devenir multimilliardaire. Mettons que ma fortune personnelle s’élevait à… je dis n’importe quoi… se montait aujourd’hui à 120 milliards de dollars. Est-ce que mon prochain but dans l’existence serait d’atteindre 121 milliards ? Ce serait un peu con, car rendu là, on s’entend que ces chiffres-là ne signifient plus rien du tout. Non, probablement qu’une fois parvenu à ce niveau de démence, et honnêtement, je me prendrais pour une sorte de Dieu en contrôle total du pouvoir que je détiendrais sur l’Humanité entière. Et ma nouvelle aspiration en tant que malade mental, il me semble, serait de me démontrer à moi-même cette réalité personnelle une bonne fois pour toutes – pour me le prouver personnellement et concrètement, ou simplement pour m’amuser.

 

 

 

Lorsque l’on commence à s’intéresser à ce monde complètement déconnecté de la réalité terrestre des multimilliardaires, l’on ne manque pas de découvrir que c’est effectivement ce qui se passe dans la tête de ces dépravés psychotiques.

 

Et l’on ne manque pas non plus de comprendre que cette théorie-ci concernant les véritables auteurs de ce canular de covid renferme un fondement extrêmement plausible de son existence.

 

3e théorie : une bande de multimilliardaires psychopathes veulent empêcher Donald Trump d’être réélu.

 

 

 

Celle-ci est un peu le corollaire de la précédente, dans le sens que cette hypothèse prétend toujours que cette fausse pandémie a été créée par le même groupuscule de multimilliardaires psychopathes du Deep State, mais dans le but plus spécifique de détruire Donald Trump.

 

Il est avant tout un fait maintenant établi dans le milieu des médias alternatifs que Donald Trump s’est présenté en politique en 2016 pour se débarrasser de cette clique qui gangrène son pays depuis des décennies. Ayant lui-même financé sa campagne électorale, il s’est de ce fait affranchi de tous ceux qui, habituellement, demandent des comptes aux élus après les avoir grassement sponsorisés pour leur permettre de gagner leurs élections. Et une fois assis dans le bureau ovale, il s’est dès lors attelé à la tâche « d’assainir le marais », comme il l’avait promis durant sa campagne. Les résultats ne se sont pas fait attendre.

 

En quatre années, les taux de criminalité et de chômage de cette nation ont baissé de façon significative. Il a signé des accords de paix avec des pays autrefois ingérables. Il a stoppé des guerres. Et il a travaillé à redresser les finances publiques. Avant l’annonce de cette fausse pandémie, l’économie des États-Unis avait déjà atteint une prospérité qu’elle avait perdue au cours des décennies précédentes. Et tout cela, en résistant à toutes les magouilles pour le faire destituer.

 

Toujours selon les mêmes réseaux d’informations alternatifs, encore quatre années supplémentaires au pouvoir et cet homme réussira vraisemblablement à accomplir la mission qu’il s’était fixée. S’il reprend la présidence, on raconte que les actions agressives passeront même immédiatement en vitesse supérieure contre les multimilliardaires psychopathes. Des têtes connues vont rapidement se mettre à tomber : des accusations formelles de haute trahison seront portées contre certains, et de trafic humain et de pédophilie contre d’autres. Ils en sont apparemment morts de trouille.

 

 

 

Science-fiction ? En tout cas, pas plus science-fiction que la vision orwellienne de toutes ces populations qui déambulent aujourd’hui dans les rues avec des masques sur le visage sans que RIEN ne justifie un tel comportement servile.

 

Pour en revenir à cette 3e théorie, en déclenchant ce canular mondial, le Marais tente apparemment le tout pour le tout pour empêcher cet homme de renouveler son mandat. Si Trump est réélu, c’en sera fait pour ces multimilliardaires psychopathes qui ont toujours fait la pluie et le beau temps jusqu’à maintenant en considérant les êtres humains comme de simples machines à leurs services. Et si ce Deep State américain tombe dans ce pays, cela aura un effet d’entrainement domino sur la planète entière.

 

 

 

C’est pour cette raison qu’ils s’accrochent tant à ce canular, même si celui-ci est devenu parfaitement invraisemblable dans sa cohérence, et à toutes ces mesures débiles qu’ils tentent de garder en place coûte que coûte. En fait, ils travaillent d’arrache-pied pour que tout cela tienne la route jusqu’au 3 novembre 2020 en déployant l’intégralité de leurs dernières ressources.

 

Ils sont à la croisée des chemins

 

Et nous aussi…

 

 

 

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MOT DE LA FIN

 

Cela dit, et nos propres politiciens canadiens dans tout ceci ? Messieurs les très honorables Selfie-Trudeau et Le Goth 1er ? Quel rôle jouent ces éminentes personnes dans cette cour des grands ? Sont-ce de pauvres victimes ou d’ignobles collabos ?

 

    

 

Peu importe laquelle des théories précédentes est la bonne, il faut toutefois avouer que ces deux bozos font en tout cas bien piètre figure dans cette organisation qui les dépasse, mais dont ils bénéficient politiquement et amplement des résultats – pour l’instant, du moins. Ce sont en fait des pions comme nous – à leur manière. Des pions de luxe, mais qui pourraient très bientôt tomber en bas de leur piédestal d’ici quelques mois.

 

Et si cela arrive, il est à souhaiter qu’ils répondront un jour de leurs crimes devant un tribunal en bonne et due forme – car meurtres il y a eu, gardons toujours cela en mémoire.

 

 

 

Il y aurait tellement de choses à dire les concernant, ceux-là, que je garde mes mots pour une prochaine chronique.

 

Restez à l’écoute.